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religion - Page 31

  • 17 mars : devenir saint

        La justification établit la <em>collaboration entre la grâce de Dieu et la liberté dmedium_63.StNectaire.Jugementdernier.jpge l'homme</em>. Elle s'exprime du côté de l'homme dans l'assentiment de la foi à la Parole de Dieu qui l'invite à la conversion, et dans la coopération de la charité à l'impulsion de l'Esprit Saint qui le prévient et le gare : "Quand Dieu touche le cœur de l'homme par l'illumination de l'Esprit Saint, l'homme n'est pas sans rien faire en recevant cette illumination, qu'il peut d'ailleurs rejeter ; et cependant il ne peut pas non plus, sans la grâce de Dieu, se porter par sa volonté libre vers la justice devant Lui" (concile de Trente).

    Catéchisme de l'Église catholique, n° 1993.


  • 16 mars : bonne journee

    medium_leversoleil1.jpg- Sire, bien soyez-vous levé ! Que ce jour vous soit profitable et joyeux par le don du glorieux Père qui de sa fille fit sa mère !

    - Grande joie, Dames, vous donne-t-il, qui envoya son Fils sur terre, pour exalter la chrétienté !

    Chrétien de Troyes, Perceval ou le Roman du Graal.

  • 15 mars : la place de la messe dans la vie

    Si ma vie passée et présente peut être qualifiée d'"active", n'oublions pas que l'"acte" par excellence de chaque jour est la sainte messe qui constitue la synthèse la plmedium_JPIIaGerlanden1986.jpgus parfaite de la prière, le cœur de la rencontre avec Dieu dans le Christ. L'expérience de plus de trente ans de vie sacerdotale m'a appris que pour atteindre ce sommet, pour parvenir à cette synthèse et à cette plénitude, il faut y entrer par la prière et en sortir vers la prière de la journée tout entière, sachant parfaitement que cette journée sera remplie à déborder d'activités et d'engagements de toutes sortes.

    Jean-Paul II, "N'ayez pas peur !" André Frossard dialogue avec Jean-Paul II, Paris, 1982, p. 44.


  • 14 mars : la piete

    medium_LouisIX.Greco.jpgSi je perdais deux fois plus temps au jeu ou à la chasse, vous ne m'en

    feriez pas grief.

    Saint Louis, à ceux qui lui reprochaient d'entendre deux messes par jour et d'ajouter à l'office quotidien celui des morts.


  • 12 mars : un incroyant lit la Bible

    medium_LecturedelaBible.GerardDou.jpgJ'ai commencé à lire la Bible très tôt le matin, avant de partir au travail. C'était une façon d'arracher à la journée un moment pour moi. Pendant toute ma vie d'ouvrier, j'ai été content de me lever très tôt, justement parce que j'avais ce rendez-vos. Quelques mots de lecture quotidienne me restaient dans la tête pendant toute la journée. Je me les répétais, je les remâchais comme des noyaux d'olive.

    Eni De Luca, écrivain italien non croyant.

  • 11 mars : bapteme et confirmation

    medium_51.Cezanne.fontsbaptismaux.BaptemeJesus.jpgIl est manifeste que, de même que la vie du corps exige la génération - par laquelle l'homme reçoit la vie - et la croissance - qui lui donne la plénitude - (...), de même, il convient également à la vie spirituelle qu'existent le baptême, qui est une génération spirituelle, et la confirmation, qui est une croissance spirituelle.

    Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique III, q. 73 a 1.

  • 10 mars

    medium_Viergedhumilite.jpg

    Tu es triste ?... Parce que tu as perdu cette petite bataille ? Non ! sois joyeux ! car, lors de la prochaine, avec la grâce de Dieu et, précisément en raison de ton humiliation présente, tu vaincras.

    Saint Josémaria, Chemin de Croix , 3ème station, point n° 1.



     

     

     

  • 9 mars : la vie de l'ame


    On ne peut pas dire qu'il y aura en enfer la vie de l'âme, puisque l'âme ne participeramedium_Jugementdernier.jpg en aucune manière à la vie surnaturelle de Dieu ; on ne peut pas dire qu'il y aura la vie du corps, puisque le corps y sera en proie à toute sorte de douleurs. Par là même, cette seconde mort sera plus cruelle, parce que la mort ne pourra y mettre fin.

    Saint Augustin, La Cité de Dieu, l. 19, ch. 28).


  • 7 mars : l'Eglise de Jesus

    medium_21.Dijon.StBenigne.jpegÉglise de Jésus, promise par lui à la terre dans les jours de sa vie mortelle, sortie de son côté ouvert par la lance de e la croix, ordonnée et perfectionnée par lui dans les dernières heures de son séjour ici-bas, nous vous saluons avec amour comme notre mère commune. Vous êtes l'épouse de notre Rédempteur, et vous nous avez enfantés à lui ; c'est vous qui nous avez enfantés dans le baptême ; c'est vous qui nous éclairez par la parole qui produit en nous la lumière ; c'est vous qui nous administrez les secours au moyen desquels notre pèlerinage terrestre doit nous conduire au ciel ; c'est vous enfin qui nous gouvernez dans l'ordre du salut par vos saintes ordonnances. Ô Église, il ne s'agit pas pour nous de vous travestir, mais de vous confesser.

     
    Dom Guéranger, L'Année liturgique. Temps pascal, t. II, vendredi de la 3ème semaine après Pâques.

  • 6 mars

    De nombreuses personnes nous manifestent la tentation de penser ainsi à l'égard des autres : « Mais pourquoi ne les laissons-nous pas en paix ? Ils ont leur authenticité, leur vérité. Nous avons la nôtre. Coexistons donc pacifiquement, laissant chacun comme il est, afin qu'il recherche de la meilleure façon possible son authenticité. » Mais comment la propre authenticité peut-elle être trouvée si, dans la profondeur de notre cœur, il y a l'attente de Jésus et que la véritable authenticité de chacun se trouve précisément dans la communion avec le Christ, et pas sans le Christ ? Autrement dit : si nous avons trouvé le Seigneur et si, pour nous, Il est la lumière et la joie de la vie, sommes-nous sûrs qu'à une autre personne qui n'a pas trouvé le Christ ne manque pas une chose essentielle et que cela ne soit pas notre devoir de lui offrir cette réalité essentielle ? Laissons ensuite à la direction de l'Esprit Saint et à la liberté de chacun ce qui arrivera. Mais si nous sommes convaincus et avons fait l'expérience du fait que, sans le Christ, la vie est incomplète, qu'une réalité manque, la réalité fondamentale, nous devons également être convaincus que nous ne faisons tort à personne si nous lui montrons le Christ et si nous lui offrons la possibilité de trouver ainsi sa véritable authenticité, la joie d'avoir trouvé la vie.

    Benoît XVI, Discours à l'issue de la rencontre avec le clergé romain, 13 mai 2005.