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christianisme - Page 18

  • L'étudiant se moquant du vieux au chapelet

    Pasteur.jpegL'étudiant se moquant du vieux au chapelet

    Un étudiant qui voyageait en train s'est trouvé aux côtés d'un homme à l'apparence de paysan fortuné qui égrenait son chapelet. Monsieur, dit l'étudiant au vieil home, croyez-vous encore à ces choses vieillottes ? Oui, de répondre l'homme, certainement. Et vous ? L'étudiant éclata de rire et reprit : je ne crois pas à ces choses idiotes. Suivez mon conseil et jetez votre chapelet par la fenêtre et apprenez ce que la science en dit. La science ? (...) Peut-être pourriez-vous m'expliquer ? Répondit l'homme avec humilité et les larmes aux yeux. L'étudiant vit l'émotion de son compagnon de voyage et pour éviter de heurter davantage ses sentiments, lui dit : s'il-vous-plaît, laissez-moi votre adresse, je vous enverrai une documentation. Jetant un coup d'œil sur la carte de visite que l'homme sortit d'une poche intérieure, le jeune homme devint silencieux. Sur la carte, on pouvait lire : Lous Pasteur, Directeur, l'Institut de Recherches Scientifiques.


  • La victoire par Marie

    NotreDamedelaGarde.13.Marseille.jpg« J'ai appris directement du cardinal Stefan Wyszinski que son prédécesseur, le cardinal August Hlond, avait prononcé avant de mourir ces paroles prophétiques : « La victoire, si elle vient, viendra par Marie »... Au cours de mon ministère pastoral en Pologne, j'ai été témoin de l'accomplissement de cette parole. Une fois élu pape, confronté aux problèmes de l'Église entière, cette intuition, cette conviction m'a toujours habité : dans cette dimension universelle aussi, la victoire, si elle venait, serait remportée par Marie. Le Christ vaincra par Marie. Il veut qu'elle soit associée aux victoires de l'Église, dans le monde d'aujourd'hui et dans celui de demain »

    Jean-Paul II, Entrez dans l'espérance.

  • Le chapelet et la science

    Piete.jpgLe chapelet et la science

    Un étudiant qui voyageait en train s'est trouvé aux côtés d'un homme à l'apparence de paysan fortuné qui égrenait son chapelet. Monsieur, dit l'étudiant au vieil home, croyez-vous encore à ces choses vieillottes ? Oui, de répondre l'homme, certainement. Et vous ? L'étudiant éclata de rire et reprit : je ne crois pas à ces choses idiotes. Suivez mon conseil et jetez votre chapelet par la fenêtre et apprenez ce que la science en dit. La science ? (...) Peut-être pourriez-vous m'expliquer ? Répondit l'homme avec humilité et les larmes aux yeux. L'étudiant vit l'émotion de son compagnon de voyage et pour éviter de heurter davantage ses sentiments, lui dit : s'il-vous-plaît, laissez-moi votre adresse, je vous enverrai une documentation. Jetant un coup d'œil sur la carte de visite que l'homme sortit d'une poche intérieure, le jeune homme devint silencieux. Sur la carte, on pouvait lire : Louis Pasteur, Directeur, l'Institut de Recherches Scientifiques.

  • Les anges gardiens

    62.StOmer.Angesdugisant.jpgJe sais que je te donne une joie en te recopiant cette prière aux saints anges gardiens de nos tabernacles :

    « Ô Esprits angéliques, qui gardez nos tabernacles où repose le gage adorable de la sainte Eucharistie, défendez-la des profanations et conservez-la à notre amour. »

     

    Saint Josémaria, Chemin, n° 569.

  • La tristesse

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    La tristesse qui cause un repentir salutaire est le propre d'un homme obéissant, affable, humble, doux, agréable et patient, en ce qu'elle découle de l'amour de Dieu. Il supporte sans se lasser la douleur physique et la contrition de l'esprit, grâce au vif désir de perfection qui l'anime. Il est également joyeux et en un certain sens il se sent comme fortifié par l'espérance de son profit. (...) La tristesse diabolique est diamétralement opposée. Elle est rude, impatiente, dure, pleine d'amertume et de dégoût, et se caractérise aussi par une sorte de désespoir douloureux.


