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Dominique Le Tourneau - Page 115

  • 15 septembre : Notre Dame des Douleurs

    Près de lui aussi (le Fils) vous voulez avoir un avocat ? Recourez à Marie... Le Fils exaucera sa Mère, et le Père exaucera le Fils. Mes petitsc1d0c9708549cb61f1ba8bdb9a1c03e9.jpg enfants, elle est l'échelle des pécheurs, elle est ma confiance suprême, elle est tout le fondement de mon espérance. Eh quoi ! Le Fils peut-il la repousser, ou admettre qu'elle soit repoussée ? Le Fils peut-il ne pas l'entendre ou ne pas être entendu ? Ni l'un ni l'autre, évidemment. « Vous avez trouvé grâce devant Dieu », a dit l'ange. Paroles heureuses ! Toujours Marie trouvera grâce, et c'est de grâce seulement que nous avons besoin. La Vierge pleine de prudence ne demandait ni la sagesse, comme Salomon, ni les richesses, ni les honneurs, ni la puissance, mais bien la grâce. Et c'est seulement par la grâce que nous sommes sauvés. Pourquoi, mes frères, avons-nous d'autres désirs ? Demandons la grâce, et demandons-là par Marie : car ce qu'elle désire obtenir, elle l'obtient, et elle ne peut être déçue. Demandons la grâce, mais la grâce devant Dieu : car la grâce devant les gommes est chose trompeuse.

    Saint Bernard, , 7-8.


  • 14 septembre : la Croix glorieuse

    Dans ce triste monde, nous avons au fond un bonheur que n'ont ni lese9aeb3f85f295f075bfe3a1bb4d62a68.jpgsaints, ni les anges, celui de souffrir avec notre Bien-aimé, pour notre Bien-Aimé. Quelque dure que soit la vie, quelques longs que soient ces tristes jours, quelque consolante que soit la pensée de cette bonne vallée de Josaphat, ne soyons pas plus pressés que Dieu ne le veut de quitter le pied de la Croix... Bonne Croix, disait saint André. Puisque notre Maître a daigné nous en faire sentir, sinon toujours la douceur, du moins la beauté et la nécessité pour qui veut l'aimer, nous ne désirerons pas en être détachés plus tôt qu'il ne le veut... Et pourtant Dieu sait que le jour où cet exil finira sera le bienvenu, car la force est dans mes paroles plus que dans mon cœur.

    Charles de Foucauld, Lettre du 6 février 1808, cité dans René Bazin, <em>Charles de Foucauld, explorateur du Maroc, ermite au Sahara</em>, Paris, nouvelle édition, 2003, p. 127.


  • 13 septembre : le bapteme naissance

    bea6e4a02b45c0f3e87810fe737f40c2.jpgLe baptême nous accorde la grâce de la nouvelle naissance e, Dieu le Père par le nom de son Fils dans l'Esprit Saint. Car ceux qui portent l'Esprit de Dieu sont conduits au Verbe, c'est-à-dire au Fils ; mais le Fils les présente au Père, et le Père leur procure l'incorruptibilité. Donc, sans l'Esprit, il n'est pas possible de voir le Fils de Dieu, et, sans le Fils, personne ne peut s'approcher du Père, car la connaissance du Père, c'est le Fils, et la connaissance du Fils de Dieu se fait par l'Esprit Saint.

    Saint Irénée,  7.

     

  • 12 septembre : Nom de Marie

    46953c55e8948e13c26f277f32df7c57.jpgÔ glorieuse Dame élevée au-dessus des astres, qui de votre sein sanctifié avez allaité providentiellement votre Créateur ! Ce que la triste Ève nous enleva, vous le rendez par votre sainte fécondité : vous êtes la voie royale qui fait entrer au ciel ceux qui pleurent. Vous êtes la porte du Grand Roi, l'éclatante entrée de la lumière. Applaudissez à la vie donnée par la Vierge, ô peuples des rachetés !

    Hymne O Gloriosa, attribuée à Venance Fortunat, VIèmesiècle.



  • 11 septembre : la communion des saints

    8af6659dc32f9a42955cc44a021655ee.jpgChacun de nous, dans son unité irremplaçable, s'offre pour la croissance de la communion ecclésiale, par son être et par son agir, tout comme, par ailleurs, il reçoit et assimile, d'une façon qui lui est propre, la richesse de l'Église tout entière. C'est cela la Communion des saints que nous affirmons dans le Credo : Le bien de tous devient le bien de chacun et le bien de chacun devient le bien de tous. « Dans la sainte Église - écrit saint Grégoire le Grand - chacun est le soutien des autres et les autres sont le soutien de chacun » (Homélie sur Ézéchiel 2, 1, 5) ».

    Jean-Paul II, exhortation apostolique Christifideles laici, n° 28.



