Il y a du diable, j'entends de l'oblique...
C'est de la puissance oblique, aussi nommée diabolique...
... et le diable est bien cet esprit rusé, à marche oblique, qui tue l'esprit.
Alain, Propos.
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Il y a du diable, j'entends de l'oblique...
C'est de la puissance oblique, aussi nommée diabolique...
... et le diable est bien cet esprit rusé, à marche oblique, qui tue l'esprit.
Alain, Propos.
On connaît déjà l'Écriture, mais on la lit à nouveau pour s'en souvenir ;
on l'a entendu expliquer souvent, mais même ainsi il faut la répéter, pour que ceux qui l'ont oubliée se la rappellent à nouveau,
pour que l'écoutent ceux qui peut-être ne l'ont pas entendue auparavant,
ou que pour ceux qui la retiennent arrivent à ne pas l'oublier, à force de l'entendre beaucoup.
Saint Augustin, Sermon125.
On a dit que du dictionnaire français, il faudrait rayer le mot « impossible » ;
du dictionnaire chrétien, il faut rayer le mot « difficile ».
Il n'y a pas de difficulté dans la vertu, ou s'il y en a, c'est simplement parce que vous abordez votre devoir actuel avec une volonté insuffisante ;
vous hésitez, vovus tremblez devant lui, vous ne l'abordez pas ;
ou si vous l'abordez, c'est en rechignant, de loin, en vous tâtant.
Mais, voyons donc... essayez... le devoir ne se fera pas tout seul !
Mettez-y du courage.
Croyez-moi, les choses ne sont difficiles que de loin, et s'il y a dans votre cœur de l'amour, gros comme un grain de sénevé, il n'est pas possible que les difficultés y résistent : elles s'évanouissent et disparaissent.
Dom Paul Delatte, Contempler l'invisible, Solesmes, 1964, p. 107.
« Je me réveillai et je compris que je n'allais pas combattre contre les bêtes, mais contre le diable.
Mais je savais que je remporterais la victoire. »
La s'arrête le journal de Vibia Perpetua qui fut suppliciée le lendemain.
Anne Bernet, Les chrétiens dans l'Empire romain des persécutions à la conversion Ier-IVesiècle, Paris, 2003, p. 246.
Quand quelque désagrément ou peine vous atteindra, souvenez-vous du Christ crucifié et taisez-vous.
Vivez en foi et en espérance, bien que ce soit dans le noir ; dans ces ténèbres Dieu protège l'âme.
Saint Jean de la Croix, Lettren° 20.
L'homme ne peut rien faire de plus grand que de rendre gloire à Dieu.
Il n'est pas d'action plus élevée pour les peuples, pour les nations et pour les sociétés.
Le Créateur a placé l'homme, dès le commencement, au centre du monde visible, afin quecet homme, créé comme homme et femme, puisse connaître Dieuà travers le témoignage de toute la création.
Et connaître Dieu, cela veut dire : lui rendre gloire.
Elle est insondable, la gloire de Dieu en lui-même, dans le mystère de sa nature divine, dans le mystère du Père, du Fils et de l'Esprit Saint.
L'homme connaît Dieu par le monde créé. Et au nom de la création, il proclame sa gloire.
Jean-Paul II, Homélie lors de la sainte Messe à l'aéroport d'Antisranana, 29 avril 1989.
Mes parents furent d'excellents chrétiens.
Dans les haciendasmon père présidait chaque jour la récitation du chapelet dans la chapelle, en présence de toute la famille, des ouvriers agricoles et des gens de la campagne.
Quand par suite d'une occupation urgente, il ne le faisait pas, il voulait que je le remplace.
Parfois il revenait avant la fin du chapelet et, à la sortie, il me grondait à cause de mon peu de dévotion.
Il disait que mes Pateret mes Ave Mariairaient se promener avec moi en purgatoire et que personne n'en voudrait parce que trop mal récités.
Michel-Marie Philippon, o. p., Conchita. Journal spirituel d'une mère de famille, Éditions de l'Emmanuel, 2003, p. 32.
Lorsque le biologique est soustrait à l'humanité, l'humanité elle-même est niée.
Dans la question de savoir s'il peut y avoir l'homme en tant qu'être masculin et la femme en tant qu'être féminin, c'et donc la créature en général qui est en cause. Puisque cette détermination biologique de l'humain a, dans le cas de la maternité, sa réalité on ne peut plus évidente, une émancipation niant le biologique est, d'une manière particulière, une agression de la femme ; la négation de son droit à être femme.
Pour autant, inversement, la conservation de la création est liée, d'une manière particulière, à la question de la femme ;
et la femme dans laquelle le « biologique » est « théologique », à savoir la maternité divine, est très particulièrement le carrefour où les voies se séparent.
J. Ratzinger, « Marie, Mère de l'Église », dans card. J. Ratzinger-H. U. von Balthasar, Marie, première Église, Paris-Montréal, Médiaspaul, 1998, p. 30.
C'est encore un amour fidèle et exclusif jusqu'à la mort.
C'et bien ainsi, en effet, que le conçoivent l'époux et l'épouse le jour où ils assument librement et en pleine conscience l'engagement du lien matrimonial.
Fidélité qui peut parfois être difficile, mais qui est toujours possible et toujours noble et méritoire, nul ne peut le nier.
L'exemple de tant d'époux à travers les siècles prouve non seulement qu'elle est conforme à la nature du mariage, mais encore qu'elle est source de bonheur profond et durable.
Paul VI, encyclique Humanae vitae.
C'est ensuite un amour total, c'est-à-dire une forme toute spéciale d'amitié personnelle, par laquelle les époux partagent généreusement toutes choses, sans réserves indues ni calculs égoïstes.
Qui aime vraiment son conjoint ne l'aime pas seulement pour ce qu'il reçoit de lui, mais pour lui-même, heureux de pouvoir l'enrichir du don de soi.
Paul VI, encyclique Humanae vitae.