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salut - Page 2

  • La grandeur du baptisé

    Assise.FresqueGiotto.Detail.jpgLe concile Vatican II affirme des baptisés que « la grandeur de leur condition doit être rapportée non à leurs mérites, mais à une grâce spéciale du Christ ; s’ils n’y correspondent pas par la pensée, la parole et l’action, ce n’est pas le salut qu’elle leur vaudra, mais un plus sévère jugement ».

    Concile Vatican II, constitution dogmatique Lumen gentium, n° 14.

  • Libération et royaume de Dieu

     

    EU.Valleedelamort1.jpgLa libération et le salut qu’apporte le Royaume de Dieu atteignent la personne humaine dans ses aspects physiques et spirituels. Deux gestes caractérisent la mission de Jésus : guérir et pardonner. Ses nombreuses guérisons montrent sa grande compassion en face de la misère humaine; mais elles signifient aussi qu’il n’y aura plus, dans le Royaume, ni maladies ni souffrances et que, dès le début, la mission tend à libérer les personnes de leurs maux. Dans la perspective de Jésus, les guérisons sont également signes du salut spirituel, c`est-à-dire de la libération du péché. En accomplissant des gestes de guérison, Jésus invite à la foi, à la conversion et au désir du pardon (cf. Luc 5, 24). Quand est reçu le don de la foi, la guérison pousse à aller plus loin : elle introduit dans le salut (cf. Luc 18, 42-43). Les gestes de libération de la possession du démon, mal suprême et symbole du péché et de la rébellion contre Dieu, sont des signes que « le Royaume de Dieu est arrivé jusqu’à vous » (Matthieu 12, 28).

    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 15.

  • La raison d'être de l'Église

    Vatican.Colonnade.Janicule.JPGIl est nécessaire de tenir ensemble ces deux vérités, à savoir la possibilité réelle du salut dans le Christ pour tous les hommes et la nécessité de l’Église pour le salut. L’une et l’autre nous aident à comprendre l’unique mystère salvifique, et nous permettent ainsi de faire l’expérience de la miséricorde de Dieu et de prendre conscience de notre responsabilité. Le salut, qui est toujours un don de l’Esprit, requiert la coopération de l’homme à son propre salut comme à celui des autres. Telle est la volonté de Dieu, et c’est pour cela qu’il a fondé l’Église, et l’a incluse dans le plan du salut.

    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 9.

  • La raison d'être de l'Église

     

    Il est nécessaire de tenir ensemble ces deux vérités, à savoir la possibilité réelle du salutChuteEau.Fleurs.jpg dans le Christ pour tous les hommes et la nécessité de l’Église pour le salut. L’une et l’autre nous aident à comprendre l’unique mystère salvifique, et nous permettent ainsi de faire l’expérience de la miséricorde de Dieu et de prendre conscience de notre responsabilité. Le salut, qui est toujours un don de l’Esprit, requiert la coopération de l’homme à son propre salut comme à celui des autres. Telle est la volonté de Dieu, et c’est pour cela qu’il a fondé l’Église, et l’a incluse dans le plan du salut.

    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 9.

  • Libération et royaume de Dieu

    PointedeVallaisonnay4.jpgLa libération et le salut qu’apporte le Royaume de Dieu atteignent la personne humaine dans ses aspects physiques et spirituels. Deux gestes caractérisent la mission de Jésus : guérir et pardonner. Ses nombreuses guérisons montrent sa grande compassion en face de la misère humaine; mais elles signifient aussi qu’il n’y aura plus, dans le Royaume, ni maladies ni souffrances et que, dès le début, la mission tend à libérer les personnes de leurs maux. Dans la perspective de Jésus, les guérisons sont également signes du salut spirituel, c`est-à-dire de la libération du péché. En accomplissant des gestes de guérison, Jésus invite à la foi, à la conversion et au désir du pardon (cf. Luc 5, 24). Quand est reçu le don de la foi, la guérison pousse à aller plus loin : elle introduit dans le salut (cf. Luc 18, 42-43). Les gestes de libération de la possession du démon, mal suprême et symbole du péché et de la rébellion contre Dieu, sont des signes que « le Royaume de Dieu est arrivé jusqu’à vous » (Matthieu 12, 28).


    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 15.

  • 30 avril : se refugier dans le Christ

    1618628407.jpg        Que votre asile soit toujours le Christ crucifié, mon Fils unique ; habitez et cachez-vous dans la caverne de son côté ouvert où vous goûterez, par amour, dans sa nature humaine ma nature divine. Dans ce Côté ouvert, vous trouverez ma charité et celle de votre prochain, puisque c'est pour mon honneur à moi, Père Éternel, et pour accomplir l'obédience que je lui avais imposé pour votre salut qu'il courut à l'ignominieuse mort de la Croix.

    Sainte Catherine de Sienne, Le Livre des Dialogues, chap. 124.



  • 29 avril : le chretien inefficace

    1492903336.JPGRien n'est plus inutile qu'un chrétien qui ne se consacre pas au salut de ses frères. Ne rends pas ta pauvreté inefficace : celui qui a mis deux pièces dans le tronc se lèverait pour te le reprocher ; et de même Pierre qui déclare : je n'ai ni or ni argent ; et Paul, si pauvre qu'il souffre souvent de la faim. Ne rends pas non plus ton humble condition stérile, car ils étaient humbles eux aussi et de condition modeste. Ton ignorance non plus, ne la laisses pas improductive, car eux non plus n'étaient pas très instruits. Tu es esclave ou en fuite ? Onésime l'était (...). Tu es malade ? Timothée l'était.

    Saint Jean Chrysostome, Homélies sur les Actes des apôtres, 20.




  • 11 avril : l'Eucharistie

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    Nous ne prenons pas l'Eucharistie comme un pain ordinaire ou une boisson ordinaire. De même que Jésus-Christ notre Sauveur, en s'incarnant par la Parole de Dieu, a pris chair et sang pour notre salut : ainsi l'aliment devenu eucharistie par la prière contenant sa parole, et qui nourrit notre sang et notre chair en les transformant, cet aliment est la chair et le sang de ce Jésus qui s'est incarné.

     

    Saint Justin, Première apologie.

  • 4 avril : le fruit de la Passion

    1309086073.JPGIl est venu pour sauve son peuple, en renonçant à « la gloire qu'il avai auprès du Père avant le commencement du monde ». Ce salut était la perfection qui devait s'acccomplir par la Passion, et qui serait imputé à l'auteur de notre vie, selon l'enseignement de saint Paul : « Il a été l'auteur de notre vie, en atteignant la perfection par ses souffrances. »

    Saint Anastase d'Antioche, Homélie sur la Passion.

  • 2 avril : la Resurrection du Christ

    Le Christ a été réellement crucifié, réellement enseveli, et il a ressuscité566072248.jpg véritablement. Et tout ceci nous est accordé par grâce. Unis par la représentation de ses souffrances, c'est entoute vérité que nous gagnons le salut.

    Catéchèse de Jérusalem aux nouveaux baptisés.