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Jesus-Christ - Page 6

  • 5 avril : le mystere de Paques

    1194880225.jpgLa Loi est devenue le Verbe, et, d'ancienne, elle est devenue nouvelle (l'une et l'autre sorties de Sion et de Jérusalem), le commandement s'est transformé en grâce, la figure en vérité, l'agneau est devenu fils, la brebis est devenue homme et l'homme est devenu Dieu.

    Méliton de Sardes, Homélie sur la Pâque.

  • 4 avril : le fruit de la Passion

    1309086073.JPGIl est venu pour sauve son peuple, en renonçant à « la gloire qu'il avai auprès du Père avant le commencement du monde ». Ce salut était la perfection qui devait s'acccomplir par la Passion, et qui serait imputé à l'auteur de notre vie, selon l'enseignement de saint Paul : « Il a été l'auteur de notre vie, en atteignant la perfection par ses souffrances. »

    Saint Anastase d'Antioche, Homélie sur la Passion.

  • 3 avril : le sens de la Passion

    La passion du Christ, c'est le salut de la vie humaine. Car c'est pour cela qu'il a948300663.jpg voulu mourir pour nous : afin que, croyant en lui, nous ayons la vie sans fin. Il a voulu devenir pour un temps ce que nous sommes, afin qu'ayant reçu la promesse d'éternité, nous vivions sans fin avec lui.

     
    Homélie pascale ancienne.

  • 2 avril : la Resurrection du Christ

    Le Christ a été réellement crucifié, réellement enseveli, et il a ressuscité566072248.jpg véritablement. Et tout ceci nous est accordé par grâce. Unis par la représentation de ses souffrances, c'est entoute vérité que nous gagnons le salut.

    Catéchèse de Jérusalem aux nouveaux baptisés.

  • 1er avril : l'efficacite du Christ

    1499362578.jpgTout ce que le Fils de Dieu a fait et enseigné pour la réconciliation du monde, nous ne le connaissons pas seulement par l'histoire du passé, mais encore nous en éprouvons l'efficacité par ses œuvres présentes. C'est lui qui, né d'une mère vierge par l'action du Saint-Esprit, rend féconde l'Église très pure, en vertu de cet Esprit.

    Saint Léon le Grand, Sermon sur la Passion.

     

     

  • 28 mars : les energies du chretien

    Les énergies nouvelles que le chrétien a reçues, il doit les utiliser. Ce qu'il est devenu lui impose des devoirs. Sa nouvelle condition d'enfant de Dieu n'a rien de statique : elle réclame des options pe1067198322.jpgrsonnelles, des efforts constants, la lutte contre le mal. Demeurer dans l'amour et dans la doctrine que le Christ a apportée aux hommes ou encore demeurer dans l'Église, ce n'est que la manifestation extérieure de l'union intime de l'âme avec Dieu. C'est dans la communauté ecclésiale que s'incarne et devient visible la koinônia (communion) divine des chrétiens. Enfin celui qui demeure en Dieu « demeure éternellement » (1 Jean 2, 17), ce qui correspond à la possession permanente de la vie éternelle : de par sa nature même la communion du chrétien à la vie divine est destinée à durer toujours.

    A. Feuillet, Le Mystère de l'amour divin dans la théologie johannique, Paris, 1972, p. 97


  • 23 mars : temoins de la Resurrection

    Afin que votre témoignage soit crédible, vos vies doivent rayonner dea4b9c74a243d64b264a58f2d8312f7a7.jpg joie et de courage, même face à l'adversité. Cela n'est possible que si notre vie intérieure est caractérisée par une communion étroite avec le Christ, qui est alimentée par la prière personnelle et la pratique de la charité pastorale. Plus vous grandirez selon le modèle du Christ et plus vous serez transformés à son image. Vous deviendrez un signe d'espérance et une proclamation vivante de la Résurrection.

    Jean-Paul II, Discours à Jakarta, 10 octobre 1989.

     

     

  • 22 mars : l'Eucharistie

     

    93895715.jpg« Allez dans la paix du Christ. » L'assemblée est terminée, vous pouvez partir.

    Il est bon que l'on puisse se réunir à la sortie de la messe pour faire connaissance entre paroissiens, mais l'enseignement de saint Luc est différent.

    L'épisode d'Emmaüs est le modèle de toute célébration eucharistique.

    Il ne s'achève pasà la fraction du pain et la reconnaissance du Ressuscité dans l'étranger.

    Il y a un cinquième temps provoqué par cette reconnaissance : le retour immédiat à Jérusalem pour annoncer la bonne nouvelle de la Résurrection.

    Le départ des chrétiens en mission est donc la conclusion évangélique de leur participation à l'Eucharistie.

    Saint Matthieu (28, 1-8) est plus explicite :

    « Je sais que vous cherchez Jésus le crucifié. Il n'est pas ici car il est ressuscité... Et voici qu'il vous précède en Galilée : c'est là que vous le verrez. »

    Le Ressuscité n'est plus là où la communauté est assemblée. Il la précède dans le monde païen. C'est là qu'il l'attend pour se manifester à elle.

    Dr Noël Mégabarné, Pour réussir l'évangélisation nouvelle, s.d. (2007), p. 88-89.

     

  • 21 mars : les plaies de Jesus

    4c661cafa1533ec8476cbe2708f05b98.jpgCache-toi en la plaie bénie du Côté de ton Sauveur, de cette Pierre d'autel que vient de purifier la main immaculée de sa Mère.

    Non, ne sors plus de là ; fais-y ta demeure, ta cellule, ton refuge ; vis là, avec Celui qui est mort pour toi et qui est ressuscité pour toujours. Dérobe-toi là, afin de mourir à toutes choses, mais surtout à toi-même, et le laisser enfin paraître. Il n'attend que ce dernier pas pour t'emmener au fond de sa Blessure, et t'y révéler, alors, son Cœur, tout entier, la Cœur du Doux Jésus, ton Dieu...

    Ô Jésus, je me laisse faire par Vous ; cachez-moi donc à moi-même, pour qu'enfin j'apparaisse à Vous seul, mon Dieu et mon Tout !... Ne serait-ce pas toute la Sainteté ?

    Dom Eugène Vandeur, Les Quatorze pas du Doux Jésus avec sa Croix, Maredsous, 1951, p. 70.

     

  • 20 mars : l'Eucharistie

        06d0ee8a834d3cf5d0c65e20ea73634f.jpgÀ présent, nous avons redécouvert que cet aspect central que nous donné le Seigneur en pouvant célébrer son sacrifice et entrer ainsi en communion sacramentelle, presque corporelle, avec Lui, perd de sa profondeur et également de sa richesse humaine s'il manque l'Adoration, comme acte découlant de la communion reçue : l'adoration consiste à entrer, au plus profond de notre cœur, en communion avec le Seigneur, qui est présent de façon corporelle dans l'Eucharistie. Dans l'Ostensoir, il se donne toujours entre nos mains, et nous invite à nous unir à sa Présence, à son Corps ressuscité.

        Benoît XVI, Discours au clergé de Rome, 2 mars 2006.