UA-62488107-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Dominique Le Tourneau - Page 108

  • 15 novembre : l'Amour

    81a12835803addba8b7998d5a1c95c37.jpg

    Seigneur, je Te demande un présent : l'Amour..., un Amour qui me purifie - et un autre cadeau encore : que je me connaisse, afin de me remplir d'humilité.

     

    Saint Josémaria, Forge, n° 185.

  • 14 novembre : Dieu nous aide

    117d2e3fcc426f9ada2366b7e0b280bc.jpgDieu ne te regarde pas en train de lutter dans le combat comme le peuple regarde un aurige... Quand Dieu regarde ses combattants, il aide ceux qui l'invoquent.

     
    Saint Césaire d'Arles, Sermon 114, 6.


  • 13 novembre : la joie de vivre

    98b358af4bf3d72d43ea59b2ce3b6c67.jpgMalgré les limitations qui surviennent avec l'âge, je conserve le goût de la vie grâce au Seigneur. Il est beau de pouvoir se dépenser jusqu'à la fin pour la cause du royaume de Dieu.

    Jean-Paul II, Lettre aux personnes âgées, 1999.


  • 12 novembre : la tempérance

    df98a153f934fc86d7b14b831782d19a.jpegDans une jolie petite ville carrée, flanquée de murailles de briques et de tours en ruine, (...) j'ai fort admiré quatre magnifiques voyageurs assis, croisées ouvertes, au rez-de-chaussée d'une auberge, devant une table pantagruélique encombrée de viandes, de poissons, de vins, de pâtés et de fruits, buvant, coupant, mordant, tordant, dépeçant, dévorant ; l'un rouge, l'autre cramoisi, le troisième pourpre, le quatrième violet, comme quatre personnifications vivantes de la voracité et de la gourmandise. Il m'a semblé voir le dieu Goulu, le dieu Glouton, le dieu Goinfre et le dieu Gouliaf attablés autour d'une montagne de mangeaille.

    Victor Hugo, Le Rhin.

     

  • 11 novembre : connaissance de soi

    7b48ec7b3318a7c199c9b629517116c1.jpg

    Et comme un voyageur qui arrive de loin

    Je découvre en intrus mon paysage humain.

    Supervielle, Le paysage humain.


  • 10 novembre : la tempérance

    Tout ce qui peut-être semence de volupté, fuyez-le comme du poison.

    784b89bc20726d0158045dbab21bf483.jpg

    J'aime mieux une nourriture modérée, qui vous laisse toujours sur votre faim, que des jeûnes de trois jours. Mieux vaut manger chaque jour, mais peu, que rarement et beaucoup à la fois. La meilleure pluie, c'est celle qui pénètre peu à peu la terre. Une pluie soudaine et trop forte désole les campagnes.

    Saint Jérôme, Lettre 18, à la jeune veuve Furia.


  • 9 novembre : la mortification

    a7cc1733e596f4c3822a6bfbced7c5aa.jpg

    La mortification est donc une mort qui ne tue pas la vie, mais qui la manifeste ; elle est une réduction de la chair sous la loi de l'esprit, le sacrifice des sens à la raison, l'esclavage du corps pour que l'âme soit libre, enfin le signe éclatant d'un homme immolé aux hommes et à Dieu.

    Lacordaire, « Panégyrique du B. Fourier », Œuvres du P. H.-D. Lacordaire, t. VIII. Notices et panégyriques, Paris, 1920, p. 43.

     

     

  • 8 novembre : le joug de la liberte

    625eaf2e75daa5cec637b621f35f0745.gif

     

    Tu entends en toi une voix : « Qu’il est pesant ce joug dont tu t’es chargé librement ! » ... C’est la voix du diable, le fardeau... de ton orgueil.

    Demande l’humilité au Seigneur, et toi aussi tu comprendras ces paroles de Jésus :

    Iugum enim meum suave est, et onus meum leve (Mt 11, 30),que j’aime à traduire librement ainsi :

    mon joug est la liberté, mon joug est l’amour, mon joug est l’unité, mon joug est la vie, mon joug est l’efficacité.

     

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 2ème station.

     

     

  • 6 novembe : les ames du purgatoire

    e00e1ec9553980ef16599fc2566e26e9.jpgÔ mon Dieu, en union avec les mérites de Jésus et de Marie, je vous offre pour les âmes du purgatoire toutes mes œuvres satisfactoires ainsi que celles qui me seront appliquées par d'autres durant ma vie, à ma mort et après ma mort.

    Saint Alphonse de Liguori, Maximes éternelles.

     

     

  • 7 novembre : le nom de Dieu

    Ce ne sera pas un nom sonore, qui puisse se dire en quelqu'une des806314e159b04a219f7e8608f302b7b1.jpglangues humaines. Ce sera un nom de feu et de lumière, un nom spirituel, envahissant et subsistant. Il sera prononcé, au cœur des élus et des anges immergés en lui comme l'éponge dans l'océan, par l'essence divine elle-même, dont il sera de soicapable de livrer toute la transparence et toute la plénitude. Et cependant, en fait, nulle créature ne le possédera jamais au point d'en épuiser le contenu et d'en circonscrire les richesses : car il faut être absolument tout ce qu'est Dieu pour connaître absolument tout ce qu'est Dieu.

    Ch. Journet, Connaissance et inconnaissance de Dieu, Lyon, Éditions de l'Abeille, 1943, p. 58.