Qui sème le vent récolte la tempête
Je parle d'expérience : ceux qui labourent l'iniquité et sèment le malheur, les moissonnent.
Job 4, 8.
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Qui sème le vent récolte la tempête
Je parle d'expérience : ceux qui labourent l'iniquité et sèment le malheur, les moissonnent.
Job 4, 8.
Le divin Rédempteur répète incessamment son invitation pressante : « Demeurez en moi. » Or, par le sacrement de l'Eucharistie, le Christ demeure en nous et nous en lui ; et de même que le Christ demeurant en nous vit et agit, de même il faut que nous, demeurant dans le Christ, nous vivions et agissions par lui.
Pie XII, encyclique Mediator Dei, IIème partie, III.
Le Christ au cenre de notre vie
Il est nécessaire - pour la vie des personnes comme pur la coexistence sereine et pacifique de tous, de considérer Dieu comme le cenre de notre vie personnelle. L'exemple par excellence d'une telle attitude est Marie, la Mère du Seigneur. Au cours de toute sa vie terrestre, elle a été la Femme de l'écoute, la Vierge au cœur ouvert à Dieu et aux hommes.(...) Elle est et demeure la servante du Seigneur qui ne se met pas au centre, mais veut nous guider vers Dieu, veut nous enseigner un style de vie dans lequel Dieu est reconnu comme centre de la réalité de notre vie personnelle elle-même.
Benoît XVI, Angélus, 10 septembre 2006.
Je cours encore, j'avance encore, je suis encore sur le chemin, je fais encore des efforts, je ne suis pas encore arrivé. Alors, si tu marches, si tu fais des efforts, si tu as l'avenir présent à l'esprit, oublie le passé, ne tourne pas ton regard vers cela, de peur que tu restes au point où tu te regardes à nouveau. Si tu dis : ça suffit ! tu es perdu.
Saint Augustin, Sermon 169, 18.
La tâche prioritaire et irremplaçable, (...) c'est de connaître Jésus, en étudiant, en approfondissant, en méditant la Sainte Écriture, non pas comme un simple livre d'histoire mais comme le témoignage éternel d'un vivant, car le Christ est ressuscité et « il ests assis à la droite du Père ». En outre, quand il s'agit de Jésus, il ne suffit pas de s'arrêter au plan de la connaissance théorique : sa personne, son message continuent à nous interpeller, à nous impliquer, à nous pousser à vivre de lui et en lui. On est alors vraiment chrétien lorsque, jour après jour, se réalisent les exigences, pas toujours faciles, de l'Évangile de Jésus. Que ne s'appliquent en rien à vous, frères et sœur, les paroles de saint Augustin : « Ceux qui se parent d'un nom et qui ne l'ont pas, quelle joie leur donne-t-il, ce nom, si ce n'est pas la réalité ?... Ainsi, beaucoup s'appellent chrétiens mais ne le sont pas parce qu'ils ne sont pas ce qu'ils disent être ni dans la vie, ni dans les mœurs, ni dans l'espérance, ni dans la charité » (In Epist. Ioann. Tract. 4, 4).
Jean-Paul II, Discours à 8 000 professeurs, élèves et anciens élèves des collèges romains, 9 février 1980.
Saint François de Sales disait qu'une page écrite est faite de lettres majuscules et de lettres minuscules. La page peut être lue, même si on retire les lettres majuscules. Mais si on enlève les lettres minuscules, on ne peut plus lire la page... Les actions humbles, quotidiennes, sont l'image visible de l'amour de pour les hommes.
Cardinal Marty, Conférence pour le 30èmeanniversaire du Secours Catholique, Lourdes, 25 septembre 1977.
La naissance de Jésus signifie, comme le rapporte l'Écriture, l’inauguration de la plénitude des temps (cf. Galates 4,4)le moment choisi par Dieu pour manifester pleinement son amour pour les hommes, en nous livrant son propre Fils. Cette volonté divine s’accomplit au milieu des circonstances les plus normales et les plus courantes: une femme qui enfante, une famille, une maison. La toute-puissance divine, la splendeur de Dieu passent par l’humain et s’unissent à l’humain. Depuis lors, nous autres chrétiens, nous savons qu’avec la grâce de Dieu nous pouvons et nous devons sanctifier toutes les réalités nobles de notre vie. Il n’y a pas de situation terrestre, aussi petite et aussi banale qu’elle paraisse, qui ne puisse être une occasion de rencontrer le Christ, qui ne puisse être une étape dans notre cheminement vers le Royaume des cieux.
Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 22
C'est un modèle facile à imiter, en ce sens du moins que Marie s'est sanctifiée dans la vie commune, dans l'accomplissement de ses devoirs de jeune fille et de mère, dans les humbles soins du ménage, dans la vie cachée, dans les joies comme dans les tristesses, dans l'exaltation comme dans les humiliations les plus profondes.
Ad. Tanquerey, Les dogmes générateurs de la piété, Paris-Tournai-Rome, 4èmeéd., 1931, p. 137.
Si tu luttes contre l'ennemi, ne te contentes pas d'éviter ou de repousser ses coups. Empoigne sans crainte son arme et retourne-la sans hésiter contre son auteur, car tu le vaincs ainsi avec sa propre épée... Si tu es enclin à la volupté, reconnais ta faiblesse. Interdis-toi même certains des plaisirs permis, et apprécie en tout l'occupation propre et pieuse. Si tu es poussé à l'envie et à l'avarice, augmente tes aumônes. Si tu es porté à la vaine gloire, sois modeste en tout. Il arrivera alors que toute tentation deviendra un renouvellement de ta pieuse résolution et un accroissement de ta ferveur. Il n'existe pas de façon plus efficace de ruiner et de dominer notre ennemi : car il craindra de te défier à nouveau. Lui, la cause de l'impiété, ne veut pas te donner l'occcasion d'être pieux.
Érasme, Enchiridion milites christiani, 12èmerègle.
Si tu luttes contre l'ennemi, ne te contentes pas d'éviter ou de repousser ses coups. Empoigne sans crainte son arme et retourne-la sans hésiter contre son auteur, car tu le vaincs ainsi avec sa propre épée... Si tu es enclin à la volupté, reconnais ta faiblesse. Interdis-toi même certains des plaisirs permis, et apprécie en tout l'occupation propre et pieuse. Si tu es poussé à l'envie et à l'avarice, augmente tes aumônes. Si tu es porté à la vaine gloire, sois modeste en tout. Il arrivera alors que toute tentation deviendra un renouvellement de ta pieuse résolution et un accroissement de ta ferveur. Il n'existe pas de façon plus efficace de ruiner et de dominer notre ennemi : car il craindra de te défier à nouveau. Lui, la cause de l'impiété, ne veut pas te donner l'occcasion d'être pieux.
Érasme, Enchiridion milites christiani, 12èmerègle.