UA-62488107-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

homme

  • L'importance particulière de l'homme

    « L'homme est la seule créature sur terre que Dieu ait voulue pour elle-même » (Concile Vatican II, constitution pastorale Gaudium et spes, n° 24). L'homme, tel qu'il est « voulu » par Dieu, « choisi » par Lui de toute éternité, appelé, destiné à la grâce et à la gloire: voilà ce qu'est « tout » homme, l'homme « le plus concret », « le plus réel » ; c'est cela, l'homme dans toute la plénitude du mystère dont il est devenu participant en Jésus-Christ et dont devient participant chacun des quatre milliards d'hommes vivant sur notre planète, dès l'instant de sa conception près du coeur de sa mère.


    Jean-Paul II, encyclique Redemptor hominis, n° 13.

     

  • L'Église et le bien des hommes

    L'Église et le bien des hommes


    28.Chartres.cathedrale.vueaerienne.jpgL'Église ne peut être arrêtée par personne. Le bien temporel et le bien éternel de l'homme l'exigent. L'Église, par respect du Christ et en raison de ce mystère qui constitue la vie de l'Église elle-même, ne peut demeurer insensible à tout ce qui sert au vrai bien de l'homme, comme elle ne peut demeurer indifférente à ce qui le menace. Le Concile Vatican II, en divers passages de ses documents, a exprimé cette sollicitude fondamentale de l'Église, afin que la vie en ce monde soit « plus conforme à l'éminente dignité de l'homme » à tous points de vue, pour la rendre «t oujours plus humaine ». Cette sollicitude est celle du Christ lui-même, le bon Pasteur de tous les hommes.


    Jean-Paul II, encyclique Redemptor hominis, n° 13.

     

  • L'importance particulière de l'homme

    L'importance particulière de l'homme

     

    06.Luceram.CrecheduMusee.jpg« L'homme est la seule créature sur terre que Dieu ait voulue pour elle-même » (Concile Vatican II, constitution pastorale Gaudium et spes,Jésus-Christ et dont devient participant chacun des quatre milliards d'hommes vivant sur notre planète, dès l'instant de sa conception près du coeur de sa mère. n° 24). L'homme, tel qu'il est « voulu » par Dieu, « choisi » par Lui de toute éternité, appelé, destiné à la grâce et à la gloire : voilà ce qu'est « tout » homme, l'homme « le plus concret », « le plus réel » ; c'est cela, l'homme dans toute la plénitude du mystère dont il est devenu participant en


    Jean-Paul II, encyclique Redemptor hominis, n° 13.

     

     

  • L'homme et l'animal

    HommealaSouris.JPGIl y a une autre qualité très spécifique qui les distingue, et sur laquelle il ne peut y avoir de contestation, c'est la faculté de se perfectionner ; faculté qui, à l'aide des circonstances, développe successivement toutes les autres, et réside parmi nous tant dans l'espèce que dans l'individu, au lieu qu'un animal est, au bout de mille ans, ce qu'il était la première année de ces mille ans.

     

    Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes.

  • Le respect de l'homme

    BXVI.JMJ.Sydney.07.08.jpeg

     

    Là où l’homme est diminué, c’est le monde qui nous entoure qui est diminué ; il perd sa signification ultime et s’écarte de sa finalité. Ce qui en ressort, c’est une culture non pas de la vie, mais de la mort. Comment peut-on considérer cela un « progrès » ? Au contraire, c’est un pas en arrière, une forme de régression qui, en définitive, assèche les sources mêmes de la vie, de l’individu comme de la société tout entière.

    Benoît XVI, Homélie de la messe avec les évêques, les séminaristes et les novices, Sydney, 19 juillet 2008.

     

  • 31 aout : Dieu est proche dans l'Eucharistie

    L'Eucharistie nous rend Dieu merveilleusement proche.

    C'est le sacrement de sa proximité de l'homme. (...)

    51.Reims.CathCommunionduchevalier1.jpgC'est le sacrement de Dieu qui descend vers l'homme, qui s'approche de tout ce qui est humain.

    C'est le sacrement de la divine « condescendance » (cf. st Jean Chrysostome, In Genes. 3, 8).

     

    Jean-Paul II, Audience générale, 13 juin 1980.

     

     

  • 17 juin : la gloire de Dieu

    L'homme ne peut rien faire de plus grand que de rendre gloire à Dieu.

    Il n'est pas d'action plus élevée pour les peuples, pour les nations et pour les sociétés.

    361634236.jpgLe Créateur a placé l'homme, dès le commencement, au centre du monde visible, afin quecet homme, créé comme homme et femme, puisse connaître Dieuà travers le témoignage de toute la création.

    Et connaître Dieu, cela veut dire : lui rendre gloire.

    Elle est insondable, la gloire de Dieu en lui-même, dans le mystère de sa nature divine, dans le mystère du Père, du Fils et de l'Esprit Saint.

    L'homme connaît Dieu par le monde créé. Et au nom de la création, il proclame sa gloire.

     

    Jean-Paul II, Homélie lors de la sainte Messe à l'aéroport d'Antisranana, 29 avril 1989.

  • 27 mars : Ninive et Dieu

    76986994.jpg    Jonas annonce à la ville pécheresse de Ninive sa chute. Et « les gens de Ninive crurent en Dieu », nous dit le texte biblique (Jon 3, 5). Ninive était une ville païenne, une ville qui avait beaucoup de dieux. Or, à l'appel du prophète, les gens de Ninive mettent leur foi en Dieu. Ils savent au plus profond d'eux-mêmes qu'il existe, le Dieu unique, et ils reconnaissent la voix de ce Dieu dans la prédication de ce prophète étranger. Dans le cœur de l'homme, malgré le péché, la capacité de reconnaître la voix du Dieu unique n'est pas complètement éteinte.

        J. Ratzinger, Foi, vérité, tolérance, Paris, 2005, p. 104.

     

     

  • 26 mars : l'homme insatisfait

    1406824973.jpg    On dit que l'homme n'est jamais satisfait ; qu'une chose lui soit offerte, et il en souhaite une seconde. Cela est dit dans un sens de dénigrement et c'est cependant là une des plus grandes qualités de la race humaine, celle qui la rend supérieure aux animaux, lesquels se contentent de ce qu'ils ont.

           John Steinbeck, La Perle, chap. 4.

     

     

  • 3 mars : le besoin de joie

    1184748680.jpgL'homme est le seul animal qui avait un besoin vital de la joie spontanée. La joie protège : le bouclier contre l'absurde est fait d'une sorte de joie spontanée de vivre. La joie conforte : celle de vivre a une force qu'aucun bouillonnement ne traduira jamais. La joie stimule : elle est le vrai mobile qui anime le médecin. La joie illumine l'homme qui admire. La joie récompense même celui qui se bat pour une victoire qu'il croit presque impossible.

    Cardinal Albert Decourtray, Discours de réception à l'Académie Française (au siège du Prof. Hamburger), 19 mars 1994.