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Eucharistie - Page 5

  • L'Eucharistie

    Elle est le foyer de tout l’univers sacramentel.

     

    Louis Bouyer,  Initiation chrétienne, Paris, Plon, 1958, p. 144.

  • Les dispositions pour communier

    Etiennette, qui était pieuse, se rendit directement à l’église, où M. Vianney commençait sa messe, et, au moment de la communion, elle s’agenouilla à la sainte table. Le célébrant communia les personnes présentes, mais arrivé devant la jeune voyageuse, il prit l’hostie, la souleva au-dessus du ciboire, commença de réciter la formule : Corpus Domini nostri… puis, sans l’achever, demeura immobile.

    On ne saurait décrire l’angoisse intérieure de cette enfant, à qui l’homme de Dieu voulait donner pour toute la vie une leçon. Ne sachant que penser, elle se mit à réciter mentalement les actes de foi, d’espérance et de charité. Quand elle eut fini, le Curé d’Ars déposa l’hostie sur ses lèvres et passa. « Mon enfant, lui dit-il lorsqu’il la revit, quand on n’a pas fait sa prière du matin et qu’on a été dissipé tout le long de la route, on n’est pas trop disposé à faire la sainte communion ! »

     Fr. Trochu, Le Curé d’Ars Saint Jean-Maris-Baptiste Vianney (1786-1859), Lyon-Paris, Emmanuel Vitte, 1929, p. 372.

  • L'adoration eucharistique

    Je vous invite tous à redécouvrir la fécondité de l'adoration eucharistique : devant le Très Saint Sacrement, nous faisons l'expérience de façon toute particulière du fait de « demeurer » avec Jésus, que Lui-même, dans l'Evangile de Jean, place comme condition nécessaire pour porter beaucoup de fruit (cf. Jean 15, 5) et éviter que notre action apostolique ne se réduise à un activisme stérile, mais soit au contraire le témoignage de l'amour de Dieu.

     

    Benoît XVI, Discours, 15 juin 2010.

     

  • 20 mars : l'Eucharistie

        06d0ee8a834d3cf5d0c65e20ea73634f.jpgÀ présent, nous avons redécouvert que cet aspect central que nous donné le Seigneur en pouvant célébrer son sacrifice et entrer ainsi en communion sacramentelle, presque corporelle, avec Lui, perd de sa profondeur et également de sa richesse humaine s'il manque l'Adoration, comme acte découlant de la communion reçue : l'adoration consiste à entrer, au plus profond de notre cœur, en communion avec le Seigneur, qui est présent de façon corporelle dans l'Eucharistie. Dans l'Ostensoir, il se donne toujours entre nos mains, et nous invite à nous unir à sa Présence, à son Corps ressuscité.

        Benoît XVI, Discours au clergé de Rome, 2 mars 2006.

     

     

  • 5 mars : adorer Dieu

    1654986507.jpgNemo autem illam carnem manducat, nisi prius adoraverit ;... peccemus non adorando – Que personne ne mange cette chair sans d'abord l'adorer ;... nous pécherions si nous ne l'adorions pas » (saint Augustin, Enarrationes in Psalmos 98, 9) ».

    Benoît XVI, exhortation apostolique Sacramentum caritatis, n° 66.

  • 11 fevrier : Notre Dame de Lourdes

    a85075422d820ff9b46c66763b7f1c9a.jpgDans la grotte de Massabielle, la Vierge a manifesté la tendresse de Dieu pour les personnes qui souffrent. Cette tendresse, cet amour attentif est ressenti de manière particulièrement vive dans le monde précisément le jours de la fête de Notre-Dame de Lourdes, en réactualisant dans la liturgie, et en particulier dans l'Eucharistie, le mystère du Christ rédempteur de l'homme, dont la Vierge immaculée représente une anticipation. En se présentant à Bernadette comme l'Immaculée Conception, la très Sainte Vierge est venue rappeler au monde (...) le primat de la grâce divine, plus forte que le péché et la mort.

    Benoît XVI, Discours, 11 février 2006.

  • 7 janvier : le don du Christ qu'est l'Eucharistie

    0ace1d82bdd20af2cea54e2386b93f61.jpgDans le dialogue entre Jésus et Nicodème, nous trouvons une expression lumineuse (...) : « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique : ainsi tout homme qui croit en lui ne périra pas, mais il obtiendra la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé » (Jean 3, 16-17). Ces paroles montrent la racine première du don de Dieu. Jésus, dans l'Eucharistie, donne non pas « quelque chose » mais se donne lui-même ; il offre son corps et il verse son sang. De cette manière, il donne la totalité de son existence, révélant la source originaire de cet amour.

    Benoît XVI, exhortation apostolique Sacramentum caritatis, n° 7.

     

     

  • 23 decembre : Jesus et l'Eucharistie

    Il est dans le tabernacle. Que fait-il, ce bon Jésus dans le sacrement8b86898df791be8e1fbe9f5fd1a669af.jpg de son amour ? Il nous aime. On ne le remercie pas assez de ce qu'il a pris un si bon cœur pour les pauvres pécheurs. Il sort de ce cœur une transpiration d'amour et de miséricorde pour noyer les péchés du monde. Il est là comme au ciel. On disait à une sainte si le temps ne lui durait pas à l'église - Ah ! répondit-elle, j'y passerais une éternité. Elle avait raison, disait-il, Notre Seigneur est au ciel ; il est aussi dans son tabernacle. Quel bonheur.

    Catherine Lassagne, Le curé d'Ars au quotidien par un témoin privilégié, Paris, 2003, p. 78.

     


  • 16 octobre : des repas chretiens

    Nous devrions renouveler cette conscience que tous nos repas tirent leur vie de la bonté créatrice de Dieu et qu'ils renvoient à ce repas suprême (l'Eucharistie) dans lequel nous ne recevons pas seulement des choses terrestres mais la miséricorde incarnée de Dieu. Nous devrions prendre la résolution de faire de nos repas toujours plus des temps sacrés, de les commencer et de les terminer par une prière. Une telle attitude créera un climat nouveau dans nos maisons ; là où nous prions ensemble, où nous recevons de Dieu ses dons dans la reconnaissance, là naît un centre nouveau qui nous transforme aussi.

    J. Ratzinger, Dieu nous est proche. L'Eucharistie au cœur de l'Église, Paris, 2003, p. 51-52.

  • 16 octobre : des repas chretiens

    8d33f548646a97e5deec6b67b68849c9.jpegNous devrions renouveler cette conscience que tous nos repas tirent leur vie de la bonté créatrice de Dieu et qu'ils renvoient à ce repas suprême (l'Eucharistie) dans lequel nous ne recevons pas seulement des choses terrestres mais la miséricorde incarnée de Dieu. Nous devrions prendre la résolution de faire de nos repas toujours plus des temps sacrés, de les commencer et de les terminer par une prière. Une telle attitude créera un climat nouveau dans nos maisons ; là où nous prions ensemble, où nous recevons de Dieu ses dons dans la reconnaissance, là naît un centre nouveau qui nous transforme aussi.

    J. Ratzinger, Dieu nous est proche. L'Eucharistie au cœur de l'Église, Paris, 2003, p. 51-52.