UA-62488107-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Dominique Le Tourneau - Page 92

  • 17 avril : le seul malheur

    807167995.JPG                            Il n'y a qu'un malheur, c'est de n'être pas des saints.

     

    Léon Bloy.


  • 16 avril : annoncer l'Evangile

    2015802521.jpgDe tout évangélisateur on attend qu’il ait le culte de la vérité, d’autant plus que la vérité qu’il approfondit et communique n’est autre que la vérité révélée et donc, plus que tout autre, parcelle de la vérité première qu’est Dieu lui-même. Le prédicateur de l’Évangile sera donc quelqu’un qui, même au prix du renoncement personnel et de la souffrance, recherche toujours la vérité qu’il doit transmettre aux autres. Il ne trahit jamais ni ne dissimule la vérité par souci de plaire aux hommes, d’étonner ou de choquer, ni par originalité ou désir d’apparaître. Il ne refuse pas la vérité. Il n’obscurcit pas la vérité révélée par paresse de la rechercher, par commodité, par peur. Il ne néglige pas de l’étudier. Il la sert généreusement sans l’asservir.

    Paul VI, exhortation apostolique sur l'annonce de l'Évangile, n° 78.

  • 15 avril : le debut de la vie

    1824382098.jpg

    Tout homme qui connaît l'Agneau pascal immolé pour son salut doit considérer que pour lui le commencement de la vie, c'est le moment à partir duquel le Christ est immolé pour lui. Or le Christ est immolé pour lui lorsque lui-même reconnaît la grâce et comprend la vie procurée par cette immolation. Sachant cela, qu'il aspire à prendre le commencement de cette vie nouvelle et ne retourne plus vers l'ancienne.

    Homélie pascale ancienne.

  • 14 avril : Jesus-Christ

    516398430.jpg

    Il n'y a pas de doute, mes bien-aimés : en prenant la nature humaine, le Fils de Dieu s'y est uni très étroitement ; au point que, non seulement chez cet homme qui est « le premier-né de toute créature », mais encore chez tous les saints, ce n'est qu'un seul et même Christ ; et comme on ne peut séparer la tête de ses membres, on ne peut pas non plus séparer les membres de leur tête.

                        Saint Léon le Grand, Sermon sur la Passion.

  • 13 avril : l'Eucharistie pour la vie

    1627210884.2.JPG

    Le sacrifice céleste institué par le Christ (...) est le viatique de notre voyage, notre nourriture sur le chemin de la vie, jusqu'à ce que nous soyons parvenus à celle-ci, en quittant ce monde. C'est pourquoi le Seigneur disait : « Si vous ne mangez pas ma chair et ne buvez pas mon sang, vous n'aurez pas la vie en vous. »

    Saint Gaudence de Brescia, Homélie pascale.

  • 12 avril : la Croix

    113935344.jpg

    C'est par la croix que la mort a été tuée, et Adam rendu à la vie. C'est par la croix que tous les Apôtres ont été glorifiés, tous les martyrs couronnés, tous les saints sanctifiés. C'est par la croix que nous avons revêtu le Christ et dépouillé l'homme ancien. C'est par la croix que nous avons été ramenés comme les brebis du Christ, et que nous sommes rassemblés dans la bergerie d'en-haut.

     

    Saint Théodore « le Studite », Homélie pour l'adoration de la Croix.

  • 11 avril : l'Eucharistie

    636357920.JPG

    Nous ne prenons pas l'Eucharistie comme un pain ordinaire ou une boisson ordinaire. De même que Jésus-Christ notre Sauveur, en s'incarnant par la Parole de Dieu, a pris chair et sang pour notre salut : ainsi l'aliment devenu eucharistie par la prière contenant sa parole, et qui nourrit notre sang et notre chair en les transformant, cet aliment est la chair et le sang de ce Jésus qui s'est incarné.

     

    Saint Justin, Première apologie.

  • 10 avril : les soins palliatifs

    1187577284.JPG

    Même si la mort est considérée comme imminente, les soins ordinairement dus à une personne malade ne peuvent être légitimement interrompus. L’usage des analgésiques pour alléger les souffrances du moribond, même au risque d’abréger ses jours, peut être moralement conforme à la dignité humaine si la mort n’est pas voulue, ni comme fin ni comme moyen, mais seulement prévue et tolérée comme inévitable. Les soins palliatifs constituent une forme privilégiée de la charité désintéressée. À ce titre ils doivent être encouragés.

     

    Catéchisme de l'Église catholique, n° 2279.

  • 9 avril : l'acharnement therapeutique

    527592991.JPG

    La cessation de procédures médicales onéreuses, périlleuses, extraordinaires ou disproportionnées avec les résultats attendus peut être légitime. C’est le refus de « l’acharnement thérapeutique ». On ne veut pas ainsi donner la mort ; on accepte de ne pas pouvoir l’empêcher. Les décisions doivent être prises par le patient s’il en a la compétence et la capacité, ou sinon par les ayant droit légaux, en respectant toujours la volonté raisonnable et les intérêts légitimes du patient

    Catéchisme de l'Église catholique, n° 2278.

      


  • 18 avril : la Trinite

    74990138.jpg        Certes, je ne me connais pas moi-même, mais en moi je te trouve et, en te trouvant, je t'adore.

    Saint Hilaire de Poitiers, Sur la Trinité12, 53.