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Jean-Paul II - Page 7

  • 25 juin : l'inculturation

    1096563407.jpgSoucieuse d'entrer en contact avec tous les peuples et toutes les cultures,

    l'Église veut s'enrichir des véritables valeurs qu'elle y rencontre.

    Et l'expérience lui enseigne qu'au point de vue pastoral, il est utile d'emprunter les exressions culturelles particulières d'un peuple,

    par exemple dans les relations au sein de la communauté, dans la prière, dans la catéchèse et dans la liturgie.

    Mais dans ce domaine, elle doit respecter, avec une fidélité totale et bienveillante,

    les textes et les rites que l'autorité légitime décide d'exclure du cadre de la créativité des personnes et des groupes.

     

    Jean-Paul II, Homélie au « Largo de Goto », Beira (Mozambique), 17 septembre 1988.



  • 24 juin : culture et christianisme

    1581760533.jpg                                                    Le développement d'une culture est, en un certain sens, une réponse au commandement originaire de Dieu :

    « Emplissez la terre et soumettez-la » (Gn 1, 28).

     

    Jean-Paul II, Homélie à Semarang(Indonésie), 10 octobre 1989.



  • 17 juin : la gloire de Dieu

    L'homme ne peut rien faire de plus grand que de rendre gloire à Dieu.

    Il n'est pas d'action plus élevée pour les peuples, pour les nations et pour les sociétés.

    361634236.jpgLe Créateur a placé l'homme, dès le commencement, au centre du monde visible, afin quecet homme, créé comme homme et femme, puisse connaître Dieuà travers le témoignage de toute la création.

    Et connaître Dieu, cela veut dire : lui rendre gloire.

    Elle est insondable, la gloire de Dieu en lui-même, dans le mystère de sa nature divine, dans le mystère du Père, du Fils et de l'Esprit Saint.

    L'homme connaît Dieu par le monde créé. Et au nom de la création, il proclame sa gloire.

     

    Jean-Paul II, Homélie lors de la sainte Messe à l'aéroport d'Antisranana, 29 avril 1989.

  • 2 juin : la défaite du diable

    305804367.jpgLe combat entre le règne de l'esprit malin et le royaume de Dieu n'est pas fini.

    Il est seulement entré dans une nouvelle phase, la phase finale. (...)

    Le diable fait miroiter à l'homme et à la société une soi-disante liberté qui, en fait, revient à se résigner à une série de contraintes et en définitive à l'esclavage. (...)

    Apprenez à penser, parler et agir avec clarté.

    Appelez un péché un péché et non libération et progrès, même si la mode et la propagande disent le contraire.

     

    Jean-Paul II, Discours aux universitaires, 27 mars 1981.



  • 30 mai : le Coeur du Christ

    491179471.jpgPar l'onction de l'Esprit Saint, dans cette Humanité (du Christ) a été formé le Cœur ! Le Cœur, qui est l'organe central de l'organisme humain du Christ et, en même temps, le vrai symbole de sa vie intérieure : de sa pensée, de sa volonté et de ses sentiments. Par le moyeu du Cœur l'Humanité du Christ est, d'une manière spéciale, « le temple de Dieu » et en même temps, par ce Cœur, elle demeure incessamment ouverte vers l'homme et vers tout ce qui est « humain » : « Cœur de Jésus dont la plénitude se répand sur nous. »

    Jean-Paul II, Angélus, 27 juillet 1982.

  • 28 mai : enfants de Dieu et Eucharistie

    1218067411.jpgOù est mieux exprimée cette vérité que non seulement nous sommes « appelés fils de Dieu » mais que « nous le sommes réellement » (1 Jean 3, 1), en vertu du sacrement du baptême, sinon dans le fait que, dans l'Eucharistie, nous devenons participants du Corps et du Sang de l'unique Fils de Dieu ? Qu'est-ce qui nous prédispose le plus à « être de vrais témoins du Christ » face au monde, comme il résulte du sacrement de confirmation, sinon la communion eucharistique, dans laquelle le Christ nous donne témoignage à nous, et nous à Lui ?

    Jean-Paul II, Le Mystère et le culte de la sainte Eucharistie. Lettre aux évêques pour le Jeudi saint 1980, n° 7.

  • 19 mai : la vraie joie

    En Jésus la joie prend toute sa force dans l'élan vers le Père. Il en est ainsi pour les808316940.jpg joies provoquées et soutenues par l'Esprit Saint dans la vie des hommes : leur force vitale secrète les oriente dans le sens d'un amour rempli de gratitude envers le Père. Chaque vraie joie a le Père comme fin ultime.

     

    Jean-Paul II, Audience générale, 19 juin 1991, n° 5.


  • 28 avril : la conversion

    La personne qui naît à la foi est toujours un être blessé dans l'intelligence et dans la2057756871.jpg volonté. La conversion et la pénitence, renouvelant la conscience et la vie, permettent de ce fait de réduire les fractures, de cicatriser les blessures, d'instaurer à tous les niveaux une unité essentielle. « Se convertir c'est changer la vie en même temps que le cœur » (exhortation apostolique Réconciliation et pénitence, n° 4).

    Jean-Paul II, Discours à la IIe « ultreya » nationale du mouvement des « cursillos », 20 avril 1985.

  • 25 mars : amour et Eucharistie

    1627210884.JPGAvec ce don inoubliable et gratuit qu'est la charitérévélée, jusqu'au bout, dans le sacrifice salvifique du Fils de Dieu dont l'Eucharistie est un signe indélébile, naît en nous une vivante réponse d'amour. Non seulement nous connaissons l'amour, mais nous commençonsnous-mêmes à aimer. Nous entrons, pour ainsi dire, dans la voie de l'amour, et nous réalisons des progrès sur cette voie. L'amour qui naît en nous de l'Eucharistie se développe, s'approfondit et se renforce grâce à elle.

    Jean-Paul II, Le Mystère et le culte de la sainte Eucharistie. Lettre aux évêques pour le Jeudi saint 1980, n° 5.

     

     

  • 22 fevrier : la Croix et l'homme

    La Croix est le moyen le plus profond pour la divinité de se pencher sur l'homme et sur ce que l'homme - surtout dans les moments difficilesbfad44819b9fc1abcc03940c50d9ddbe.jpg et douloureux - appelle son malheureux destin. La croix est comme un toucher de l'amour éternel sur les blessures les plus douloureuses de l'existence terrestre de l'homme, et l'accomplissement jusqu'au bout du programme messianique (...). La croix du Christ nous fait comprendre que les racines les plus profondes du mal plongent dans le péché et dans la mort ; aussi devient-elle un signe eschatologique.

    Jean-Paul II, encyclique Dives in misericordia, 30 novembre 1980, n° 8.