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miséricorde

  • Les enseignements de Noël

    L’Enfant couché dans la pauvreté d’une mangeoire : tel est le signe de Dieu. Les siècles et les millénaires passent, mais le signe demeure, et il vaut aussi pour nous, hommes et femmes du troisième millénaire. C’est un signe d’espérance pour toute la famille humaine ; un signe de paix pour ceux qui souffrent à cause de conflits de tout genre; un signe de libération pour les pauvres et les opprimés ; un signe de miséricorde pour ceux qui sont enfermés dans le cercle vicieux du péché ; un signe d’amour et de réconfort pour ceux qui se sentent seuls et abandonnés.

    C’est un signe ténu et fragile, humble et silencieux, mais riche de la puissance de Dieu, qui s’est fait homme par amour.

     

    Jean-Paul II, 24 décembre 2002.

  • La vitalité chrétienne

    L'ultime critère de votre dynamisme se trouve non pas dans l'habileté humaine ou dans l'activité de n'importe quelle organisation, mais dans l'union avec le Christ, avant tout dans le culte eucharistique. Le véritable test de la vitalité chrétienne du village, de la paroisse, du diocèse ou de la nation se trouve dans la réponse à cette question : « Quelle est la place de la Sainte Eucharistie dans notre vie ? » Aussi est-ce par la participation au mystère pascal de sa mort et de sa résurrection que Jésus-Christ fait authentiquement de nous ses collaborateurs dans la propagation de son royaume sur la terre. La messe est vraiment très importante. C'est par l'Eucharistie que le Christ guide notre vie et construit nos communautés d'amour, d'entente et de miséricorde.

    Jean-Paul II, Discours aux organisations du laïcat, Kaduna (Nigeria), 14 février 1982.

     

  • Prière par Marie

    Ethiopie.Bahir.Dar.Marie.EnfantsMisericorde.jpgRendons grâces à Dieu le Père tout-puissant, qui a voulu que Marie, la Mère de son Fils, soit honorée par toutes les générations, et implorons-la en lui demandant : Pleine de grâces, intercédez pour nous.

    Toi qui as constitué Marie en Mère de miséricorde, accorde à ceux qui se trouvent en danger de ressentir son affection maternelle.

    Toi qui as voulu que Marie soit la mère de famille dans la maison de Jésus et de Joseph, fais que, par son intercession, toutes les mères répandent charité et sainteté dans les familles.

    Toi qui as rendu forte Marie debout au pied de la Croix et l'a remplie de joie à la Résurrection de son Fils, soulage les affligés et raffermis leur espérance.

    Toi qui as rendu Marie attentive à ta parole et en a fait ta servante fidèle, par son intercession fais de nous les serviteurs et les disciples de ton Fils.

    Toi qui as couronné Marie Reine du ciel, fais que les défunts possèdent pour l'éternité ton royaume avec la foule des saints.

    Commun de la Sainte Vierge, Prières pour les deuxièmes Vêpres.

     

  • Salve Regina

    83.Gonfaron.CoeurMarie.jpgCette prière (du Salve Regina) culmine dans la demande : « Montrez-nous Jésus. » C'est ce que Marie réalise en permanence, comme cela est figuré dans tant d'images de la Sainte Vierge répandues (...). Elle, avec son Fils dans les bras, comme ici au Pilar, nous le montre sans cesse comme « le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14, 6). Parfois, avec son Fils mort sur ses genoux, elle nous rappelle la valeur infinie du sang de l'Agneau qui a été répandu pour notre salut (cf. 1 P 1, 18s ; Ep 1, 7). En d'autres occasions, en s'inclinant vers les hommes, elle rapproche son Fils de nous, et nous fait sentir la proximité de celui qui est la révélation radicale de la miséricorde (cf. Dives in misericordia, n° 8), se manifestant ainsi elle-même comme la Mère de la Miséricorde (ibid., n° 9).


    Jean-Paul II, À N-D del Pilar de Saragosse, novembre 1979.

     

  • Le coeur de Marie

    67.Marienthal1.ND7douleurs.jpg« Dans le Cœur de la très Sainte Vierge, il n'y a que la Miséricorde. (...) Le Fils a sa justice, mais la Mère n'a que son amour. (...) Le Cœur de Marie est si tendre pour nous que ceux de toutes les autres mères réunies ne sont qu'un morceau de glace auprès du sien »


    Saint Curé d'Ars.

     

  • La prière de Marie

    06.Luceram.ChapelleStGrat.DouceViergePrincesseetEnfant.jpgS'abaissant vers le genre humain avec une indicible charité et tournant vers nous ces yeux si miséricordieux qui sont la lumière du ciel, elle fait monter une prière universelle pour le clergé et pour le peuple, hommes et femmes, vivants et morts. Du ciel, la toute glorieuse nous vient en aide ici-bas, et par sa prière toute-puissante, elle chasse tous les maux et donne tous les biens ; pour tous ceux qui la prient du fond du cœur, elle se fait leur protection pour la vie présente et pour la vie future.


    Amédée de Lausanne, Homélies mariales 7.

     

  • Refuser le Christ

    Peut-on refuser le Christ et tout ce qu'il a apporté dans l'histoire de l'homme ? Certainement oui. L'homme est libre. L'homme peut dire à Dieu : non. L'homme peut dire au Christ : non. Mais demeure la question fondamentale : est-il permis de le faire, et au nom de quoi est-ce permis ?


    Jean-Paul II, encyclique Dives in misericordia, 30 novembre 1980, n° 7.

     

  • La valeur éducative de la souffrance

    Déjà dans l'Ancien Testament, nous remarquons une tendance qui cherche à dépasser l'idée selon laquelle la souffrance n'a de sens que comme punition du péché, car on souligne en même temps là valeur éducative de cette peine qu'est la souffrance. Ainsi donc, dans les souffrances infligées par Dieu au Peuple élu est contenue une invitation de sa miséricorde, qui châtie pour amener à la conversion : « Ces persécutions ont eu lieu non pour la ruine mais pour la correction de notre peuple » (2 Macchabées 6, 12).


    Jean-Paul II, lettre apostolique Salvifici doloris sur la valeur salvatrice de la douleur, 11 février 1984, n° 12.

     

  • La raison d'être de l'Église

    Vatican.Colonnade.Janicule.JPGIl est nécessaire de tenir ensemble ces deux vérités, à savoir la possibilité réelle du salut dans le Christ pour tous les hommes et la nécessité de l’Église pour le salut. L’une et l’autre nous aident à comprendre l’unique mystère salvifique, et nous permettent ainsi de faire l’expérience de la miséricorde de Dieu et de prendre conscience de notre responsabilité. Le salut, qui est toujours un don de l’Esprit, requiert la coopération de l’homme à son propre salut comme à celui des autres. Telle est la volonté de Dieu, et c’est pour cela qu’il a fondé l’Église, et l’a incluse dans le plan du salut.

    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 9.

  • La raison d'être de l'Église

     

    Il est nécessaire de tenir ensemble ces deux vérités, à savoir la possibilité réelle du salutChuteEau.Fleurs.jpg dans le Christ pour tous les hommes et la nécessité de l’Église pour le salut. L’une et l’autre nous aident à comprendre l’unique mystère salvifique, et nous permettent ainsi de faire l’expérience de la miséricorde de Dieu et de prendre conscience de notre responsabilité. Le salut, qui est toujours un don de l’Esprit, requiert la coopération de l’homme à son propre salut comme à celui des autres. Telle est la volonté de Dieu, et c’est pour cela qu’il a fondé l’Église, et l’a incluse dans le plan du salut.

    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 9.