Pour avoir la force de contempler le malheur quand on est malheureux, il faut le pain surnaturel.
Simone Weil, La pesanteur et la grâce, Paris, 1954, p. 16.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Pour avoir la force de contempler le malheur quand on est malheureux, il faut le pain surnaturel.
Simone Weil, La pesanteur et la grâce, Paris, 1954, p. 16.
Il n'y a qu'un malheur, c'est de n'être pas des saints.
Léon Bloy.
Il n'y a qu'un malheur, c'est de n'être pas des saints.
Léon Bloy.