UA-62488107-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Dominique Le Tourneau - Page 81

  • 7 septembre : l'amour conjugal (3)

    L'amour conjugal (3)

     

    C'est encore un amour fidèle et exclusif jusqu'à la mort.

    C'et bien ainsi, en effet, que le conçoivent l'époux et l'épouse le jour où ils

    Mariage1.jpegassument librement et en pleine conscience l'engagement du lien matrimonial.

    Fidélité qui peut parfois être difficile, mais qui est toujours possible et toujours noble et méritoire, nul ne peut le nier.

    L'exemple de tant d'époux à travers les siècles prouve non seulement

    qu'elle est conforme à la nature du mariage, mais encore qu'elle est source de bonheur profond et durable.

     

    Paul VI, encyclique Humanae vitae.

     

     

  • 6 septembre : l'amour conjugal (2)

    L'amour conjugal (2)famillenombreuse.jpg

     

    C'est ensuite un amour total, c'est-à-dire une forme toute spéciale d'amitié personnelle, par laquelle les époux partagent généreusement toutes choses, sans réserves indues ni calculs égoïstes.

    Qui aime vraiment son conjoint ne l'aime pas seulement pour ce qu'il reçoit de lui, mais pour lui-même, heureux de pouvoir l'enrichir du don de soi.

     

    Paul VI, encyclique Humanae vitae.

     

     

  • Gouerner le Peuple de Dieu

    Remplis la charge que tu occupes en toute diligence de corps et d'esprit.IgnacedAntioche.jpg

    Préoccupes-toi de l'unité, car il n'y a pas mieux qu'elle.

    Prends-les tous sur toi comme le Seigneur te porte.

    Supporte-les tous avec un esprit de charité, comme tu le fais déjà.

    Adonne-toi sans relâche à la prière.

    Demande plus d'intelligence que tu n'en possèdes déjà.

    Demeure éveillé, avec un esprit qui méconnaît le sommeil.

    Parle aux hommes du peuple dans le style de Dieu.

     

    Saint Ignace d'Antioche, Lettre à Polycarpe 1, 2-3.

     

     

  • 5 septembre : l'amour conjugal (1)

    L'amour conjugal (1)

     

    Priereenfamille.jpgC'est avant tout un amour pleinement humain, c'est-à-dire à la fois sensible et spirituel.

    Ce n'est donc pas un simple transport d'instinct et de sentiment,

    mais ausssi et surtout un acte de la volonté libre, destiné à se maintenir et à grandir à travers les joies et les douleurs de la vie quotidienne,

    de sorte que les époux deviennent un seul cœur et une seule âme et atteignent ensemble leur perfection humaine.

     

    Paul VI, encyclique Humanae vitae.

     

  • 4 septembre : l'Eucharistie, centre et sommet

    MaitreAutel.38.StAntoineAbbaye1.jpgL'Eucharistie, centre et sommet de la vie chrétienne, réconcilie, purifie, détruit les racines du péché, fait croître la charité, rend plus solide la communauté ecclésiale.

    Dans l'Eucharistie, nous devenons ce que nous recevons ; « consanguins » du Christ, frères entre nous.

    L'Église ne peut exister sans l'Eucharistie et de même l'Eucharistie sans l'Église.

     

    Jean-Paul II, Message au Congrès eucharistique national du Brésil, 21 juillet 1985.

     

     

  • 3 septembre : vénérer l'Eucharistie

    Chaque geste de révérence (...) que vous faites devant le Saint-Sacrement

    Amsterdam.Processioneucharistique.jpgest important parce qu'il constitue un acte de foi au Christ, un acte d'amour envers le Christ.

     

    Jean-Paul II, 29 septembre 1979.

     

     

  • 2 septembre : le diable est mort

    StMichelterrasseDragon.38.StAntoineAbbaye.jpgUn pauvre religieux, assis dans un compartiment de train, devait écouter en silence

    la compétition de blasphèmes à laquelle se livraient deux jeunes gens mal élevés,

    quand l'un d'eux dit en plaisantant :

    - Mon père, je dois vous donner une mauvaise nouvelle : le diable est mort !

    - J'en suis navré ! Mes sincères condoléances !

    - Vos condoléances ? Pourquoi ? dirent ensemble les deux jeunes gens.

    - Parce que je suis triste pour vous qui êtes restés orphelins.

     

    Albino Luciani, « Lettre à l'Ours de St Romedius », Humblement vôtres, Paris, 1978, p. 146.

     

     

  • 1 septembre : vivre la loi de Dieu

    Lac Aiguebelette 08-07-10 003.jpgDans certaines situations, l'observation de la Loi de Dieu peut être difficile, très difficile, elle n'est cependant jamais impossible.

    C'est là un enseignement constant de la tradition de l'Eglise que le Concile de Trente exprime ainsi :

    « Personne, même justifié, ne doit se croire affranchi de l'observation des commandements.

    Personne ne doit user de cette formule téméraire et interdite sous peine d'anathème par les saints Pères que l'observation des commandements divins est impossible à l'homme justifié.

    « Car Dieu ne commande pas de choses impossibles, mais en commandant il t'invite à faire ce que tu peux et à demander ce que tu ne peux pas » et il t'aide à pouvoir. « Ses commandements ne sont pas pesants » (1 Jean 5, 3), « son joug est doux et son fardeau léger » (cf. Matthieu 11, 30) ».

    Jean-Paul II, encyclique Veritatis splendor, n° 102.

     

  • 31 aout : Dieu est proche dans l'Eucharistie

    L'Eucharistie nous rend Dieu merveilleusement proche.

    C'est le sacrement de sa proximité de l'homme. (...)

    51.Reims.CathCommunionduchevalier1.jpgC'est le sacrement de Dieu qui descend vers l'homme, qui s'approche de tout ce qui est humain.

    C'est le sacrement de la divine « condescendance » (cf. st Jean Chrysostome, In Genes. 3, 8).

     

    Jean-Paul II, Audience générale, 13 juin 1980.

     

     

  • 30 aout : le signe de croix

    RomanoGuardini.jpegVous faites un signe de croix ? faites-le bien.

    Pas de geste estropié, hâté, qui n'ait plus aucun sens. Non !

    Un signe de croix, un vrai ; lent, large, du front à la poitrine, d'une épaule à l'autre. (...)

    Faites-le bien : lent, large, avec attention.

    Il enveloppera ainsi tout votre être, intérireur et extérieur, pensées et vouloirs, cœur et sens, tout ;

    il le fortifiera, le signera, le sanctifiera par la force du Christ, au nom de Dieu en trois Personnes.

     

    Romano Guardini, Les Signes sacrés, Paris, 1950, p. 31-32.