Rendons grâces à Dieu le Père tout-puissant, qui a voulu que Marie, la Mère de son Fils, soit honorée par toutes les générations, et implorons-la en lui demandant : Pleine de grâces, intercédez pour nous.
Toi qui as constitué Marie en Mère de miséricorde, accorde à ceux qui se trouvent en danger de ressentir son affection maternelle.
Toi qui as voulu que Marie soit la mère de famille dans la maison de Jésus et de Joseph, fais que, par son intercession, toutes les mères répandent charité et sainteté dans les familles.
Toi qui as rendu forte Marie debout au pied de la Croix et l'a remplie de joie à la Résurrection de son Fils, soulage les affligés et raffermis leur espérance.
Toi qui as rendu Marie attentive à ta parole et en a fait ta servante fidèle, par son intercession fais de nous les serviteurs et les disciples de ton Fils.
Toi qui as couronné Marie Reine du ciel, fais que les défunts possèdent pour l'éternité ton royaume avec la foule des saints.
Commun de la Sainte Vierge, Prières pour les deuxièmes Vêpres.
La libération et le salut qu’apporte le Royaume de Dieu atteignent la personne humaine dans ses aspects physiques et spirituels. Deux gestes caractérisent la mission de Jésus : guérir et pardonner. Ses nombreuses guérisons montrent sa grande compassion en face de la misère humaine; mais elles signifient aussi qu’il n’y aura plus, dans le Royaume, ni maladies ni souffrances et que, dès le début, la mission tend à libérer les personnes de leurs maux. Dans la perspective de Jésus, les guérisons sont également signes du salut spirituel, c`est-à-dire de la libération du péché. En accomplissant des gestes de guérison, Jésus invite à la foi, à la conversion et au désir du pardon (cf. Luc 5, 24). Quand est reçu le don de la foi, la guérison pousse à aller plus loin : elle introduit dans le salut (cf. Luc 18, 42-43). Les gestes de libération de la possession du démon, mal suprême et symbole du péché et de la rébellion contre Dieu, sont des signes que « le Royaume de Dieu est arrivé jusqu’à vous » (Matthieu 12, 28).
Dans la vie des saints qui, partageant notre nature humaine, se sont pourtant transformés plus parfaitement à l'image du Christ (cf. 2 Co 3, 18), Dieu manifeste plus vivement aux hommes sa présence et son visage. Il nous parle à travers eux et nous offre un signe de son Royaume. On le voit en spécialement chez les saints qui, en raison de dons particuliers du Saint-Esprit, ont brillé non seulement par l'excellence de leur vie, mais encore par celle de leur doctrine. Cela ne doit pas être considéré seulement comme une science théologique, mais aussi comme une « science d'amour », qui vient de l'illumination de l'Esprit Saint par l'expérience des mystères de Dieu.
La libération et le salut qu’apporte le Royaume de Dieu atteignent la personne humaine dans ses aspects physiques et spirituels. Deux gestes caractérisent la mission de Jésus : guérir et pardonner. Ses nombreuses guérisons montrent sa grande compassion en face de la misère humaine; mais elles signifient aussi qu’il n’y aura plus, dans le Royaume, ni maladies ni souffrances et que, dès le début, la mission tend à libérer les personnes de leurs maux. Dans la perspective de Jésus, les guérisons sont également signes du salut spirituel, c`est-à-dire de la libération du péché. En accomplissant des gestes de guérison, Jésus invite à la foi, à la conversion et au désir du pardon (cf. Luc 5, 24). Quand est reçu le don de la foi, la guérison pousse à aller plus loin : elle introduit dans le salut (cf. Luc 18, 42-43). Les gestes de libération de la possession du démon, mal suprême et symbole du péché et de la rébellion contre Dieu, sont des signes que « le Royaume de Dieu est arrivé jusqu’à vous » (Matthieu 12, 28).
Le Règne que Jésus inaugure est le Règne de Dieu. Jésus lui-même révèle qui est ce Dieu qu’il désigne par le terme familier de « Abba », Père (Marc 14, 36). Dieu, révélé surtout dans les paraboles (cf. Luc 15, 3-32 : Matthieu 20, 1-16), est sensible aux besoins et aux souffrances de tout homme : il est un Père plein d’amour et de compassion qui pardonne et accorde gratuitement les grâces demandées.
Le combat entre le règne de l'esprit malin et le royaume de Dieu n'est pas fini.