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Marie-Madeleine

  • Marie-Madeleine cherche Jésus

    Appelée par son nom, Marie (Madeleine) reconnaît donc son créateur et elle l’appelle aussitôt Rabonni, c’est-à-dire maître, parce que celui qu’elle cherchait intérieurement était celui-là même qui lui enseignait intérieurement à le chercher.

    Saint Grégoire le Grand, Homiliæ in Evangelia 25, 5.

  • Jésus et Marie-Madeleine

    Reconnais celui par qui tu es reconnue. Je ne te connais pas en général, comme les autres, je te connais d’une façon particulière.

    Saint Grégoire le Grand, Homiliæ in Evangelia 25, 5.

  • Marie-Madeleine et la Résurrection

    Comme les autres disciples, Marie de Magdala a dû voir Jésus rejeté par les chefs du peuple, arrêté, flagellé, condamné à mort et crucifié. Voir la Bonté en personne soumise à la méchanceté humaine, la Vérité raillée par le mensonge, la Miséricorde insultée par la vengeance, a dû être insupportable. Avec la mort de Jésus, l’espérance de ceux qui avaient mis leur confiance en Lui semblait perdue. Mais cette foi ne s’est jamais évanouie totalement : surtout dans le cœur de la Vierge Marie, la Mère de Jésus, la petite flamme est restée allumée d’une manière vive, même dans l’obscurité de la nuit. Dans ce monde, l’espérance ne peut pas ne pas tenir compte de la dureté du mal. Ce n’est pas seulement le mur de la mort qui lui fait obstacle, mais plus encore, ce sont les pointes acérées de la jalousie et de l’orgueil, du mensonge et de la violence. Jésus est passé par cet enlacement mortel, pour nous ouvrir le passage vers le Royaume de la vie. Il y eut un moment où Jésus apparaissait vaincu : les ténèbres avaient couvert la terre, le silence de Dieu était total et l’espérance, une parole qui semblait désormais vaine.

    Benoît XVI, Message pour le jour de Pâques, 8 avril 2012.