Chaque geste de révérence (...) que vous faites devant le Saint-Sacrement
est important parce qu'il constitue un acte de foi au Christ, un acte d'amour envers le Christ.
Jean-Paul II, 29 septembre 1979.
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Chaque geste de révérence (...) que vous faites devant le Saint-Sacrement
est important parce qu'il constitue un acte de foi au Christ, un acte d'amour envers le Christ.
Jean-Paul II, 29 septembre 1979.
Un pauvre religieux, assis dans un compartiment de train, devait écouter en silence
la compétition de blasphèmes à laquelle se livraient deux jeunes gens mal élevés,
quand l'un d'eux dit en plaisantant :
- Mon père, je dois vous donner une mauvaise nouvelle : le diable est mort !
- J'en suis navré ! Mes sincères condoléances !
- Vos condoléances ? Pourquoi ? dirent ensemble les deux jeunes gens.
- Parce que je suis triste pour vous qui êtes restés orphelins.
Albino Luciani, « Lettre à l'Ours de St Romedius », Humblement vôtres, Paris, 1978, p. 146.
Dans certaines situations, l'observation de la Loi de Dieu peut être difficile, très difficile, elle n'est cependant jamais impossible.
C'est là un enseignement constant de la tradition de l'Eglise que le Concile de Trente exprime ainsi :
« Personne, même justifié, ne doit se croire affranchi de l'observation des commandements.
Personne ne doit user de cette formule téméraire et interdite sous peine d'anathème par les saints Pères que l'observation des commandements divins est impossible à l'homme justifié.
« Car Dieu ne commande pas de choses impossibles, mais en commandant il t'invite à faire ce que tu peux et à demander ce que tu ne peux pas » et il t'aide à pouvoir. « Ses commandements ne sont pas pesants » (1 Jean 5, 3), « son joug est doux et son fardeau léger » (cf. Matthieu 11, 30) ».
Jean-Paul II, encyclique Veritatis splendor, n° 102.
L'Eucharistie nous rend Dieu merveilleusement proche.
C'est le sacrement de sa proximité de l'homme. (...)
C'est le sacrement de Dieu qui descend vers l'homme, qui s'approche de tout ce qui est humain.
C'est le sacrement de la divine « condescendance » (cf. st Jean Chrysostome, In Genes. 3, 8).
Jean-Paul II, Audience générale, 13 juin 1980.
Vous faites un signe de croix ? faites-le bien.
Pas de geste estropié, hâté, qui n'ait plus aucun sens. Non !
Un signe de croix, un vrai ; lent, large, du front à la poitrine, d'une épaule à l'autre. (...)
Faites-le bien : lent, large, avec attention.
Il enveloppera ainsi tout votre être, intérireur et extérieur, pensées et vouloirs, cœur et sens, tout ;
il le fortifiera, le signera, le sanctifiera par la force du Christ, au nom de Dieu en trois Personnes.
Romano Guardini, Les Signes sacrés, Paris, 1950, p. 31-32.

La révolte contre la culture est souvent la dernière mode des gens cultivés.
D. Collins, Chesterton on Shakespeare, Henley-on-Thames, 1971, p. 120.
Changer le mal en bien est le plaisir d'un dieu ;
Changer le bien en mal, voilà mon digne vœu (de Belzébul).
J. Milton, Le Paradis perdu, l. I.
(le directeur) sera, comme dit saint Bernard, un réservoir et non pas un simple canal :
le canal laisse passser tout ce qu'il a, à mesure qu'il le reçoit ;
le réservoir se remplit d'abord, et donne alors de son trop plein sans dommage pour lui-même.
Ad. Tanquerey, Précis de théologie ascétique et mystique, Paris-Tournai-Rome, 8e éd., 1923-1924, p. 393.
Il ne doit y avoir en France qu'un seul Roi.
Ne vous imaginez pas parce que vous êtes mon frère que je vous épargnerai contre la droite Justice.
Saint Louis.
De l'Esprit Saint procèdent la connaissance des choses futures, la compréhension des mystères, l'intelligence des vérités cachées, la distribution des dons, la citoyenneté céleste, la conversation avec les anges. De lui procèdent la joie qui ne termine jamais, la persévérance en Dieu, la ressemblance avec Dieu et, ce que l'on peut penser de plus sublime, devenir Dieu.
Saint Basile, De Spiritu Sancto 9, 23.