Telle est la finalité de l’Église - et il n’y en a aucune autre : le salut des âmes, une par une.
Benoît XVI, 11 mai 2007.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Telle est la finalité de l’Église - et il n’y en a aucune autre : le salut des âmes, une par une.
Benoît XVI, 11 mai 2007.
Je m'adresse à vous, Dieu tout-puissant, pour vous demander un don que toutes les créatures ensemble ne peuvent m'accorder : ... la conversion de mon cœur... (...) Tout ce qui n'est pas Dieu ne peut pas remplir mon attente. C'est Dieu même que je demande et que je cherche ; et c'est à vous seul, ô mon Dieu, que je m'adresse pour vous obtenir. Ouvrez mon cœur, Seigneur... (...) Vous seul avez pu créer mon âme : vous seul pouvez la créer de nouveau. Vous seul avez pu y former votre image : vous seul pouvez la reformer et y réimprimer votre portrait effacé, c'est-à-dire Jésus-Christ mon Sauveur, qui est votre image et le caractère de votre substance.
Pascal, Prière pour demander à Dieu le bon usage des maladies, 1659.
Voici qu'on ne nous promet plus une terre qui regorge de miel, ni une longue vie, ni une multitude de fils, ni du blé, ni du vin, ni des troupeaux de gros ou de petit bétail, mais bien le ciel et les biens célestes : la filiation divine, la fraternité avec le Fils unique, la participation à son héritage, la glorification et le règne en même temps que Lui.
Saint Jean Chrysostome, Homélies sur Matthieu 16, 5.
L'homme a intimement besoin de s'ouvrir à la miséricorde divine pour se savoir radicalement compris dans la faiblesse de sa nature blessée ; il a besoin d'être fermement convaincu (...) que Dieu est un Père plein de bonté qui cherche par tous les moyens à réconforter ses propres enfants, à les aider, à les rendre heureux ; il les cherche et il les suit de son inlassable amour comme si lui-même ne pouvait être heureux sans eux. Pour l'homme le plus pervers, le plus misérable et enfin le plus perdu, Jésus est pour lui un père et une tendre mère et l'aime d'une tendresse infinie.
Jean-Paul II, Discours aux Servantes de l'Amour miséricordieux, Todi, 22 novembre 1981.
Dans la prison de Tarnow, les prisonniers entassés dans les cellules attendent d'être transférés au camp d'extermination d'Oswiccim (Auschwitz). Un condamné à mort fut amené dans l'une de ces cellules. Il était d'extrême-gauche et il ne croyait pas en Dieu. Il se promenait dans sa cellule, de long en large. Ses camarades lui avaient donné, pour qu'il le lise, un Évangile que l'on avait réussi à leur faire parvenir de l'extérieur. Il commença à le lire. Peu après, lorsque la Gestapo arriva afin de l'amener à l'échafaud, il dit à ses camarades : « Je vous remercie de m'avoir aidé à connaître Dieu le Père. Je n'ai plus le temps de pleurer les péchés par lesquels je l'ai offensé. Faites-le vous-mêmes pour moi. »
J. Ablewicz, Vous serez mes témoins, Paris, 1990, p. 83-84.
Dans la prison de Tarnow, les prisonniers entassés dans les cellules attendent d'être transférés au camp d'extermination d'Oswiccim (Auschwitz). Un condamné à mort fut amené dans l'une de ces cellules. Il était d'extrême-gauche et il ne croyait pas en Dieu. Il se promenait dans sa cellule, de long en large. Ses camarades lui avaient donné, pour qu'il le lise, un Évangile que l'on avait réussi à leur faire parvenir de l'extérieur. Il commença à le lire. Peu après, lorsque la Gestapo arriva afin de l'amener à l'échafaud, il dit à ses camarades : « Je vous remercie de m'avoir aidé à connaître Dieu le Père. Je n'ai plus le temps de pleurer les péchés par lesquels je l'ai offensé. Faites-le vous-mêmes pour moi. »
J. Ablewicz, Vous serez mes témoins, Paris, 1990, p. 83-84.
Le chrétien est véritablement racheté quand il permet que l'Esprit infuse en lui l'esprit filial - esprit de liberté et de confiance inconditionnée - ; et cela veut dire : quand il se sent comme un enfant qui a absolument besoin de son père pour lui adresser sa prière filiale et qui de lui-même ne sait rien dire d'autre que « papa ». Alors ce sera l'Esprit lui-même, comme une maman empressée, qui l'aidera à crier avec une immense tendresse : « Abba, Père ! » En effet, si en Romains 8, 15 il est dit que ce sont les fils qui « crient : Abba ! », en Galates 4, 6 on lit : « Et la preuve que vous êtes des fils, c'est que Dieu a envoyé dans nos cœurs l'Esprit de son Fils qui crie : Abba, Père ! »
Conseil de présidence du grand Jubilé de l'an 2000, L'Esprit Saint emplit l'univers, Paris, 1997, p. 105.
Ne prévenez point les accidents de cette vie par l'appréhension, mais prévenez-les par une parfaite espérance qu'au fur et à mesure qu'ils arriveront Dieu vous en délivrera (...) Pensons seulement à bien faire aujourd'hui, et quand le jour de demain sera arrivé il s'appellera aujourd'hui, et lors nous y penserons.
Saint François de Sales.
« Il était la vraie lumière qui éclaire tout homme venant en ce monde » (Jean 1, 9) ; c'est le Père. « Il était la vraie lumière qui éclaire tout homme venant dans le monde » ; c'est le Fils. « Il était la vraie lumière qui éclaire tout homme venant dans le monde » ; c'est le second Consolateur (Paraclet) (Jean 14, 16). Il était, et il était, et il était : mais il était un. Il était Lumière, et Lumière, et Lumière ; mais une seule Lumière, un seul Dieu. C'est ce que David apercevait jadis quand il disait : « Dans ta lumière nous verrons la Lumière » (Psaume 35, 10). Et nous, maintenant, nous voyons et nous prêchons : de la Lumière qui est le Père, nous atteignons la Lumière qui est le Fils, dans la Lumière qui est l'Esprit, théologie brève et simple de la Trinité.
Saint Grégoire de Nazianze, 5ème Discours théologique, 4.
Il y a un enfer. — C’est une affirmation qui a l’air à tes yeux d’une lapalissade. — Je vais te la répéter : il y a un enfer !
Sois mon écho, opportunément, à l’oreille de tel ou tel de tes camarades…