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Saint Cyprien

  • Nous et les autres dans l'adversité

    Voici ce qui nous différencie d'avec ceux qui ne connaissent pas Dieu : eux, dans l'adversité, ils se plaigent et critiquent ; nous, l'adversité ne nous écarte ni de la vertu ni de la vraie foi. Au contraire, celles-ci se renforcent dans la douleur.

     

    Saint Cyprien, De mortalitate 13.

  • Prier sans cesse

    Nous qui sommes toujours dans le Christ, c’est-à-dire dans la lumière, nous ne devons jamais cesser de prier, pas même pendant la nuit (…). Nous autres, mes très chers frères, qui sommes toujours dans la lumière du Seigneur, qui avons présent et maintenons continuellement ce que nous avons commencé à être un jour par le don de la grâce, nous devons nous rendre compte que la nuit est jour (…). Les heures nocturnes ne produisent aucune cassure dans nos prières.

     

    Saint Cyprien, De Dominica oratione 35.

  • Toujours prier

     

    Nous qui sommes toujours dans le Christ, c’est-à-dire dans la lumière, nous ne devons jamais cesser de prier, pas même pendant la nuit (…). Nous autres, mes très chers frères, qui sommes toujours dans la lumière du Seigneur, qui avons présent et maintenons continuellement ce que nous avons commencé à être un jour par le don de la grâce, nous devons nous rendre compte que la nuit est jour (…). Les heures nocturnes ne produisent aucune cassure dans nos prières.

     

    Saint Cyprien, De Dominica oratione 35.

  • Les effets du baptême

    Quand l'eau régénératrice eut effacé les traces de mon passé, et que mon cœur dès lors purifié se fut rempli d'une lumière d'en haut, lorsqu'un Esprit venu du ciel m'eut donné une seconde vie, et fait de moi un homme nouveau, ce fut un merveilleux changement : au doute succède la certitude, au mystère la clarté, la lumière aux ténèbres ; les difficultés s'étaient évanouies.

     

    Saint Cyprien, Ad Donat. 4.

  • Prière et unité

    Avant tout, le docteur de la paix, le maître de l’unité, n’a pas voulu que la prière eût un caractère personnel et privé, que chacun, en priant, ne songeât qu’à soi. Nous ne disons pas : « Mon Père, qui êtes aux cieux : donnez-moi aujourd’hui mon pain », chacun de nous ne demande pas que sa dette lui soit remise, il ne prie point pour obtenir pour lui seul de n’être point soumis à l’épreuve et d’échapper au mal : notre prière est publique et commune, et quand nous prions, ce n’est pas pour un seul, mais pour le peuple tout entier, car notre peuple tout entier ne fait qu’un. Le Dieu de la paix, le maître de la concorde, qui nous a enseigné l’unité, a voulu que de la sorte un seul priât pour tous comme lui-même en un seul nous portait tous.

     

    Saint Cyprien, La Prière du Seigneur 8.