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Dominique Le Tourneau - Page 100

  • 3 fevrier : la tache prioritaire

    La tâche prioritaire et irremplaçable, (...) c'est de connaître Jésus, en étudiant, en approfondissant, en méditant la Sainte Écriture, non pas comme un simple livre d'histoire mais comme le t715778e3bf5a99693dbc2de127ed33f3.jpgémoignage éternel d'un vivant, car le Christ est ressuscité et « il ests assis à la droite du Père ». En outre, quand il s'agit de Jésus, il ne suffit pas de s'arrêter au plan de la connaissance théorique : sa personne, son message continuent à nous interpeller, à nous impliquer, à nous pousser à vivre de lui et en lui. On est alors vraiment chrétien lorsque, jour après jour, se réalisent les exigences, pas toujours faciles, de l'Évangile de Jésus. Que ne s'appliquent en rien à vous, frères et sœur, les paroles de saint Augustin : « Ceux qui se parent d'un nom et qui ne l'ont pas, quelle joie leur donne-t-il, ce nom, si ce n'est pas la réalité ?... Ainsi, beaucoup s'appellent chrétiens mais ne le sont pas parce qu'ils ne sont pas ce qu'ils disent être ni dans la vie, ni dans les mœurs, ni dans l'espérance, ni dans la charité » (In Epist. Ioann. Tract. 4, 4).

    Jean-Paul II, Discours à 8 000 professeurs, élèves et anciens élèves des collèges romains, 9 février 1980.

     

     

  • 27 fevrier : la place de Marie dans notre vie

    « Lève-Toi et mange, car le chemin est trop long pour toi » (cf. 1 Rois 19, 4). Très cher jeunes ! Pour vous aussi peuvent se présenter des moments de lassitude, de désillusion, d'amertume à cause des difficultés de la vie, des défaites subies, du manque d'assistance et de modèles, de la solitude qui conduit à la méfiance et à la dépression, des incertitudes de l'avenir ! S'il vous arrive de vous trouver dans cette situation, rappelez-vous que, dans le plan providentiel de la création et de la rédemption, le Seigneur a voulu placer la Très-Sainte Vierge Marie à nos côtés et, comme l'ange pour le prophète, elle se tient près de nous, nous aide, nous exhorte et, par sa spiritualité, nous indique où sont la lumière et la force pour continuer le chemin de la vie.

    Jean-Paul II, Homélie à la messe pour les participants à la « VIIe Tendopoli mariana », 8 août 1982.



  • 21 fevrier :

    bf801ce1de38d62308f5002b37aee1c4.jpg   Le bien de la pitié est plus utile à celui qui la pratique qu'à celui qui en bénéficie. Car celui qui la pratique en retire un profit spirituel, tandis que celui qui en bénéficie n'en retire qu'un profit matériel.

     

                        Saint Thomas d'Aquin, Commentaire sur la Deuxième épître aux Corinthiens, ad. 8, 10.

     

     

  • 2 fevrier : la Presentation

    Lors de la fête de la Présentation au Temple, nous contemplerons0e2756106cf5b9c7d538fae10f9d0023.jpg Marie comme Mère et modèle de l'Église, qui réunit en elle les deux vocations : à la virginité et au mariage, à la vie contemplative et à la vie active.

    Benoît XVI, Angélus, 19 novembre 2006.


  • 1er fevrier : les mauvaises pensees

    659ea5c5b6e2e96e93ddaafabfd7635d.jpgFuyez donc, ô homme ! et éteignez ces feux dangereux. Si vous voyiez un homme secouer d'un lieu élevé un vêtement couvert de poussière, et un autre assis au-dessous recevoir tranquillement ces immondices, vous ne plaindriez point ce dernier (...). Or, maintenant vous ne pouvez ignorer que le démon n'excite en vous la soif des richesses, et qu'il est à notre égard la cause d'épouvantables malheurs. Vous le voyez préparer, comme une fange immonde, les pensées les plus honteuses, et vous ne comprenez pas qu'il vous les jette au visage, quand il suffirait de vous éloigner un peu pour les éviter. L'imbécile dont je parlais tout à l'heure n'aurait qu'à changer de place, et il s'épargnerait tout désagrément ; et vous aussi n'accueillez pas ces pensées, et vous éviterez le péché.

    Saint Jean Chrysostome, Homélies sur les Actes des apôtres 7, 4.

     

     

  • 31 janvier : ne rien garder d'inutile

    343da0c25254cd3ef1ce86a6bdd79203.jpgLe pain qui demeure inutile chez vous, c'est le pain de celui qui a faim ; la tunique suspendue dans votre garde-robe, c'est la tunique de celui qui est nu ; la chaussure qui demeure inutile chez vous est celle du pauvre qui va nu-pieds ; l'argent que vous tenez enfoui, c'est l'argent du pauvre : vous commettez autant d'injustices que vous pourriez répandre de bienfaits.

    Saint Basile.

     

     

  • 30 janvier : du bon usage de l'argent

    612c7ecbe8910085bed3843a07da5d19.jpegL'argent sans la vertu n'est qu'un hôte incommode.

     
    Sappho, cité par J. Carcopino, De Pythagore aux Apôtres. Études sur la conversion du Monde Romain, Paris, 1956, p. 30.

     

     

  • 29 janvier : evangeliser au quotidien

    c2165c5f6573a366116515bd571df9dd.jpgJamais on ne consacrera assez de forces et de temps, de moyens et de soins, d'intelligence et de travail pour la plus importante de toutes les causes, à savoir pour procurer le salut éternel des hommes et, sur la terre, leur assurer une vie en rapport avec leur dignité, selon les commandements du Christ et l'enseignement de l'Église.

    Jean-Paul II, Lettre au Supérieur de la Société du divin Sauveur, 2 juillet 1989.

     

     

  • 28 janvier : etre saint

    dde85a6d62a06a8714ecf26343f15129.jpgÊtre saint veut dire chercher à penser comme le Christ pensait, vouloir comme le Christ voulait, parler comme le Christ parlait, travailler comme le Christ travaillait, être en somme un autre Christ (alter Christus), c'est-à-dire un témoin authentique du Christ et un vrai chrétien. La sainteté exige que nous nous posions toujours cette question : que ferait le Christ en ce moment à ma place ? »

    J. Albewicz, Vous serez mes témoins, Paris, 1990, p. 38.

     

     

  • 27 janvier : ne pas faiblir

    4b684146549682b7ce1bb3be9bb833cb.jpgCinquante milliards divisés en pièces de cent sous et qui reposent au fond des bas de laine sont absolument impuissants à balancer l'influence d'un seul milliard rapidement mobilisable, et qui manœuvre les changes selon les principes de la guerre napoléonienne. « Qu'importe le nombre des régiments que l'ennemi vous oppose, pourvu que vous vous trouviez toujours le plus fort là où il est le plus faible ? »

    G. Bernanos, Les Grands Cimetières sous la lune, 1ère partie, Paris, Gallimard, éd. La Pléïade, 1971, p. 376.