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ciel

  • La Trinité, notre demeure

    La Trinité, voilà notre demeure, notre « chez nous », la maison paternelle d’où nous ne devons jamais sortir… Il me semble que j’ai trouvé mon ciel sur la terre, puisque le ciel c’est Dieu et Dieu est en mon âme. Le jour où j’ai compris cela, tout s’est illuminé en moi.

     

    Sainte Elisabeth de la Trinité.

     

  • Prière publique et privée

    (le curé d’Ars) préférait la prière publique aux prières particulières. « La prière particulière, disait-il, ressemble à la paille dispersée ça et là dans un champ ; si on y met le feu, la flamme a peu d’ardeur ; mais réunissez ces brins épars, la flamme est abondante et s’élève haut vers le ciel : telle est la prière publique. »

     

    Fr. Trochu, Le Curé d’Ars Saint Jean-Maris-Baptiste Vianney (1786-1859), Lyon-Paris, Emmanuel Vitte, 1929, p. 367.

     

  • Prière par Marie

    Ethiopie.Bahir.Dar.Marie.EnfantsMisericorde.jpgRendons grâces à Dieu le Père tout-puissant, qui a voulu que Marie, la Mère de son Fils, soit honorée par toutes les générations, et implorons-la en lui demandant : Pleine de grâces, intercédez pour nous.

    Toi qui as constitué Marie en Mère de miséricorde, accorde à ceux qui se trouvent en danger de ressentir son affection maternelle.

    Toi qui as voulu que Marie soit la mère de famille dans la maison de Jésus et de Joseph, fais que, par son intercession, toutes les mères répandent charité et sainteté dans les familles.

    Toi qui as rendu forte Marie debout au pied de la Croix et l'a remplie de joie à la Résurrection de son Fils, soulage les affligés et raffermis leur espérance.

    Toi qui as rendu Marie attentive à ta parole et en a fait ta servante fidèle, par son intercession fais de nous les serviteurs et les disciples de ton Fils.

    Toi qui as couronné Marie Reine du ciel, fais que les défunts possèdent pour l'éternité ton royaume avec la foule des saints.

    Commun de la Sainte Vierge, Prières pour les deuxièmes Vêpres.

     

  • L'amour de Marie pour nous

    51.Reims.cathedrale.ViergeEnfant.jpg

    Un jour, saint Alphonse Rodriguez, de la Compagnie de Jésus, se trouvait devant une image de Marie et, sentant son cœur brûler d'amour pour la très sainte Vierge, il ne peut s'empêcher de lui dire : « Ma très aimable Mère, je sais bien que vous m'aimez, mais pas autant que je vous aime. » Alors Marie, comme offensée sur ce point délicat de son amour, lui répondit, de cette image : « Que dis-tu, Alphonse, que dis-tu ? Oh ! Combien mon amour pour toi l'emporte sur ton amour pour moi ! Sache qu'il y a moins de distance de la terre au ciel que de ton amour au mien ».

     

    Saint Alphonse de Liguori, Les gloires de Marie, 1, 3.

     

  • Je vous salue

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    Contrairement au Pater, la demande n'est pas explicitée dans l'Ave Maria parce que Marie est parfaitement accordée à la volonté de Dieu. Elle ne demandera rien pour nous qui ne convienne. Un peu comme la petite Thérèse de l'Enfant-Jésus, nous aimons demander à notre Mère du ciel de faire le tri entre toutes nos demandes et nos désirs plus ou moins purs. Nous la chargeons de ne présenter à Dieu que celles qui sont acceptables !

    Guillaume de Menthière, Je vous salue Marie. L'art de la  prière, Paris, Mame-Edifa, 2003, p. 132.

     

  • La prière de Marie

    06.Luceram.ChapelleStGrat.DouceViergePrincesseetEnfant.jpgS'abaissant vers le genre humain avec une indicible charité et tournant vers nous ces yeux si miséricordieux qui sont la lumière du ciel, elle fait monter une prière universelle pour le clergé et pour le peuple, hommes et femmes, vivants et morts. Du ciel, la toute glorieuse nous vient en aide ici-bas, et par sa prière toute-puissante, elle chasse tous les maux et donne tous les biens ; pour tous ceux qui la prient du fond du cœur, elle se fait leur protection pour la vie présente et pour la vie future.


    Amédée de Lausanne, Homélies mariales 7.

     

