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maternité

  • 14 juin : biologie et humanite


    Lorsque le biologique est soustrait à l'humanité, l'humanité elle-même est niée.

    2044570848.jpgDans la question de savoir s'il peut y avoir l'homme en tant qu'être masculin et la femme en tant qu'être féminin, c'et donc la créature en général qui est en cause. Puisque cette détermination biologique de l'humain a, dans le cas de la maternité, sa réalité on ne peut plus évidente, une émancipation niant le biologique est, d'une manière particulière, une agression de la femme ; la négation de son droit à être femme.

    Pour autant, inversement, la conservation de la création est liée, d'une manière particulière, à la question de la femme ;

    et la femme dans laquelle le « biologique » est « théologique », à savoir la maternité divine, est très particulièrement le carrefour où les voies se séparent.

     

    J. Ratzinger, « Marie, Mère de l'Église », dans card. J. Ratzinger-H. U. von Balthasar, Marie, première Église, Paris-Montréal, Médiaspaul, 1998, p. 30.



  • 15 janvier : maternité divine de Marie

    4a1978982e1d926ceb579a6527aff40f.jpgDieu le Saint-Esprit étant stérile en Dieu, c'est-à-dire ne produisant pas d'autre Personne divine, est devenu fécond par Marie qu'Il a épousée. C'est avec Elle et en Elle et d'elle qu'Il a produit son chef-d'œuvre, qui est un Dieu fait homme, et qu'Il produit tous les jours jusqu'à la fin du monde les prédestinés et les membres du corps de ce chef adorable : c'est pourquoi plus Il trouve Marie, sa chère et indissoluble Épouse, dans une âme, plus Il devient opérant et puissant pour produire Jésus-Christ en cette âme et cette âme en Jésus-Christ.

    Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge, 20.