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paix - Page 2

  • 29 mai : la devotion au Sacre Coeur

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    Les promesses de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque à propos de ceux qui vivent la dévotion à son Cœur Sacré :

     

    Je leur donnerai toutes les grâces de leur état.

    Je mettrai la paix dans leurs familles.

    Je les consolerai de toutes leurs peines.

    Je serai leur refuge assuré pendant leur vie et surtout à la mort.

    Je répandrai d'aubondantes bénédictions sur toutes leurs entreprises.

    Les pécheurs trouveront dans mon Cœur la source et l'océan infini de la miséricorde.

    Je bénirai même les maisons où l'image de mon Sacré-Cœur sera exposée et vénérée.

    Je donnerai à ceux qui travaillent au salut des âmes le talent de toucher les cœurs les plus endurcis.

    Les personnes qui propageront cette dévotion auront leur nom écrit dans mon Cœur et il n'en sera jamais effacé.

    Mon Cœur accordera la grâce finale de la pénitence à ceux qui communieront

    neuf premiers vendredis du mois de suite.

  • 22 mars : l'Eucharistie

     

    93895715.jpg« Allez dans la paix du Christ. » L'assemblée est terminée, vous pouvez partir.

    Il est bon que l'on puisse se réunir à la sortie de la messe pour faire connaissance entre paroissiens, mais l'enseignement de saint Luc est différent.

    L'épisode d'Emmaüs est le modèle de toute célébration eucharistique.

    Il ne s'achève pasà la fraction du pain et la reconnaissance du Ressuscité dans l'étranger.

    Il y a un cinquième temps provoqué par cette reconnaissance : le retour immédiat à Jérusalem pour annoncer la bonne nouvelle de la Résurrection.

    Le départ des chrétiens en mission est donc la conclusion évangélique de leur participation à l'Eucharistie.

    Saint Matthieu (28, 1-8) est plus explicite :

    « Je sais que vous cherchez Jésus le crucifié. Il n'est pas ici car il est ressuscité... Et voici qu'il vous précède en Galilée : c'est là que vous le verrez. »

    Le Ressuscité n'est plus là où la communauté est assemblée. Il la précède dans le monde païen. C'est là qu'il l'attend pour se manifester à elle.

    Dr Noël Mégabarné, Pour réussir l'évangélisation nouvelle, s.d. (2007), p. 88-89.

     

  • 19 fevrier : le besoin d'evangeliser

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    L'Église a besoin de personnes qui participent pleinement à sa mission d'évangéliser la paix. Le monde a besoin de chrétiens convaincus, loyaux, fiers de leur foi et capables de s'engager dans leur famille et dans les milieux de vie pour montrer avec leurs œuvres que le Christ n'est pas mort en vain pour nous et que la force de sa Résurrection purifie et transforme notre vie.

    Jean-Paul II, Homélie à la caserne romaine de la Cecchignola, 2 avril 1989.

     

     

  • 30 novembre : progresser dans la vie spirituelle

    2c8099afbbf65da21a8039197b59e222.jpgAvec saint Augustin, nous pouvons dire que les passions mauvaises nous tirent par notre vêtement, vers le bas. En même temps, nous remarquerons dans notre cœur des désirs grands, nobles et purs : il y a donc une lutte.

    Toi, avec la grâce du Seigneur, si tu mets en œuvre les moyens ascétiques, la recherche de la présence de Dieu, la mortification, la pénitence — oui, la pénitence! —, tu iras de l'avant, tu obtiendras la paix et la victoire.

     

    Saint Josémaria, Forge, n° 411.

  • 25 août : la grace et la nature

    « Le secret de vivre gai et content, écrit Pascal, c5f69f7db2d796917429cd6f414dab380.jpg'est de n'être en guerre ni avec Dieu ni avec la nature. » (...) Les deux paix que prêche Pascal sont du reste inséparables. Celui qui n'est pas en paix avec la nature ne peut pas être pleinement en paix avec Dieu, car Dieu est l'auteur de la nature et la nature en nous porte la grâce. Et, réciproquement, celui qui est en guerre avec Dieu ne peut pas être en paix avec la nature, car la nature n'est pas une réalité isolée et autonome, mais une urne tendue vers les eaux divines, une imploration de la grâce. La grâce a besoin de la nature, et la nature a besoin de la grâce. Les opposer, c'est pour ainsi dire introduire un déchirement en Dieu même : l'image de Dieu qu'est la nature et la réalité de Dieu qu'est la grâce sont faites pour s'unir au sein du même amour. (...) Le vrai conflit n'est pas entre la vie et l'esprit ; il est entre le oui et le non, la communion et l'isolement ; Dieu et l'idole. Et le dénouement du conflit ne consiste pas à choisir entre l'esprit et la vie qui ne sont que des parties de l'homme, mais à opter pour l'amour qui est le tout de l'homme. Dans cet amour, la vie et l'esprit, la grâce et la nature se rejoignent pour l'éternité.

    Gustave Thibon, Ce que Dieu a uni. Essai sur l'amour, Paris, 1962, p. 49.