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Dominique Le Tourneau - Page 106

  • 5 decembre : l'examen de conscience

    (nous devons agir dans l'examen de conscience) comme les petits à l'école. Ils apprennent tout d'abord la forme des lettres ; ensuite ils commencent à distinguer les syllabes, et ainsi, peu à peu, finissent par d68b5c6918ced9671e1f7c066086855c.jpgapprendre à lire. Faisons de même, nous aussi. Divisons la vertu en parties, apprenons d'abord, par exemple, à ne pas parler mal, à ne pas renier, à ne pas médire ; puis, passant à une autre lettre, à n'envier personne, à ne pas être esclave de notre corps, à ne pas nous laisser emporter par la gourmandise, à ne pas être cruels, à ne pas être paresseux. Ensuite, passant de là à l'écriture spirituelle, étudions la continence, la mortification des sens, la chasteté, la justice, le mépris de la vaine gloire ; efforçons-nous d'être modestes, contrits de cœur. Enlaçant quelques vertus avec d'autres écrivons-les dans notre âme. Nous devons pratiquer cela dans notre propre maison : avec nos amis, avec notre femme, avec nos enfants.

    Saint Jean Chrysostome, Homélies sur l'Évangile de Matthieu11, 9.


  • 4 décembre : l'union au pape

    80d2549aac6fa0e28db87a28e5f1b501.jpg

    Chez un catholique, il ne saurait y avoir d'autre attitude que celle de défendre « toujours » l'autorité du pape ; et celle d'être toujours assez docile et décidé pour réviser son opinion face au Magistère de l'Église.


    Saint Josémaria, Forge, n° 581.

  • 3 decembre : le jeune

    Le jeûne se pratique pour trois raisons principales. On le pratiquee21dc38a6fb593c8c8c76a90219c11f5.jpg premièrement, pour réprimer les concupiscences de la chair (...). Secondement pour élever l'esprit de l'homme vers les biens du ciel (...). On le pratique en troisième lieu, afin de satisfaire pour les péchés ; ce qui fait dire à Joël : « Convertissez-vous à moi de tout votre cœur, par le jeûne, etc. » et saint Bernard ajoute : « Le jeûne est bon et salutaire, il rachète les supplices éternels et il remet les péchés ; non seulement il obtient le pardon, mais il mérite la grâce ; non seulement il efface nos péchés passés, mais il repousse même ceux que nous pouvions commettre à l'avenir ».

    Saint Thomas d'Aquin, Sur l'Humanité de notre Seigneur Jésus-Christ10.


  • 2 décembre : l'Avent

    L'Avent dit que nous devons apprendre notre humanité à la lumière dumedium_AnnonceBergers.manuscritXV.jpg mystère de l'Incarnation de Dieu. (...) Elle ne suffit pas à l'homme, la science qui, avec une pénétrante exactitude, décrit les structures et les mécanismes qui conditionnent son existence et ses actions. Ce dont l'homme a besoin, c'est de la Sagesse qui - seule - lui permet de comprendre le sens de cette existence humaine et d'orienter de manière adéquate ses propres actions.

    JEAN-PAUL II, <em>Homélie à la messe pour les universitaires</em>, 17 décembre 1981.


  • 1er decembre : lutter contre ses defauts

    3476d5736542f7383f0d94e1ea8d93d7.jpgJe n'ai pas oublié les bonnes résolutions que vous m'avez fait prendre avant de partir et j'ai déjà remporté plusieurs victoires sur moi-même ; j'espère que bientôt mon défaut dominant sera complètement battu... Hier et avant-hier j'ai fait plusieurs sacrifices. Au piano, plusieurs fois, j'ai eu envie de dire que j'avais raison mais j'ai pensé à vous et je me suis retenu. Je suis bien content ma chère maman, je suis sûr que cela vous fera aussi beaucoup de plaisir. Je reconnais mieux mes torts mais je suis encore très taquin. Quand mon défaut dominant sera vaincu, c'est celui-là que je combattrai.

     
        Philippe de Hautecloque, « Lettre à sa mère, 5 juin 1909 », citée dans M. Cordier et R. Fouquer, Le général Leclerc ou se commander à soi-même, Paris, 1990, p. 131.

     

  • 30 novembre : progresser dans la vie spirituelle

    2c8099afbbf65da21a8039197b59e222.jpgAvec saint Augustin, nous pouvons dire que les passions mauvaises nous tirent par notre vêtement, vers le bas. En même temps, nous remarquerons dans notre cœur des désirs grands, nobles et purs : il y a donc une lutte.

    Toi, avec la grâce du Seigneur, si tu mets en œuvre les moyens ascétiques, la recherche de la présence de Dieu, la mortification, la pénitence — oui, la pénitence! —, tu iras de l'avant, tu obtiendras la paix et la victoire.

     

    Saint Josémaria, Forge, n° 411.

  • 29 novembre : travail et prière

    f1bccc3b4c52c6ef68e2ee1c3d885a65.jpgUnir le travail à la prière et faire du travail une prière, cela devra vous donner courage, constance et sérénité pour triompher des difficultés et des incompréhensions, et rendre plus joyeux votre travail, avec une heureuse incidence sur votre façon de vivre le christianisme, sur la construction d'une société meilleure et plus sereine.

    Jean-Paul II, Discours aux agriculteurs, Vila Viçosa (Portugal), 14 mai 1982.


  • 28 novembre : l'Opus Dei

    ae90dcaab833636fb0e877d16b1992b0.jpgAujourd'hui, 25ème anniversaire de l'érection de l'Opus Dei en prélature personnelle, voici un texte du Serviteur de Dieu Jean-Paul II sur son fondateur :

     

    Saint Josémaria fut un maître dans la pratique de la prière, qu'il considérait comme une « arme » extraordinaire pour racheter le monde. Il recommandait toujours : « D'abord, prière ; ensuite, expiation ; en troisième lieu, et seulement « en troisième lieu », action » (Chemin, n° 82). Ce n'est pas un paradoxe, mais une vérité éternelle : la fécondité de l'apostolat se trouve avant tout dans la prière et dans une vie sacramentelle intense et constante. Ceci est, au fond, le secret de la sainteté et du vrai succès des saints.

    Jean-Paul II, Homélie pour la canonisation de saint Josémaria Escriva, 6 octobre 2002.

     

     

     

     

  • 27 novembre : la priere

    La prière est la première et fondamentale condition de la collaborationa97f1ef0dc6c267e9e5b9729cb7d065f.jpg avec la grâce de Dieu. Il faut prier pour avoir la grâce de Dieu - et il faut prier afin de pouvoir coopérer à la grâce de Dieu. Tel est le vrai rythme de la vie intérieure d'un chrétien. Le Seigneur parle à chacun de nous, comme il a parlé à l'Apôtre : « Ma grâce te suffit ; ma puissance, en effet, se manifeste pleinement dans la faiblesse ».

    Jean-Paul II, Angélus, 4 juillet 1982.

     

  • 26 novembre : l'homme religieux

                    Aucune nation n'est si grossière, si sauvage, qu'elle ne d8f35dbd17f36139c9a02b9d11642025.jpg     croie àl'existence des dieux, lors même qu'elle se trompe sur sa nature.

    Cicéron.