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ratzinger

  • Dieu soutient

    Celui qui tient au Seigneur, celui-là, le Seigneur ne le lâche pas. Celui qui, de nouveau, lutte avec lui paisiblement et patiemment, humblement et fidèlement, celui-là, le Seigneur le conduira et ne lui refusera pas sa lumière.


    J. Ratzinger/Benoît XVI, Dieu nous est proche. L'Eucharistie au cœur de l'Eglise, Parole et Silence, 2003, p. 137.

     

  • La femme agressée

    Lorsque le biologique est soustrait à l'humanité, l'humanité elle-même est niée. Dans la question de savoir s'il peut y avoir l'homme en tant qu'être masculin et la femme en tant qu'être féminin, c'et donc la créature en général qui est en cause. Puisque cette détermination biologique de l'humain a, dans le cas de la maternité, sa réalité on ne peut plus évidente, une émancipation niant le biologique est, d'une manière particulière, une agression de la femme ; la négation de son droit à être femme. Pour autant, inversement, la conservation de la création est liée, d'une manière particulière, à la question de la femme ; et la femme dans laquelle le « biologique » est « théologique », à savoir la maternité divine, est très particulièrement le carrefour où les voies se séparent.

    J. Ratzinger, « Marie, Mère de l'Église », dans card. J. Ratzinger-H. U. von Balthasar, Marie, première Église, Paris-Montréal, Médiaspaul, 1998, p. 30.

     

  • Tout faire dans la prière

    Nous devrions renouveler cette conscience que tous nos repas tirent leur vie de la bonté créatrice de Dieu et qu'ils renvoient à ce repas suprême dans lequel nous ne recevons pas seulement des choses terrestres mais la miséricorde incarnée de Dieu. Nous devrions prendre la résolution de faire de nos repas toujours plus des temps sacrés, de les commencer et de les terminer par une prière. Une telle attitude créera un climat nouveau dans nos maisons ; là où nous prions ensemble, où nous recevons de Dieu ses dons dans la reconnaissance, là naît un centre nouveau qui nous transforme aussi.

    J. Ratzinger, Dieu nous est proche. L'Eucharistie au cœur de l'Église, Paris, 2003, p. 51-52.

     

  • L'absence de verite = misere

    Argentine.VillagedePurmamarca.provinceJuluy.jpgL'absence de vérité est la véritable misère de l'homme. Elle fausse notre agir et nous monte les uns contre les autres parce que nous ne sommes pas en accord avec nous-mêmes, nous sommes étrangers à nous-mêmes, coupés du fond de notre être, de Dieu. Quand la vérité se donne, c'est une libération de ces « aliénations » et donc de ce qui sépare ; une référence commune apparaît, qui ne fait violence à aucune culture, mais conduit chacun à son cœur propre puisque, en fin de compte, chacune est attente de la vérité. Il ne s'agit pas d'une uniformisation des cultures, au contraire : lorsque la vérité se manifeste, l'opposition peut alors devenir complémentarité parce que, ordonnée par rapport à une référence commune, chaque culture peut déployer sa propre fécondité.

    Joseph Ratzinger (Benoît XVI), Foi, vérité, tolérance, Parole et Silence, 2005, p. 68.

     

     

  • 14 juin : biologie et humanite


    Lorsque le biologique est soustrait à l'humanité, l'humanité elle-même est niée.

    2044570848.jpgDans la question de savoir s'il peut y avoir l'homme en tant qu'être masculin et la femme en tant qu'être féminin, c'et donc la créature en général qui est en cause. Puisque cette détermination biologique de l'humain a, dans le cas de la maternité, sa réalité on ne peut plus évidente, une émancipation niant le biologique est, d'une manière particulière, une agression de la femme ; la négation de son droit à être femme.

    Pour autant, inversement, la conservation de la création est liée, d'une manière particulière, à la question de la femme ;

    et la femme dans laquelle le « biologique » est « théologique », à savoir la maternité divine, est très particulièrement le carrefour où les voies se séparent.

     

    J. Ratzinger, « Marie, Mère de l'Église », dans card. J. Ratzinger-H. U. von Balthasar, Marie, première Église, Paris-Montréal, Médiaspaul, 1998, p. 30.



  • 26 avril : la filiation divine

    488062283.jpgLa filiation divine est devenue un concept dynamique : nous ne sommes pas encore de manière achevée des fils de Dieu, mais nous devons le devenir et l'être de plus en plus à travers notre communion de plus en plus profonde avec Jésus. Être fils, c'est suivre le Christ. La parole qui qualifie Dieu comme Père devient alors pour nous un appel : vivre comme « fils » et « fille ».

    J. Ratzinger (Benoît XVI), Jésus de Nazareth, Paris, 2007, p. 161.