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christianisme - Page 25

  • saintes fetes de Noel

    Tous mes vœux de joyeuses et saintes fêtes de Noël à tous.

    Noël 2008.jpg Tout n'est pas forcément rose. Comme dans lavie de Jésus, Marie et Joseph : ils doivent entreprendre le voyage de Nazareth à Bethléem au plus mauvais moment, c'est-à-dire quand Marie doit accoucher. Malgré l'hospitalité orientale, aucun membre de la famille de Joseph ne les accueille à Bethléem et Jésus naît dans une étable, couché dans une mangeoire. Quelque temps plus tard, Hérode voudra faire périr l'Enfant et ils devront prendre la route de l'exil en direction de l'Égypte, en pleine nuit et en hâte... Tout cela pour que nous apprenions à ne pas nous décourager, car notre Rédemption passe par là.

    Prions avec saint Josémaria : "Jésus, Marie, Joseph, je veux être toujours avec vous trois."

     

  • 20 octobre : le café et l'église

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    Il y a en France dix fois plus de cafés que d'églises. L'anticlérical dénonce la prétendue dictature du curé et accepte celle du bistrot.

     

    Gilbert Cesbron, « Le Calepin de l'Anglais », Ce siècle appelle au secours.

     

     

  • 19 octobre : la façon de faire

    Fleur1.Couvrelles 010.jpg Dieu n'apprécie point le bien que tu fais, mais la façon dont tu le fais, il ne regarde pas le fruit mais seulement le noyau et la racine.

     

    Angelus Silesius, Le voyageur chérubinique, cité par Marcel Brion, « Angelus Silesius : « Le voyageur chérubinique », Orplid ou Une certaine idée de l'Allemagne, Cahier Marcel Brion IV, Paris, 2002, p. 16.

     

     

  • 18 octobre : se garder du diable

    Rome.StaMariadellAnima.Tombe4.JPG Plutôt que de vaincre satan, il est plus simple de s'en garder.

     

    Paul Claudel, Corona benignitatis anni Dei.

     

     

  • 16 octobre : la communion

     

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    La communion est un ciel anticipé, et, si nous nous avions une foi vive,

    nous réaliserions (sic) la vérité de cette parole de l'Imitation qu'être avec Jésus

    c'est déjà le paradis sur terre.

     

    Ad. Tanquerey, Précis de théologie ascétique et mystique, Paris-Tournai-Rome, 8e éd., 1923-24, p. 195.

     

  • 15 octobre : Marie

    Triptyque.SteMarie.Bruges.jpg« À partir de cette heure, le disciple la prit chez lui » (Jean 19, 27).

    Cela signifie, selon le Saint-Père, qu'il se noue une relation toute intime entre le disciple - tout disciple - et Marie ;

    par là, Marie entre au plus profond de la vie spirituelle et culturelle, le disciple est introduit dans son existence de femme et de mère, c'est l'expression d'une confiance réciproque qui conduit de façon toujours nouvelle à la naissance du Christ et qui opère en l'homme une configuration au Christ.

    Mais de plus, la mission de Marie projette une lumière sur la femme en général, sur la dimension du féminin et la tâche particulière de la femme dans l'Église (Jean-Paul II, encyclique Redemptoris Mater, n° 46).

     

    J. Ratzinger, « Le signe de la femme »,

    dans card. J. Ratzinger-H. U. von Balthasar, Marie, première Église, Paris-Montréal, 1998, p. 56-57.

     

  • 14 octobre : être saint

    Alpesalpinistes.jpgCe qui compte, en revanche, c’est que nous gravions au fer rouge une certitude dans notre âme : l’invitation à la sainteté, que Jésus-Christ adresse à tous les hommes sans exception, exige de chacun de nous qu’il cultive sa vie intérieure et qu’il s’exerce quotidiennement aux vertus chrétiennes. Et ceci non pas d’une façon quelconque, ni au-dessus de la moyenne. Pas même d’une manière excellente. Nous devons nous y efforcer jusqu’à l’héroïsme, au sens le plus fort et le plus décisif du mot.

     

    Saint Josémaria, Amis de Dieu, n° 3.

     

  • La joie de Dieu

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    « Ne vous affligez pas, car la joie de Dieu est votre forteresse » (Néhémie 8, 10).

    La joie est un puissant allié pour remporter la victoire dans la lutte (cf. 1 Macchabée 3, 2ss), un remède souverain pour noyer le mal dans le bien, car elle est très unie à la joie.

    « Le service authentique du chrétien s'apprécie selon la présence agissante de la grâce en lui et par lui.

    La paix dans le cœur du chrétien, par conséquent, est inséparablement unie à la paix (...).

    Quand la joie d'un cœur chrétien se déverse dans les autres hommes, elle y engendre l'espérance, l'optimisme, des élans de générosité dans la fatigue quotidienne, et se communique à toute la société.

    Mes enfants, ce n'est que si vous avez en vous cette grâce divine qui est joie et paix que vous pourrez construire quelque chose qui en vaille la peine pour les hommes.

     

    Jean-Paul II, Discours, 10 avril 1979.

     

     

  • Marie est notre Mere

    Rome.Vierge.viadegliOrsini.JPG En concevant le Christ, en le mettant au monde, en le nourrissant,

    en le présentant dans le Temple à son Père,

    en souffrant avec son Fils qui mourait sur la croix,

    elle apporta à l'œuvre du Sauveur une coopération absolument sans pareille

    par son obéissance, sa foi, son espérance, son ardente charité, pour que soit rendue aux âmes la vie surnaturelle.

    C'est pourquoi elle est devenue pour nous, dans l'ordre de la grâce, notre Mère.

     

    Concile Vatican II, contitution dogmatique Lumen gentium, n° 61.

     

     

  • Eucharistie et liberte

    Cheminsousbois.jpg « Je suis ton serviteur, le fils de ta servante ; tu as délié mes liens » (Ps 116-115, 16).

    C'est ainsi que le psalmiste parle de lui-même.

    Et c'est ainsi que pense chaque « porte-Christ », car il sait que grâce à la pénitence et à l'Eucharistie,

    le chemin conduit - du péché et de l'esclavage du démon et du monde - à la Liberté dans l'Esprit.

     

    Jean-Paul II, homélie en la fête du Corps et du Sang du Christ, 10 juin, 1982.