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dignité

  • Dignité de la femme

     

    La reconnaissance franche et nette de la dignité personnelle de la femme constitue le premier pas à faire pour promouvoir sa pleine participation tant à la vie de l'Église qu'à la vie sociale et publique.

    Jean-Paul II, exhortation apostolique sur La vocation et la mission des fidèles laïcs dans l'Église et dans le monde, 30 décembre 1988, n° 49.

     

  • Chercher la vérité est un devoir

    38.Vizille.Musee.ThomasBouquerotdeVoligny.DeputedelaNievreauConseildesAnciens1798-1799.jpgEn vertu de leur dignité, tous les hommes, parce qu’ils sont des personnes, c’est-à-dire doués de raison et de volonté libre, et, par suite, pourvus d’une responsabilité personnelle, sont pressés, par leur nature même, et tenus, par obligation morale, à chercher la vérité, tout d’abord celle qui concerne la religion. Ils sont tenus aussi à adhérer à la vérité dès qu’ils la connaissent et à régler toute leur vie selon les exigences de cette vérité.

    Concile Vatican II, déclaration Dignitatis humanæ, n° 2.

  • La liberté de conscience

    Le Concile Vatican II répond à ceux qui ont le souci de protéger la liberté de conscience :Chuteetoiles.jpg « La personne humaine a droit à la liberté religieuse. (...) Tous les hommes doivent être soustraits à toute contrainte de la part tant des individus que des groupes sociaux et de quelque pouvoir humain que ce soit, de telle sorte qu’en matière religieuse nul ne soit forcé d’agir contre sa conscience ni empêché d’agir, dans de justes limites, selon sa conscience, en privé comme en public, seul ou associé à d’autres. »

     

    Concile Vatican II, déclaration Dignitatis humanæ, n° 2.


  • Le respect de l'homme

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    Là où l’homme est diminué, c’est le monde qui nous entoure qui est diminué ; il perd sa signification ultime et s’écarte de sa finalité. Ce qui en ressort, c’est une culture non pas de la vie, mais de la mort. Comment peut-on considérer cela un « progrès » ? Au contraire, c’est un pas en arrière, une forme de régression qui, en définitive, assèche les sources mêmes de la vie, de l’individu comme de la société tout entière.

    Benoît XVI, Homélie de la messe avec les évêques, les séminaristes et les novices, Sydney, 19 juillet 2008.

     

  • 5 juillet : l'honneur de la femme

    Femme1.jpgIl faut dépasser la mentalité selon laquelle l'honneur de la femme vient davantage du travail à l'extérieur que de l'activité familiale. Mais il faut pour cela que les hommes estiment et aiment vraiment la femme en tout respect de sa dignité personnelle, et que la société crée et développe des conditions adaptées pour le travail à la maison.

    Jean-Paul II, exhortation apostolique Familiaris consortio, n° 23.


  • 10 avril : les soins palliatifs

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    Même si la mort est considérée comme imminente, les soins ordinairement dus à une personne malade ne peuvent être légitimement interrompus. L’usage des analgésiques pour alléger les souffrances du moribond, même au risque d’abréger ses jours, peut être moralement conforme à la dignité humaine si la mort n’est pas voulue, ni comme fin ni comme moyen, mais seulement prévue et tolérée comme inévitable. Les soins palliatifs constituent une forme privilégiée de la charité désintéressée. À ce titre ils doivent être encouragés.

     

    Catéchisme de l'Église catholique, n° 2279.

  • 8 avril : l'euthanasie

        507329719.JPGQuels qu’en soient les motifs et les moyens, l’euthanasie directe consiste à mettre fin à la vie de personnes handicapées, malades ou mourantes. Elle est moralement irrecevable.

    Ainsi une action ou une omission qui, de soi ou dans l’intention, donne la mort afin de supprimer la douleur, constitue un meurtre gravement contraire à la dignité de la personne humaine et au respect du Dieu vivant, son Créateur. L’erreur de jugement dans laquelle on peut être tombé de bonne foi, ne change pas la nature de cet acte meurtrier, toujours à proscrire et à exclure.

    Catéchisme de l'Église catholique, n° 2277.

         
  • 29 janvier : evangeliser au quotidien

    c2165c5f6573a366116515bd571df9dd.jpgJamais on ne consacrera assez de forces et de temps, de moyens et de soins, d'intelligence et de travail pour la plus importante de toutes les causes, à savoir pour procurer le salut éternel des hommes et, sur la terre, leur assurer une vie en rapport avec leur dignité, selon les commandements du Christ et l'enseignement de l'Église.

    Jean-Paul II, Lettre au Supérieur de la Société du divin Sauveur, 2 juillet 1989.