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Résurrection

  • Coopération des fidèles à la messe

    « C’est alors [à la messe] que le prêtre, par les pouvoirs qu’il a seul reçus ; offre le divin sacrifice où Jésus lui-même renouvelle l’immolation unique accomplie sur le Calvaire pour la rédemption du monde et la glorification de son Père ; c’est là que les chrétiens réunis offrent au Père céleste la divine Victime par le moyen du prêtre et qu’ils apprennent à s’immoler eux-mêmes en hosties vivantes, saintes, agréables à Dieu… » (Jean XXIII, enc. Sacerdotii Nostri Primitias, AAS 1959, p. 564). On voit donc que la messe, par elle-même, exprime la volonté du Dieu de l’alliance d’unir son Peuple au sacrifice de son Fils, et ainsi de faire entrer chacun des membres de ce Peuple dans le grand mouvement de retour à Dieu inauguré par la Passion, la Résurrection et l’Ascension. Cela ne peut se faire que si chacun accepte de correspondre à l’invitation divine.

    J. Lécuyer, Le sacrifice de la Nouvelle Alliance, Le Puy-Lyon-Paris, Éditions Xavier Mappus, 1962, p. 235.

  • Jésus est la Résurrection

    Jésus est la Résurrection

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    Jésus-Christ est le Dieu vivant. C’est pourquoi il répond à Marthe : « Je suis la résurrection et la vie ; celui qui croit en moi, fût-il mort, vivra ; et quiconque vit et croit en moi, ne mourra point pour toujours. Le crois-tu ? » (Jean11, 25-26). « ‘Quiconque croit en moi, fût-il mort, vivra’ ; fût-il mort de la vie temporelle. ‘Et qui conque croit en moi, ne pourra pas’, de la mort véritable. Ne soyez donc pas hors de vous parce que votre frère est mort ; je suis la résurrection ; seulement croyez : la mort temporelle n’est pas une mort ;- Aisni, en même temps qu’il la console du malheur qui venait de l’atteindre, il ranime son espérance, soit en lui disant que son frère ressuscitera, soit en ajoutant : ‘Je suis la résurrection’, soit en affirmant que, vint-il à ressusciter, puis à mourir une seconde fois, il ne lui arrivera aucun mal. Ce n’est pas cette mort qui est à craindre. Lazare n’est pas mort, et vous ne mourrez pas non plus.

    Saint Jean Chrysostome,  Homélies sur saint Jean 62, 3.

  • Pentecôte

    Immenses, mes bien-aimés, et au-delà de toute expression humaine les dons qui nous sont faits aujourd’hui par le Dieu Philanthrope ! A cause de ces dons, réjouissons-nous tous, et bondissons de joie, chantons des hymnes à notre Maître ! Car le jour d’aujourd’hui est fête et solennité. De même que dans la succession des saisons et des solstices l’un fait suite à l’autre, de même, dans l’Eglise, une fête à l’autre s’enchaîne et toutes se font de nous un échange réciproque. Naguère donc, nous avons fêté la Croix, la Passion, la Résurrection, ensuite le retour au ciel de notre Seigneur Jésus-Christ ; aujourd’hui enfin nous aboutissons au terme de ces biens, nous touchons à la métropole des fêtes, nous atteignons le fruit de la promesse du Seigneur.

     

    Saint Jean Chrysostome, Homélie 2 sur la Pentecôte 1.

  • Le baptême

    On a demandé à chacun de vous s’il croit au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Vous avez confessé la confession salutaire, vous avez été plongés trois fois dans l’eau et vous en êtes ressortis, et par là vous avez représenté symboliquement le Christ enseveli pendant trois jours. Car de même que votre Sauveur est resté trois jours et trois nuits dans le sein de la terre, ainsi vous-mêmes par la première émersion vous avez représenté le premier jour que le Christ a passé dans la terre, et par la première immersion la nuit. (…) En un même moment vous êtes morts et vous avez été engendrés, et cette eau salutaire a été pour vous comme un tombeau et comme une mère (…), votre naissance a coïncidé avec votre mort.

    Ô chose étrange et inconcevable ! ce n’est pas vraiment que nous sommes morts, ni vraiment que nous avons été ensevelis, ni vraiment que nous avons été crucifiés pour ressusciter : ce n’est qu’en figure que nous avons imité (la mort du Christ), mais en vérité que nous avons été sauvés. Le Christ a été réellement crucifié et réellement enseveli, et il est réellement ressuscité. Et tout cela nous a été donné par grâce, afin que participant en imitation à ses souffrances, nous obtenions en vérité le salut. Ô excès d’amour pour les hommes ! Le Christ a reçu les clous dans ses mains et ses pieds immaculés, et il a souffert, et à moi qui ne souffre ni ne peine, il donne le salut par la communion à sa souffrance.

    Saint Cyrille de Jérusalem, Cat. Mystag. 2, 5, PG33, 1081.

  • 23 mars : temoins de la Resurrection

    Afin que votre témoignage soit crédible, vos vies doivent rayonner dea4b9c74a243d64b264a58f2d8312f7a7.jpg joie et de courage, même face à l'adversité. Cela n'est possible que si notre vie intérieure est caractérisée par une communion étroite avec le Christ, qui est alimentée par la prière personnelle et la pratique de la charité pastorale. Plus vous grandirez selon le modèle du Christ et plus vous serez transformés à son image. Vous deviendrez un signe d'espérance et une proclamation vivante de la Résurrection.

    Jean-Paul II, Discours à Jakarta, 10 octobre 1989.

     

     

  • 19 fevrier : le besoin d'evangeliser

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    L'Église a besoin de personnes qui participent pleinement à sa mission d'évangéliser la paix. Le monde a besoin de chrétiens convaincus, loyaux, fiers de leur foi et capables de s'engager dans leur famille et dans les milieux de vie pour montrer avec leurs œuvres que le Christ n'est pas mort en vain pour nous et que la force de sa Résurrection purifie et transforme notre vie.

    Jean-Paul II, Homélie à la caserne romaine de la Cecchignola, 2 avril 1989.