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priere - Page 8

  • 29 novembre : travail et prière

    f1bccc3b4c52c6ef68e2ee1c3d885a65.jpgUnir le travail à la prière et faire du travail une prière, cela devra vous donner courage, constance et sérénité pour triompher des difficultés et des incompréhensions, et rendre plus joyeux votre travail, avec une heureuse incidence sur votre façon de vivre le christianisme, sur la construction d'une société meilleure et plus sereine.

    Jean-Paul II, Discours aux agriculteurs, Vila Viçosa (Portugal), 14 mai 1982.


  • 28 novembre : l'Opus Dei

    ae90dcaab833636fb0e877d16b1992b0.jpgAujourd'hui, 25ème anniversaire de l'érection de l'Opus Dei en prélature personnelle, voici un texte du Serviteur de Dieu Jean-Paul II sur son fondateur :

     

    Saint Josémaria fut un maître dans la pratique de la prière, qu'il considérait comme une « arme » extraordinaire pour racheter le monde. Il recommandait toujours : « D'abord, prière ; ensuite, expiation ; en troisième lieu, et seulement « en troisième lieu », action » (Chemin, n° 82). Ce n'est pas un paradoxe, mais une vérité éternelle : la fécondité de l'apostolat se trouve avant tout dans la prière et dans une vie sacramentelle intense et constante. Ceci est, au fond, le secret de la sainteté et du vrai succès des saints.

    Jean-Paul II, Homélie pour la canonisation de saint Josémaria Escriva, 6 octobre 2002.

     

     

     

     

  • 27 novembre : la priere

    La prière est la première et fondamentale condition de la collaborationa97f1ef0dc6c267e9e5b9729cb7d065f.jpg avec la grâce de Dieu. Il faut prier pour avoir la grâce de Dieu - et il faut prier afin de pouvoir coopérer à la grâce de Dieu. Tel est le vrai rythme de la vie intérieure d'un chrétien. Le Seigneur parle à chacun de nous, comme il a parlé à l'Apôtre : « Ma grâce te suffit ; ma puissance, en effet, se manifeste pleinement dans la faiblesse ».

    Jean-Paul II, Angélus, 4 juillet 1982.

     

  • 20 novembre : prier

    b4815c668ccac321fbdc15712639658d.jpg

    Si quelqu'un me dit : « J'ai prié déjà une fois, deux fois, trois fois, dix fois, vingt fois, et je n'ai rien reçu », je lui réponds : « Ne t'arrêtes pas, mon frère, jusqu'à ce que tu aies reçu » ; la fin de la demande est le don reçu. Arrête quand tu auras reçu ; mieux encore, n'arrêtes même pas alors, persévère encore. Si tu ne reçois pas, demande pour que tu reçoives ; lorsque tu as reçu, rends grâce d'avoir reçu.

    Saint Jean Chrysostome, In dim. chan. hom.10.

     

     

  • 14 novembre : Dieu nous aide

    117d2e3fcc426f9ada2366b7e0b280bc.jpgDieu ne te regarde pas en train de lutter dans le combat comme le peuple regarde un aurige... Quand Dieu regarde ses combattants, il aide ceux qui l'invoquent.

     
    Saint Césaire d'Arles, Sermon 114, 6.


  • 17 octobre : Marie nous accompagne

    Il y a si longtemps, depuis lors que je l'ai pratiquée (la Sainte Vierge)66d668e5e6d2ec96dff238e65b7e9015.jpg, comme on dit, sous tous les aspects, si longtemps qu'elle ne fait plus qu'un avec tous les moments de ma vie, d'une longue vie aventureuse, avec toutes les démarches de mon existence, sur lesquelles elle sait mieux que personne à quoi s'en tenir, mais elle connaît mon cœur aussi.

    Paul Claudel, Fulgens corona.

  • 16 octobre : des repas chretiens

    Nous devrions renouveler cette conscience que tous nos repas tirent leur vie de la bonté créatrice de Dieu et qu'ils renvoient à ce repas suprême (l'Eucharistie) dans lequel nous ne recevons pas seulement des choses terrestres mais la miséricorde incarnée de Dieu. Nous devrions prendre la résolution de faire de nos repas toujours plus des temps sacrés, de les commencer et de les terminer par une prière. Une telle attitude créera un climat nouveau dans nos maisons ; là où nous prions ensemble, où nous recevons de Dieu ses dons dans la reconnaissance, là naît un centre nouveau qui nous transforme aussi.

    J. Ratzinger, Dieu nous est proche. L'Eucharistie au cœur de l'Église, Paris, 2003, p. 51-52.

  • 16 octobre : des repas chretiens

    8d33f548646a97e5deec6b67b68849c9.jpegNous devrions renouveler cette conscience que tous nos repas tirent leur vie de la bonté créatrice de Dieu et qu'ils renvoient à ce repas suprême (l'Eucharistie) dans lequel nous ne recevons pas seulement des choses terrestres mais la miséricorde incarnée de Dieu. Nous devrions prendre la résolution de faire de nos repas toujours plus des temps sacrés, de les commencer et de les terminer par une prière. Une telle attitude créera un climat nouveau dans nos maisons ; là où nous prions ensemble, où nous recevons de Dieu ses dons dans la reconnaissance, là naît un centre nouveau qui nous transforme aussi.

    J. Ratzinger, Dieu nous est proche. L'Eucharistie au cœur de l'Église, Paris, 2003, p. 51-52.

  • 6 octobre : la puissance de l'Eucharistie

    J'écris dans une chambre qui se trouve tout à côté de la chapelle. C'est une549303b8e1100169cb8f113c9e241d88.jpg bénédiction si indicible de posséder la présence corporelle du Christ chez soi, dans sa propre maison, qu'elle efface tous les autres privilèges et fait disparaître, ou devrait le faire, toute souffrance. Savoir qu'il est tout près, pouvoir à tout moment de la journée s'approcher de lui !

    Newman,  de Maryvale un an après son entrée dans l'Église.



  • 5 octobre : priere a Marie

    Je vous aime, ô ma Mère ; mais, en même temps, je crains de ne pasadf9a75e8ac98f9cdaa41df30ec3b796.jpg vous aimer, car j'ai entendu dire que l'amour nous trouble ou nous rend semblable à la personne aimée. Puis don qu je me vois si différent de vous, serait-ce un signe que je ne vous aime pas ? Vous si pure, et moi si souillé ! Vous si humble, et moi si orgueilleux ! Vous si sainte, et moi si mauvais ! Mais voici précisément ce que vous avez à faire : puisque vous m'aimez, rendez-moi semblable à vous. Vous possédez tout pouvoir pour changer les cœurs : prenez donc le mien, et changez-le. Montrez au monde de quoi vous êtes capable en faveur de ceux que vous aimez. Rendez-moi saint, rendez-moi votre digne enfant. Telle est mon espérance.

    Saint Alphonse de Liguori, Les Gloires de Marie.