    Cassien, Institutions 9, 11.


  • Annoncer l'évangile avec hardiesse

    L’annonce est animée par la foi, qui donne au missionnaire deAgrigente.jpg l’enthousiasme et de la ferveur. Pour définir cette attitude, comme on l’a déjà dit, les Actes emploient le terme parrhesia qui signifie parler avec hardiesse et courage; ce terme se trouve dans saint Paul : « Notre Dieu nous a accordé de prêcher en toute hardiesse devant vous l’Évangile de Dieu, au milieu d’une lutte pénible » (1 Timothée 2, 2). « Priez aussi pour moi, afin qu’il me soit donné d’ouvrir la bouche pour parler et d’annoncer hardiment le Mystère de l’Évangile, dont je suis l’ambassadeur dans mes chaînes obtenez-moi la hardiesse d’en parler comme je le dois » (Éphésiens 6, 19-20).

    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 45.


  • Tous appelés à l'apostolat

    La lecture des Actes nous fait comprendre que, au commencement de l’Église, la mission adFlorence.Cathedrale.jpg gentes, tout en disposant de missionnaires « à vie » qui s’y consacraient en vertu d’une vocation particulière, était en réalité considérée comme le fruit normal de la vie chrétienne, l’engagement de tout croyant par le témoignage personnel et par l’annonce explicite lorsqu’elle était possible.

    Jean-Paul II, encyclique Redemptoris missio, 7 décembre 1990, n° 27.


  • La grandeur du baptisé

    Assise.FresqueGiotto.Detail.jpgLe concile Vatican II affirme des baptisés que « la grandeur de leur condition doit être rapportée non à leurs mérites, mais à une grâce spéciale du Christ ; s’ils n’y correspondent pas par la pensée, la parole et l’action, ce n’est pas le salut qu’elle leur vaudra, mais un plus sévère jugement ».

    Concile Vatican II, constitution dogmatique Lumen gentium, n° 14.

  • Le ciel

     

    Interprétant l’invocation de la Prière du Seigneur : « Notre Père qui est aux cieux », (saint Augustin) seAdorationbergers1.jpg demande : quel est ce ciel ? Où est-il ce ciel ? Et suit une réponse étonnante : « … qui est aux cieux – cela signifie : dans les saints et dans les justes. En effet, les cieux sont les corps les plus élevés de l’univers, mais, étant cependant des corps, qui ne peuvent exister sinon en un lieu. Si toutefois on croit que le lieu de Dieu est dans les cieux comme dans les parties les plus hautes du monde, alors les oiseaux seraient plus heureux que nous, parce qu’ils vivraient plus près de Dieu. Mais il n’est pas écrit : « Le Seigneur est proche de ceux qui habitent sur les hauteurs ou sur les montagnes », mais plutôt : « Le Seigneur est proche du cœur brisé » (Psaume 34 [33], 19), expression qui se réfère à l’humilité. Comme le pécheur est appelé « terre », ainsi, à l’inverse, le juste peut être appelé « ciel » (Serm. in monte II 5, 17). Le ciel n’appartient pas à la géographie de l’espace, mais à la géographie du cœur. Et le cœur de Dieu, dans cette Nuit très sainte, s’est penché jusque dans l’étable : l’humilité de Dieu est le ciel. Et si nous entrons dans cette humilité, alors, nous toucherons le ciel. Alors, la terre deviendra aussi nouvelle. Avec l’humilité des bergers, mettons-nous en route, en cette Nuit très sainte, vers l’Enfant dans l’étable ! Touchons l’humilité de Dieu, le cœur de Dieu ! Alors, sa joie nous touchera et elle rendra le monde plus lumineux.

     

    Benoît XVI, Homélie, 25 décembre 2007.

  • Refuser le Christ

     

    38.Vizille.Musee.Faineces3.2007.jpgPeut-on refuser le Christ et tout ce qu’il a apporté dans l’histoire de l’homme ? Certainement oui. L’homme est libre. L’homme peut dire à Dieu : non. L’homme peut dire au Christ : non. Mais demeure la question fondamentale : est-il permis de le faire, et au nom de quoi est-ce permis ?"

    Jean-Paul II, encyclique Dives in misericordia, 30 novembre 1980, n° 7.