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Amour - Page 4

  • 21 juillet : la vraie charite

    f602453b7af9745eec90d9ba25dca804.jpeg« Je demande la charité pour l'amour de Dieu », avait-il (Grignion de Montfort) dit à Madame l'Abesse de Fontevraud, lui donnant pour toute réponse à ses questions : « Madame, à quoi bon me demander mon nom ? Ce n'est pas pour moi, mais pour l'amour de Dieu que je vus demande la charité », mais elle le renvoya. Montfort, qui passait pour visiter sa sœur Sybille, fit cette réflexion à la portière : « Si Madame me connaissait, elle ne me refuserait pas la charité. » Cei fut rapporté au couvent et sa sœur le reconnut. Quoiqu'il fut rappelé, Montfort se contenta de répondre, malgré les excuses et les supplications : « Madame l'Abbesse n'a pas voulu me faire la charité pour l'amour de Dieu ; maintenant elle me l'offre pour l'amour de moi ; je la remercie. »

    J. B. Blain, Abrégé de la vie de Louis-Marie Grignion de Montfort, Rome, 1973, p. 140-141.

     

     

  • 16 juillet : justice et charite

    Vous savez que l'amour chrétien anime la justice, l'inspire, la découvre, la perfectionne, la rend praticable, la respecte, l'élève, la dépasse ; mais il ne l'absorbe pas, car il ne la remplace pas ; au contraire, elle la suppose et l'exige, car il ne saurait y avoir de véritable amour, de véritable charité, sans justice. La justice n'est-elle pas la mesure minimum de la charité ?

    Jean-Paul II, Discours aux ouvriers des établissements Solvay, à Rosignago, 19 mars 1982.

     

  • 15 juillet : amour et justice

    bff710e32f2cf08b549844ff8ba084c3.jpgVous savez que l'amour chrétien anime la justice, l'inspire, la découvre, la perfectionne, la rend praticable, la respecte, l'élève, la dépasse ; mais il ne l'absorbe pas, car il ne la remplace pas ; au contraire, elle la suppose et l'exige, car il ne saurait y avoir de véritable amour, de véritable charité, sans justice. La justice n'est-elle pas la mesure minimum de la charité ?

    Jean-Paul II, Discours aux ouvriers des établissements Solvay, à Rosignago, 19 mars 1982.

     

  • 12 juillet : l'indifference

    Ce qui détruit le monde, c'est lindifférence ;

    Un homme marche, tombe, crie dans la rue

    Eh bien personne ne l'a vu : l'indifférence.

    L'indifférence, elle te tue à petit coup, l'indifférence.

    Tu es l'agneau, elle est lel loup, l'indifférence,

    Un peu de haine, un peu d'amour, quelque chose (...)

     

    Gilbert Bécaud.

  • 9 juillet : on peut toujours aimer

    3ad610c8ff7f8618caa359c7c80950b5.jpgPour toutes les autres bonnes œuvres il peut toujours y avoir une bonne excuse ; mais personne ne peut s'excuser de ne pas aimer. Tu peux me dire : je ne peux pas jeûner ! Mais tu ne peux pas me dire : je ne peux pas aimer.

    Saint Jérôme, In Evangelium Matthaei Commentarium1, 5, 44.


  • 7 juillet : L'interet pour le Christ

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    Lorsqu'on commence à s'intéresser au Christ, on n'en finit plus. Non seulement il reste toujours quelque chose à apprendre et à dire, mais il reste l'essentiel. Saint Jean termine précisément ainsi son Évangile (Jean 21, 25 : "Jésus a fait encore beaucoup d'autres choses ; si on les rapportait en détail, je ne pense pas que le monde entier pourrait contenir les livres qu'il faudrait écrire"). La richesse de tout ce qui se rapporte au Christ, les profondeurs qu'il nous faut explorer et chercher à comprendre (...) ; la lumière, la foi, la joie, le désir qu'il engendre ; la réalité de l'expérience et de la vie qui nous viennent de lui, tout cela est si grand qu'il semble vraiment inconvenant, anti-scientifique, irrespectueux, de mettre fin à la réflexion qu'honnêtement exigent de nous sa venue dans le monde, sa présence dans l'histoire et la culture, et l'hypothèse, pour ne pas dire la vérité, du lien vital qui existe entre lui et notre conscience.

     

    Paul VI, Audience générale, 20 février 1974.

  • 1er juillet : perseverer

                  medium_Patience.BvanOrley.jpg Seigneur, accorde-nous la grâce de persévérer dans ta volonté, afin qu'au long des jours, le peuple dévoué à ton service augmente en nombre et grandisse en sainteté.

     
    Oraison, mardi de la 5ème semaine de Carême.

     

  • 29 juin : l'Amour de Dieu

    Je vous le répète : je n’accepte pas d’autre esclavage que celui de3ae916ab0a25769887a852dbbf692b17.jpg l’Amour de Dieu. Et cela parce que, comme je vous l’ai expliqué en d’autres occasions, la religion est la plus grande révolte de l’homme qui ne tolère pas de vivre comme une bête, qui ne se résigne pas, qui ne s’apaise pas tant qu’elle ne fréquente pas et ne connaît pas son Créateur. Je vous veux rebelles, libres de tout lien, car je vous veux — le Christ nous veut — enfants de Dieu. Esclavage ou filiation divine : voilà le dilemme de notre vie. Ou enfants de Dieu ou esclaves de l’orgueil, de la sensualité, de cet égoïsme angoissé dans lequel tant d’âmes semblent se débattre.

    Saint Josémaria, Amis de Dieu, n° 38.



  • 27 juin : l'amour vrai

    Il faut que l'amour finisse par tuer le moi. Sinon, c'est le moi qui finit

    2011378e3407c0833ddda3300bb30c9f.jpg

    par tuer l'amour.

    Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière, Paris, 1955, p. 141/

     

  • 18 juin : charite envers tous

    56e1053284bca0c97abaec1eb7c5dfa6.jpgLa charité dépasse l'horizon des frères dans la foi, parce que "tout homme est mon frère" ; en chaque homme, surtout s'il est pauvre, faible, souffrant et injustement traité, la charité sait découvrir le visage du Christ et un frère à aimer et à servir.

    Jean-Paul II, exhortation apostolique sur la famille Familiaris consortio, 22 novembre 1981, n° 64.