  • Le ciel

    Interprétant l'invocation de la Prière du Seigneur : « Notre Père qui est aux cieux », (saint Augustin) se demande : quel est ce ciel ? Où est-il ce ciel ? Et suit une réponse étonnante : « ... qui est aux cieux - cela signifie : dans les saints et dans les justes. En effet, les cieux sont les corps les plus élevés de l'univers, mais, étant cependant des corps, qui ne peuvent exister sinon en un lieu. Si toutefois on croit que le lieu de Dieu est dans les cieux comme dans les parties les plus hautes du monde, alors les oiseaux seraient plus heureux que nous, parce qu'ils vivraient plus près de Dieu. Mais il n'est pas écrit : « Le Seigneur est proche de ceux qui habitent sur les hauteurs ou sur les montagnes », mais plutôt : « Le Seigneur est proche du cœur brisé » (Psaume 34 [33], 19), expression qui se réfère à l'humilité. Comme le pécheur est appelé « terre », ainsi, à l'inverse, le juste peut être appelé « ciel » (Serm. in monte II 5, 17). Le ciel n'appartient pas à la géographie de l'espace, mais à la géographie du cœur. Et le cœur de Dieu, dans cette Nuit très sainte, s'est penché jusque dans l'étable : l'humilité de Dieu est le ciel. Et si nous entrons dans cette humilité, alors, nous toucherons le ciel. Alors, la terre deviendra aussi nouvelle. Avec l'humilité des bergers, mettons-nous en route, en cette Nuit très sainte, vers l'Enfant dans l'étable ! Touchons l'humilité de Dieu, le cœur de Dieu ! Alors, sa joie nous touchera et elle rendra le monde plus lumineux.


    Benoît XVI, Homélie, 25 décembre 2007.

     

  • Le ciel

     

    Interprétant l’invocation de la Prière du Seigneur : « Notre Père qui est aux cieux », (saint Augustin) seAdorationbergers1.jpg demande : quel est ce ciel ? Où est-il ce ciel ? Et suit une réponse étonnante : « … qui est aux cieux – cela signifie : dans les saints et dans les justes. En effet, les cieux sont les corps les plus élevés de l’univers, mais, étant cependant des corps, qui ne peuvent exister sinon en un lieu. Si toutefois on croit que le lieu de Dieu est dans les cieux comme dans les parties les plus hautes du monde, alors les oiseaux seraient plus heureux que nous, parce qu’ils vivraient plus près de Dieu. Mais il n’est pas écrit : « Le Seigneur est proche de ceux qui habitent sur les hauteurs ou sur les montagnes », mais plutôt : « Le Seigneur est proche du cœur brisé » (Psaume 34 [33], 19), expression qui se réfère à l’humilité. Comme le pécheur est appelé « terre », ainsi, à l’inverse, le juste peut être appelé « ciel » (Serm. in monte II 5, 17). Le ciel n’appartient pas à la géographie de l’espace, mais à la géographie du cœur. Et le cœur de Dieu, dans cette Nuit très sainte, s’est penché jusque dans l’étable : l’humilité de Dieu est le ciel. Et si nous entrons dans cette humilité, alors, nous toucherons le ciel. Alors, la terre deviendra aussi nouvelle. Avec l’humilité des bergers, mettons-nous en route, en cette Nuit très sainte, vers l’Enfant dans l’étable ! Touchons l’humilité de Dieu, le cœur de Dieu ! Alors, sa joie nous touchera et elle rendra le monde plus lumineux.

     

    Benoît XVI, Homélie, 25 décembre 2007.

  • Saint Irénée

    À ceux qui le suivent et le servent, Dieu procure la vie incorruptible et la gloire éternelle. […] La gloire de l’homme, c’est de persévérer et de demeurer au service de Dieu. Et c’est pourquoi le Seigneur disait à ses disciples : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais moi qui vous ai choisis » (Jean 15, 16) ; il voulait dire par là qu’eux ne le glorifiaient pas en le suivant, mais que, pour avoir suivi le Fils de Dieu, ils étaient par lui glorifiés. Et il disait encore : « Je veux que là où je suis, ils soient aussi, pour qu’ils voient ma gloire » (Jean 17, 24) »

     

    Saint Irénée, Contre les hérésies 4, 14, 1.

  • Le ciel

    Interprétant l’invocation de la Prière du Seigneur : « Notre Père qui est aux cieux » (saintLeverSoleilMontagne5.jpeg Augustin) se demande : quel est ce ciel ? Où est-il ce ciel ? Et suit une réponse étonnante : « … qui est aux cieux – cela signifie : dans les saints et dans les justes. En effet, les cieux sont les corps les plus élevés de l’univers, mais, étant cependant des corps, qui ne peuvent exister sinon en un lieu. Si toutefois on croit que le lieu de Dieu est dans les cieux comme dans les parties les plus hautes du monde, alors les oiseaux seraient plus heureux que nous, parce qu’ils vivraient plus près de Dieu. Mais il n’est pas écrit : « Le Seigneur est proche de ceux qui habitent sur les hauteurs ou sur les montagnes », mais plutôt : « Le Seigneur est proche du cœur brisé » (Psaume 34 [33], 19), expression qui se réfère à l’humilité. Comme le pécheur est appelé « terre », ainsi, à l’inverse, le juste peut être appelé « ciel » (Serm. in monte II 5, 17). Le ciel n’appartient pas à la géographie de l’espace, mais à la géographie du cœur. Et le cœur de Dieu, dans cette Nuit très sainte, s’est penché jusque dans l’étable : l’humilité de Dieu est le ciel. Et si nous entrons dans cette humilité, alors, nous toucherons le ciel. Alors, la terre deviendra aussi nouvelle. Avec l’humilité des bergers, mettons-nous en route, en cette Nuit très sainte, vers l’Enfant dans l’étable ! Touchons l’humilité de Dieu, le cœur de Dieu ! Alors, sa joie nous touchera et elle rendra le monde plus lumineux.


    Benoît XVI, Homélie, 25 décembre 2007.