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salut

  • L'Eglise, salut et refuge

    Ne te sépare point de l'Église : aucune puissance n'a sa  force ! Ton espérance, c'est l'Église. Ton salut, c'est l'Église. Ton refuge, c'est l'Église. Elle est plus haute que le ciel et plus large que la terre. Elle ne vieillit jamais : sa vigueur est éternelle.

     

    Saint Jean Chrysostome.

  • L'neseignement du Christ

    Il pouvait descendre de la Croix, celui qui a pu ressusciter du sépulcre ; mais il nous a enseigné à supporter les insulteurs, il nous a enseigné à être patients en face des paroles des hommes, à boire maintenant le calice d'amertume et à recevoir ensuite le salut éternel. Bois, toi qui es malade, le calice amer pour devenir en bonne santé... ; ne sois pas agité par la crainte puisque, pour que tu ne t'agites pas de crainte, le Médecin a bu le premier : le Seigneur a bu le premier l'amertume de la Passion. Il a bu, celui qui n'avait pas de péché, celui qui n'avait rien en lui à devoir être guéri. Bois jusqu'à ce que passe l'amertume de ce siècle et qu'arrive le siècle où il n'y aura aucun scandale, aucune colère, aucune fièvre, aucune tromperie, aucune inimitié, aucune vieillesse, aucune mort, aucune dispute. Peine ici-bas pour venir à la fin ; peine de peut que, si tu ne veux pas peiner ici-bas, tu n'arrives à la fin de la vie, mais que tu n'arrives jamais à la fin des peines.

    Saint Augustin, En. In Ps. 48, 1, 11.

  • Science et foi

    La science sacrée qui, au service de la foi, pénètre dans les profonds mystères de la divinité et du dessein providentiel de salut, et la science profane, qui lutte infatigablement pour avoir une connaissance plus vaste des choses créées, ne sont pas des ennemies, mais des sœurs. La plus haute noblesse de l’une, qu’elle tient de sa fin propre, qui est d’ordre surnaturel, ne diminue pas la grandeur, l’importance, la nécessité, les mérites de l’autre, laquelle étudie et découvre l’œuvre du Créateur dans l’univers.

     

    Pie XII, Allocution au Congrès des sciences mathématiques, 12 novembre 1941.

  • Marie, le chemin qui mène au Christ

    Marie est bien toujours le chemin qui mène au Christ. La rencontre avec elle aboutit toujours à le rencontrer, lui. Que peut signifier le recours continuel à Notre Dame, sinon qu’on cherche entre ses bras, en elle, par elle et avec elle, le Christ notre Sauveur, auquel les hommes, parmi les égarements et les dangers de ce bas monde, ont l’obligation et se sentent toujours le besoin de recourir comme à celui qui est le port du salut, la source surnaturelle de vie ?

     

    Paul VI, encyclique Mense maio, 29 avril 1965, n° 2.

     

  • La raison d'être de l'Église

    Il est nécessaire de tenir ensemble ces deux vérités, à savoir la possibilité réelle du salut dans le Christ pour tous les hommes et la nécessité de l'Église pour le salut. L'une et l'autre nous aident à comprendre l'unique mystère salvifique, et nous permettent ainsi de faire l'expérience de la miséricorde de Dieu et de prendre conscience de notre responsabilité. Le salut, qui est toujours un don de l'Esprit, requiert la coopération de l'homme à son propre salut comme à celui des autres. Telle est la volonté de Dieu, et c'est pour cela qu'il a fondé l'Église, et l'a incluse dans le plan du salut.


    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 9.

     

  • Marie au Calvaire

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    Au Calvaire, en s'unissant au sacrifice de son Fils, Marie apporte à l'œuvre du salut sa contribution maternelle, qui prend la forme d'un enfantement douloureux, l'enfantement de l'humanité nouvelle.

     

    Jean-Paul II, Audience générale, 17 septembre 1997.

     

  • Comment se sauver

    (la sœur de saint Thomas d'Aquin lui demanda) : « Mon frère, pour se sauver, que faut-il faire ? » Saint Thomas réfléchit un instant, puis répondit par cette parole d'or : « Ma sœur, pour se sauver il faut le vouloir ».

    Dom Paul Delatte, Contempler l'invisible, Solesmes, 1964, p. 103.

  • Libération et royaume de Dieu

    La libération et le salut qu'apporte le Royaume de Dieu atteignent la personne humaine dans ses aspects physiques et spirituels. Deux gestes caractérisent la mission de Jésus : guérir et pardonner. Ses nombreuses guérisons montrent sa grande compassion en face de la misère humaine; mais elles signifient aussi qu'il n'y aura plus, dans le Royaume, ni maladies ni souffrances et que, dès le début, la mission tend à libérer les personnes de leurs maux. Dans la perspective de Jésus, les guérisons sont également signes du salut spirituel, c'est-à-dire de la libération du péché. En accomplissant des gestes de guérison, Jésus invite à la foi, à la conversion et au désir du pardon (cf. Luc 5, 24). Quand est reçu le don de la foi, la guérison pousse à aller plus loin : elle introduit dans le salut (cf. Luc 18, 42-43). Les gestes de libération de la possession du démon, mal suprême et symbole du péché et de la rébellion contre Dieu, sont des signes que « le Royaume de Dieu est arrivé jusqu'à vous » (Matthieu 12, 28).


    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 15.

     

  • Ne pas se séparer de l'Église

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    Ne te sépare point de l'Église : aucune puissance n'a sa force ! Ton espérance, c'est l'Église. Ton salut, c'est l'Église. Ton refuge, c'est l'Église. Elle est plus haute que le ciel et plus large que la terre. Elle ne vieillit jamais : sa vigueur est éternelle.

     

    Saint Jean Chrysostome.

     

  • Respecter le nom de Dieu

    « Je vais édicter un décret pour toutes les tribus et les langues de toute la terre. » Quel décret ? « Tous ceux qui blasphèmeront le Dieu de Sidrac, de Misac et d'Abdénago seront mis à mort, et leur maison sera détruite. » Voilà comment a sévi un roi étranger (Nabuchodonosor) pour qu'on ne blasphème pas le Dieu d'Israël qui avait pu délivrer les trois jeunes gens des flammes, et ils ne veulent pas que les rois chrétiens sévissent parce qu'on exorcise le Christ qui délivre, non pas trois jeunes gens, mais l'univers entier avec les rois eux-mêmes des flammes de la géhenne ! Car ces trois jeunes gens, mes frères, obt été délivrés d'un feu temporel. Le Dieu des Macchabées n'est-il pas le même que celui des trois jeunes gens ? Il a délivré ceux-ci des flammes, les autres ont pertdu la vie corporelle dans les tourments du feu, mais leur âme est demeurée attachée aux préceptes de la Loi. Les uns ont été délivrés d'une manière éclatante, les autres ont été couronnés secrètement.

    Saint Augustin, Homélies sur l'Évangile de saint Jean I-XVI, Paris, Institut des Études augustiniennes, 1993, Œuvres de saint Augustin, vol. 71, Tract. 11, 14, p. 623.