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  • 22 octobre : l'interet pour le Christ

    2f5e2b2935bcc59326f8dff199e24c12.jpgLorsqu'on commence à s'intéresser au Christ, on n'en finit plus. Non seulement il reste toujours quelque chose à apprendre et à dire, mais il reste l'essentiel. Saint Jean termine précisément ainsi son Évangile (Jean 21, 25 : « Jésus a fait encore beaucoup d'autres choses ; si on les rapportait en détail, je ne pense pas que le monde entier pourrait contenir les livres qu'il faudrait écrire »). La richesse de tout ce qui se rapporte au Christ, les profondeurs qu'il nous faut explorer et chercher à comprendre (...) ; la lumière, la foi, la joie, le désir qu'il engendre ; la réalité de l'expérience et de la vie qui nous viennent de lui, tout cela est si grand qu'il semble vraiment inconvenant, anti-scientifique, irrespectueux, de mettre fin à la réflexion qu'honnêtement exigent de nous sa venue dans le monde, sa présence dans l'histoire et la culture, et l'hypothèse, pour ne pas dire la vérité, du lien vital qui existe entre lui et notre conscience.

    Paul VI, Audience générale, 20 février 1974.

  • 21 octobre : accueillir le Seigneur

    c6c3d26a94ee5f0c4c7456f6d2adb82e.jpg« Si, selon la chair, la mère du Christ est une, selon la foi, toutes les âmes engendrent le Christ ; chacune, en effet, accueille en elle le Verbe de Dieu » (saint Ambroise, Discours sur l'Évangile de saint Luc 2, 26-27). Ainsi le saint docteur, interprétant la parole de la Madone elle-même, nous invite à faire en sorte que dans notre âme et dans notre vie, le Seigneur trouve une demeure. Nous ne devons pas seulement le porter dans le cœur, mais nous devons l'apporter au monde, afin que nous aussi nous puissions engendrer le Christ pour notre temps.

    Benoît XVI, Angélus, 15 février 2006.

     

  • 20 octobre : la conscience

    ac51ad9bb33260f7b5ff333345c7f74f.jpgLa conscience, c'est comme une personne qu'on estime. Quand on la trompe une fois, on n'ose plus la regarder en face.

    Fernandel, dans La loi, c'est la loi.

  • 20 octobre : la conscience

    La conscience, c'est comme une personne qu'on estime. Quand on la trompe une fois, on n'ose plus la regarder en face.

    Fernandel, dans La loi, c'est la loi.

  • 19 octobre : tous solidaires

    806712ac6da76ade941d1c187bf88774.jpgNous souffrons tous l'un pour l'autre et bénéficions des souffrances les uns des autres, car l'homme n'est jamais seul ici-bas.

    Newman, Grammaire de l'Assentiment 406.

  • 18 octobre : comment aimer le Christ

    5d5e500f908d66aa6de9a60b838b38d5.jpgJésus-Christ n'a fait autre chose qu'apprendre aux hommes qu'ils s'aimaient eux-mêmes, qu'ils étaient esclaves, aveugles, malades, malheureux et pécheurs ; qu'il fallait qu'il les délivrât, éclairât, béatifiât et guérît ; que cela se ferait en se haïssant soi-même, et en le suivant par la misère et la mort de la croix.

    Pascal, Pensées, éd. Brunschvicg, 545.

  • 17 octobre : Marie nous accompagne

    Il y a si longtemps, depuis lors que je l'ai pratiquée (la Sainte Vierge)66d668e5e6d2ec96dff238e65b7e9015.jpg, comme on dit, sous tous les aspects, si longtemps qu'elle ne fait plus qu'un avec tous les moments de ma vie, d'une longue vie aventureuse, avec toutes les démarches de mon existence, sur lesquelles elle sait mieux que personne à quoi s'en tenir, mais elle connaît mon cœur aussi.

    Paul Claudel, Fulgens corona.

  • 16 octobre : des repas chretiens

    8d33f548646a97e5deec6b67b68849c9.jpegNous devrions renouveler cette conscience que tous nos repas tirent leur vie de la bonté créatrice de Dieu et qu'ils renvoient à ce repas suprême (l'Eucharistie) dans lequel nous ne recevons pas seulement des choses terrestres mais la miséricorde incarnée de Dieu. Nous devrions prendre la résolution de faire de nos repas toujours plus des temps sacrés, de les commencer et de les terminer par une prière. Une telle attitude créera un climat nouveau dans nos maisons ; là où nous prions ensemble, où nous recevons de Dieu ses dons dans la reconnaissance, là naît un centre nouveau qui nous transforme aussi.

    J. Ratzinger, Dieu nous est proche. L'Eucharistie au cœur de l'Église, Paris, 2003, p. 51-52.

  • 16 octobre : des repas chretiens

    Nous devrions renouveler cette conscience que tous nos repas tirent leur vie de la bonté créatrice de Dieu et qu'ils renvoient à ce repas suprême (l'Eucharistie) dans lequel nous ne recevons pas seulement des choses terrestres mais la miséricorde incarnée de Dieu. Nous devrions prendre la résolution de faire de nos repas toujours plus des temps sacrés, de les commencer et de les terminer par une prière. Une telle attitude créera un climat nouveau dans nos maisons ; là où nous prions ensemble, où nous recevons de Dieu ses dons dans la reconnaissance, là naît un centre nouveau qui nous transforme aussi.

    J. Ratzinger, Dieu nous est proche. L'Eucharistie au cœur de l'Église, Paris, 2003, p. 51-52.

  • 15 octobre : le modele de ste therese d'Avila

    Jésus-Christ, Rédempteur de l'homme, fut le modèle de Thérèse. Enmedium_ThereseAvila1.jpg lui, la sainte a admiré la majesté de sa divinité et la transcendance de son humanité : "C'est une grande chose tandis que nous vivons et sommes des humains, de le traiter en homme" (Vie 23, 9). "Je voyais que, quoiqu'étant Dieu, il était Homme qui n'a pas eu peur de la faiblesse des hommes". Que d'horizons de familiarité avec Dieu Thérèse découvre pour nous dans l'humanité du Christ. Avec grande précision elle affirme la foi de l'Église en le Christ qui est vrai Dieu et vrai homme. Et comme elle l'expérimente de près, "notre compagnon dans le Très Saint-Sacrement" (Vie 22, 6).

    À partir du mystère de la Très Sainte Humanité qui est porte, joie et lumière, elle est parvenue au mystère de la Très Sainte Trinité (cf. Ibid. VII, 1, 6) source et but de la vie de l'homme, miroir où notre image a éré sculptée (Ibid. 2, 8). En partant du mystère de Dieu elle a compris la valeur de l'homme, sa dignité, sa vocation d'infini.

    Jean-Paul II, Homélie à Avila, 1er novembre 1982.