Je suis simplement l'abeille toute poussiéreuse de ce pollen eucharistique, où elle se roule chaque matin, qui vient rendre visite à sa petite sœur.
Paul Claudel, « Lettre à Madame d'A. », 14 mai 1931, Toi, qui es-tu ? (Tu, qui es ?), Paris, 58e éd., 1941, p. 92-93.