La pureté en tant que vertu, c'est-à-dire en tant que capacité à « maintenir son corps dans la sainteté et l'honneur » (1 Thessaloniciens 4, 4), alliée au don de la piété, comme fruit de l'inhabitation du Saint-Esprit dans le « temple » du corps, réalise en lui une plénitude si grande de dignité dans les relations interpersonnelles, que Dieu lui-même est glorifié en lui. La pureté est la gloire du corps humain devant Dieu. C'est la gloire de Dieu dans le corps humain.
Jean-Paul II, Audience générale, 18 mars 1981.