Malheur à un christianisme qui, comme le dit Maritain, « s'agenouille devant le monde ! » Malheur à des chrétiens qui deviennent idolâtres des grandeurs charnelles, qui se laissent tellement impressionner par les grandeurs de l'intelligence ou par les grandeurs de la puissance ou de l'argent qu'ils en oublient que les grandeurs authentiques sont les grandeurs de la sainteté.
Cardinal Daniélou, La foi de toujours et l'homme d'aujourd'hui, Paris, 1969, p. 103.