L'étudiant se moquant du vieux au chapelet
Un étudiant qui voyageait en train s'est trouvé aux côtés d'un homme à l'apparence de paysan fortuné qui égrenait son chapelet. Monsieur, dit l'étudiant au vieil home, croyez-vous encore à ces choses vieillottes ? Oui, de répondre l'homme, certainement. Et vous ? L'étudiant éclata de rire et reprit : je ne crois pas à ces choses idiotes. Suivez mon conseil et jetez votre chapelet par la fenêtre et apprenez ce que la science en dit. La science ? (...) Peut-être pourriez-vous m'expliquer ? Répondit l'homme avec humilité et les larmes aux yeux. L'étudiant vit l'émotion de son compagnon de voyage et pour éviter de heurter davantage ses sentiments, lui dit : s'il-vous-plaît, laissez-moi votre adresse, je vous enverrai une documentation. Jetant un coup d'œil sur la carte de visite que l'homme sortit d'une poche intérieure, le jeune homme devint silencieux. Sur la carte, on pouvait lire : Lous Pasteur, Directeur, l'Institut de Recherches Scientifiques.

Le chapelet et la science
Je sais que je te donne une joie en te recopiant cette prière aux saints anges gardiens de nos tabernacles :
l’enthousiasme et de la ferveur. Pour définir cette attitude, comme on l’a déjà dit, les Actes emploient le terme parrhesia qui signifie parler avec hardiesse et courage; ce terme se trouve dans saint Paul : « Notre Dieu nous a accordé de prêcher en toute hardiesse devant vous l’Évangile de Dieu, au milieu d’une lutte pénible » (1 Timothée 2, 2). « Priez aussi pour moi, afin qu’il me soit donné d’ouvrir la bouche pour parler et d’annoncer hardiment le Mystère de l’Évangile, dont je suis l’ambassadeur dans mes chaînes obtenez-moi la hardiesse d’en parler comme je le dois » (Éphésiens 6, 19-20).
gentes, tout en disposant de missionnaires « à vie » qui s’y consacraient en vertu d’une vocation particulière, était en réalité considérée comme le fruit normal de la vie chrétienne, l’engagement de tout croyant par le témoignage personnel et par l’annonce explicite lorsqu’elle était possible.
Le concile Vatican II affirme des baptisés que « la grandeur de leur condition doit être rapportée non à leurs mérites, mais à une grâce spéciale du Christ ; s’ils n’y correspondent pas par la pensée, la parole et l’action, ce n’est pas le salut qu’elle leur vaudra, mais un plus sévère jugement ».
demande : quel est ce ciel ? Où est-il ce ciel ? Et suit une réponse étonnante : « … qui est aux cieux – cela signifie : dans les saints et dans les justes. En effet, les cieux sont les corps les plus élevés de l’univers, mais, étant cependant des corps, qui ne peuvent exister sinon en un lieu. Si toutefois on croit que le lieu de Dieu est dans les cieux comme dans les parties les plus hautes du monde, alors les oiseaux seraient plus heureux que nous, parce qu’ils vivraient plus près de Dieu. Mais il n’est pas écrit : « Le Seigneur est proche de ceux qui habitent sur les hauteurs ou sur les montagnes », mais plutôt : « Le Seigneur est proche du cœur brisé » (
Peut-on refuser le Christ et tout ce qu’il a apporté dans l’histoire de l’homme ? Certainement oui. L’homme est libre. L’homme peut dire à Dieu : non. L’homme peut dire au Christ : non. Mais demeure la question fondamentale : est-il permis de le faire, et au nom de quoi est-ce permis ?"