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femme

  • La femme agressée

    Lorsque le biologique est soustrait à l'humanité, l'humanité elle-même est niée. Dans la question de savoir s'il peut y avoir l'homme en tant qu'être masculin et la femme en tant qu'être féminin, c'et donc la créature en général qui est en cause. Puisque cette détermination biologique de l'humain a, dans le cas de la maternité, sa réalité on ne peut plus évidente, une émancipation niant le biologique est, d'une manière particulière, une agression de la femme ; la négation de son droit à être femme. Pour autant, inversement, la conservation de la création est liée, d'une manière particulière, à la question de la femme ; et la femme dans laquelle le « biologique » est « théologique », à savoir la maternité divine, est très particulièrement le carrefour où les voies se séparent.

    J. Ratzinger, « Marie, Mère de l'Église », dans card. J. Ratzinger-H. U. von Balthasar, Marie, première Église, Paris-Montréal, Médiaspaul, 1998, p. 30.

     

  • Dignité de la femme

     

    La reconnaissance franche et nette de la dignité personnelle de la femme constitue le premier pas à faire pour promouvoir sa pleine participation tant à la vie de l'Église qu'à la vie sociale et publique.

    Jean-Paul II, exhortation apostolique sur La vocation et la mission des fidèles laïcs dans l'Église et dans le monde, 30 décembre 1988, n° 49.

     

  • 15 octobre : Marie

    Triptyque.SteMarie.Bruges.jpg« À partir de cette heure, le disciple la prit chez lui » (Jean 19, 27).

    Cela signifie, selon le Saint-Père, qu'il se noue une relation toute intime entre le disciple - tout disciple - et Marie ;

    par là, Marie entre au plus profond de la vie spirituelle et culturelle, le disciple est introduit dans son existence de femme et de mère, c'est l'expression d'une confiance réciproque qui conduit de façon toujours nouvelle à la naissance du Christ et qui opère en l'homme une configuration au Christ.

    Mais de plus, la mission de Marie projette une lumière sur la femme en général, sur la dimension du féminin et la tâche particulière de la femme dans l'Église (Jean-Paul II, encyclique Redemptoris Mater, n° 46).

     

    J. Ratzinger, « Le signe de la femme »,

    dans card. J. Ratzinger-H. U. von Balthasar, Marie, première Église, Paris-Montréal, 1998, p. 56-57.

     

  • Le temoignage de la femme

     

    a061.jpg Si le témoignage des apôtres fonde l'Église, celui des femmes contribue grandement à ouvrir la foi des communautés chrétiennes.

     

    Paul VI, Discours au Comié pour l'Année internationale de la Femme, 18 avril 1975.

     

     

  • 5 juillet : l'honneur de la femme

    Femme1.jpgIl faut dépasser la mentalité selon laquelle l'honneur de la femme vient davantage du travail à l'extérieur que de l'activité familiale. Mais il faut pour cela que les hommes estiment et aiment vraiment la femme en tout respect de sa dignité personnelle, et que la société crée et développe des conditions adaptées pour le travail à la maison.

    Jean-Paul II, exhortation apostolique Familiaris consortio, n° 23.


  • 17 juin : la gloire de Dieu

    L'homme ne peut rien faire de plus grand que de rendre gloire à Dieu.

    Il n'est pas d'action plus élevée pour les peuples, pour les nations et pour les sociétés.

    361634236.jpgLe Créateur a placé l'homme, dès le commencement, au centre du monde visible, afin quecet homme, créé comme homme et femme, puisse connaître Dieuà travers le témoignage de toute la création.

    Et connaître Dieu, cela veut dire : lui rendre gloire.

    Elle est insondable, la gloire de Dieu en lui-même, dans le mystère de sa nature divine, dans le mystère du Père, du Fils et de l'Esprit Saint.

    L'homme connaît Dieu par le monde créé. Et au nom de la création, il proclame sa gloire.

     

    Jean-Paul II, Homélie lors de la sainte Messe à l'aéroport d'Antisranana, 29 avril 1989.

  • 14 juin : biologie et humanite


    Lorsque le biologique est soustrait à l'humanité, l'humanité elle-même est niée.

    2044570848.jpgDans la question de savoir s'il peut y avoir l'homme en tant qu'être masculin et la femme en tant qu'être féminin, c'et donc la créature en général qui est en cause. Puisque cette détermination biologique de l'humain a, dans le cas de la maternité, sa réalité on ne peut plus évidente, une émancipation niant le biologique est, d'une manière particulière, une agression de la femme ; la négation de son droit à être femme.

    Pour autant, inversement, la conservation de la création est liée, d'une manière particulière, à la question de la femme ;

    et la femme dans laquelle le « biologique » est « théologique », à savoir la maternité divine, est très particulièrement le carrefour où les voies se séparent.

     

    J. Ratzinger, « Marie, Mère de l'Église », dans card. J. Ratzinger-H. U. von Balthasar, Marie, première Église, Paris-Montréal, Médiaspaul, 1998, p. 30.



  • 23 avril : les femmes au ciel

    275636942.jpgEn ce qui concerne la vie dans la gloire, les femmes ne souffriront d'aucune discrimination ; si elles ont fait preuve d'une plus grande charité, elles jouiront aussi d'une plus grande gloire dans la vision de Dieu. Car les femmes qui l'avaient aimé davantage, « au point de ne pas quitter le tombeau, alors que les disciples l'avaient fait » (Grégoire), furent les premières à voir le Seigneur ressuscitant dans la gloire.

    Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique, III, q. 55, a. 5, ad 3.



  • 29 fevrier :

    d29e3ee61e0c731d1153cf3e8f049052.jpeg     Puisque cette année présente la particularité d'un mois de février avec 29 jours, voici une particularité, rapportée par mon grand-père à propos des femmes d'une tribu Touareg :

        "La suprême élégance pour les femmes de haute lignée est d'avoir le plus d'embonpoint possible ; pour l'acquérir on leur donne une nourriture appropriée, c'est ainsi qu'elles se gavent de vingt à trente litres de lait par jour, toute leur peau en est distendue, celle du ventre retombe comme un tablier, elles se déforment jusqu'à devenir de véritables monstres adipeux et à se transformer en épouvantail ! Comment s'expliquer cette mode alors que les hommes tiennent à garder une silhouette fine et élancée ? Sans doute veulent-elles ainsi faire l'étalage de leur richesse en montrant qu'ils ont les moyens de suralimenter leurs compagnes. En fait, la graisse, luxe suprême chez eux, serait comme les colliers de perles ou les rivières de diamants dont se parent les femmes fortunées de nos pays."

        A. Laibe, Un officier au pays des hommes voilés (notes de route 1908-1912), Paris, Mémoires d'Hommes, 2007, p. 153.

  • 22 decembre : Marie toute belle

    70d331aec7e5f55c5294b58eb94312b3.jpgParce que vous êtes belle, parce que vous êtes Immaculée

    La femme dans la Grâce enfin restituée.

    La créature dans son honneur premier et dans son Épanouissement final.

    Telle qu'elle est sortie de Dieu au matin de sa splendeur Originale.

    Intacte ineffablement parce que vous êtes la Mère de Jésus-Christ (...)

    Parce que vous êtes là pour toujours, simplement parce que Vous êtes Marie, simplement parce que vous

    Existez,

    Mère de Jésus-Christ, soyez remerciée !

    Paul Claudel.