  • 10 septembre : Dieu est amour

        Dieu est amour et source d'amour. C'est ce grand saint Jean qui le dit :e235820575c77d3191990d89ecb7760f.jpg« L'Amour est de Dieu » et « Dieu est Amour » (1 Jean 4, 7-8). Le créateur a imprimé aussi en nous ce caractère. « À ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vos avez de l'amour les uns pour les autres » (Jean 13, 35). Si donc celui-ci vient à manquer, toute l'image est défigurée.

        Saint Grégoire de Nysse, De hom. op.5.

  • 9 septembre : l'Eglise chemin de salut

    2659240ee0db9d97342ac19df5651df4.jpgL'Église est la vérité qui sauve, parce que l'Église est le Christ lui-même, présent dans le temps par sa Parole et par son œuvre rédemptrice. Dieu, qui est la Vérité par essence, devait nécessairement, en se manifestant à l'homme au cœur de son histoire, par l'Incarnation, se révéler comme la vérité : « Je suis la Vérité » (Jean 14, 6) ; « Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marche pas dans les ténèbres » (Jean 8, 12), dit Jésus. Et l'apôtre théologien nous dit que « la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ » (Jean 1, 17). Par ailleurs, le message de la vérité salvifique, étant éternel et universel, devait être garanti et protégé - après le bref passage du Christ dans l'histoire humaine - par une institution visible et « organisée ». C'est pourquoi l'Église n'existe que pour la vérité et le salut.

    Jean-Paul II, Discours à la faculté de théologie de Palerme, 21 novembre 1982.


  • 8 septembre : Nativite de Marie

    481c32ab715438fe4e16bad080d315d3.jpgLorsque la petite fille de Nazareth prononce son fiat en réponse au message de l'Ange et que le Verbe se fit chair dans son sein, elle devint non seulement la Mère de Dieu dans l'ordre physique de la nature, mais aussi dans l'ordre surnaturel de la grâce, elle devint la Mère de tous ceux qui, par l'Esprit Saint, deviendraient un, sous la primauté de son Fils. La Mère de la Tête serait la Mère des membres, et la Mère de la Vigne serait la Mère des branches.

    Pie XII, Radio-message aux Congrès marial du Canada, 19 juin 1947.

     

  • 7 septembre : l'amitie

    9db57f8873a02983d94310af95564324.jpgTelle est la première loi à instaurer en amitié : ne demander aux amis que des choses bonnes, ne faire pour eux que des choses bonnes, sans même attendre qu’ils nous en prient ; être toujours prêts, jamais hésitants ; oser donner un conseil en toute liberté. En amitié, c’est l’autorité des amis les plus avisés qui doit prévaloir, et celle-ci doit être prompte à donner des avis non seulement avec franchise, mais avec énergie, si la situation l’exige, pour que l’avis soit mis en application.

    Cicéron, De l’Amitié, XIII, 44.


  • Pierre Lefresne

    e6fa69a97a39307dc78c4a41dcda5b6b.jpgAmi internaute, qui que tu sois, si tu sais prier, merci de prier pour Pierre Lefresne, prêtre de la prélature de l'Opus Dei qui est décédé accidentellement dans la nuit de mercredi à jeudi.

     

    Voici le communiqué publié par le Service Information-Communication de l'Opus Dei en France :

     

    Décès de l'abbé Pierre Lefresne

    Un prêtre de l’Opus Dei décède dans le Massif de la Chartreuse

    06/09/2007 Communiqué du Service Information-communication de l'Opus Dei en France.

    Deux prêtres de l’Opus Dei, l’abbé Antoine Galles et l’abbé Pierre Lefresne sont partis mercredi 5 septembre au matin en excursion dans le massif de la Chartreuse. Au retour, tardif et presque de nuit, l'abbé Lefresne a fait une chute en essayant de prendre un raccourci assez escarpé, et a sans doute reçu un fort choc à la tête. Compte tenu de l'obscurité qui s'installait, les deux prêtres ont décidé de se reposer à même le sol. Au petit matin, l’abbé Galles s'est aperçu du décès de l'abbé Lefresne lorsqu'il a essayé de le réveiller.

    Les deux prêtres ont été retrouvés dans la matinée par une des équipes de la gendarmerie nationale parties à leur recherche.

    L’abbé Lefresne, 63 ans, a été à la tête de l'Opus Dei en France en tant que Vicaire régional pendant 4 ans, de 1984 à 1988. Il avait été ordonné prêtre en 1981 par Jean-Paul II. Il a exercé son activité pastorale dans plusieurs villes, Paris, Strasbourg, Rennes, Marseille. Il était connu pour sa rigueur intellectuelle -c'était un ancien chercheur au CNRS- son sens de l'humour et sa politesse en toute circonstance. Accueillant et prudent dans ses conseils, il était très apprécié dans son travail sacerdotal. Son décès représente une grande perte pour l’Opus Dei.