L'Eucharistie est l'aliment spirituel qui me nourrit, et sans lequel je ne pourrais tenir ni un jour ni une heure de mon existence.
Mère Teresa de Calcutta, La joie du don, Paris, 1975, p. 71-72.
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L'Eucharistie est l'aliment spirituel qui me nourrit, et sans lequel je ne pourrais tenir ni un jour ni une heure de mon existence.
Mère Teresa de Calcutta, La joie du don, Paris, 1975, p. 71-72.
Sainte Brigitte connut par un ange la joie que procurait aux saints prophètes la vision anticipée de cette intervention de Marie. « Ils tressaillaient d'allégresse, disait l'ange à la sainte Vierge, en apprenant que votre humilité et la pureté de votre vie, ô Marie, Étoile toute radieuse, apaiseraient le Seigneur, et qu'il recevrait en sa grâce tous ceux qui avaient provoqué son courroux » (Revelationes, sermo Angelicus 9).
Saint Alphonse de Liguori, Les gloires de Marie, 2, 1.
C'était dire : Ma Mère elle-même, que vous avez appelée bienheureuse, est heureuse parce qu'elle garde la parole de Dieu : non point parce qu'en elle la Parole « s'est faite chair et a habité parmi nous » (Jean 1, 14), mais parce qu'elle garde cette même Parole de Dieu par qui elle a été faite et qui, en elle, s'est faite chair.
Saint Augustin, Homélies sur l'Évangile de saint Jean I-XVI, Paris, Institut des Études augustiniennes, 1993, Œuvres de saint Augustin, vol. 71, Tract. 10, 3, p. 455.
Il est de première importance de retrouver cette vertu à notre époque. La chasteté nous aide à harmoniser toutes les dimensions de notre sexualité et à vivre ainsi dans la joie, conformément à la volonté de Dieu. Parce que la chasteté exige la pratique de l'autodiscipline, elle est aussi un don de l'Esprit Saint qui habite nos corps comme un temple.
Jean-Paul II, Discours aux jeunes, à Maseru (Lesotho), 15 septembre 1988.
« Ô mon âme, que tu es grande, puisque Dieu seul peut te contenter ! Les trois Personnes divines habitent dans cette âme. C'est un petit ciel, lorsque Notre Seigneur vient habiter une âme pure : il est content et remplit l'âme de joie et de bonheur et lui communique cet amour généreux de tout faire et souffrir pour lui plaire. C'est bien humiliant pour Dieu de venir dans une poitrine remplie de gloire et de sang, mais c'est pour y trouver cette âme qu'il aime, qu'il a rachetée au prix de son sang. Si cette âme est pure à ses yeux, il est content, un bien extraordinaire se répand en nous, c'est Notre Seigneur qui se communique à nous », c'est ce qui lui faisait dire : « Il n'y a pas sujet de doute que Notre Seigneur est dans la Sainte Eucharistie, on sait bien qu'il y est, on le sent bien. »
Catherine Lassagne, Le curé d'Ars au quotidien par un témoin privilégié, Paris, Parole et Silence, 2003, p. 79.
La sainteté véritable consiste à faire en souriant la volonté de Dieu.
Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta, La joie du don, Paris, 1975, p. 36.
La joie que Nous connaissons, la joie que Nous avons été chargée de leur donner, fais-leur comprendre que ce n'est pas un mot vague, un insipide lieu commun de sacristie,
Mais une horrible, une superbe, une absurde, une éblouissante, une poignante réalité ! Et que tout le reste n'est rien auprès.
Quelque chose d'humble et de matériel et de poignant, comme le pain que l'on désire, comme le vin qu'ils trouvent si bon, comme l'eau qui fait mourir, si on ne vous en donne, comme le feu qui brûle, comme la voix qui ressuscite les morts !
Paul Claudel, Le Père humilié, Acte II, scène II (le pape VII à son neveu Orian).
La tristesse qui cause un repentir salutaire est le propre d'un homme obéissant, affable, humble, doux, agréable et patient, en ce qu'elle découle de l'amour de Dieu. Il supporte sans se lasser la douleur physique et la contrition de l'esprit, grâce au vif désir de perfection qui l'anime. Il est également joyeux et en un certain sens il se sent comme fortifié par l'espérance de son profit. (...) La tristesse diabolique est diamétralement opposée. Elle est rude, impatiente, dure, pleine d'amertume et de dégoût, et se caractérise aussi par une sorte de désespoir douloureux.
Cassien, Institutions 9, 11.
« Ne vous affligez pas, car la joie de Dieu est votre forteresse » (Néhémie 8, 10).
La joie est un puissant allié pour remporter la victoire dans la lutte (cf. 1 Macchabée 3, 2ss), un remède souverain pour noyer le mal dans le bien, car elle est très unie à la joie.
« Le service authentique du chrétien s'apprécie selon la présence agissante de la grâce en lui et par lui.
La paix dans le cœur du chrétien, par conséquent, est inséparablement unie à la paix (...).
Quand la joie d'un cœur chrétien se déverse dans les autres hommes, elle y engendre l'espérance, l'optimisme, des élans de générosité dans la fatigue quotidienne, et se communique à toute la société.
Mes enfants, ce n'est que si vous avez en vous cette grâce divine qui est joie et paix que vous pourrez construire quelque chose qui en vaille la peine pour les hommes.
Jean-Paul II, Discours, 10 avril 1979.
Benoît XVI à Paris et à Lourdes
Pour nous préparer à la venue du pape Benoît XVI et l'accompagner dans son voyage pastoral, voici un texte de lui qui nous aide à prier :
Accueillir Jésus et l'amener aux autres est la véritable joie du chrétien ! Chers frères et sœurs, suivons et imitons Marie, une âme profondément eucharistique, et toute notre vie pourra devenir un Magnificat (cf. Jean-Pail II, Ecclesia de Eucharistia, n° 58), une lounage de Dieu. Que ceci soit la grâce qu'ensemble nous demandons à la très Sainte Vierge.
Discours, 31 mai 2005.