Il faut que l'amour finisse par tuer le moi. Sinon, c'est le moi qui finit
par tuer l'amour.
Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière, Paris, 1955, p. 141/
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Il faut que l'amour finisse par tuer le moi. Sinon, c'est le moi qui finit
par tuer l'amour.
Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière, Paris, 1955, p. 141/