Les promesses de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque à propos de ceux qui vivent la dévotion à son Cœur Sacré :
Je leur donnerai toutes les grâces de leur état.
Je mettrai la paix dans leurs familles.
Je les consolerai de toutes leurs peines.
Je serai leur refuge assuré pendant leur vie et surtout à la mort.
Je répandrai d'aubondantes bénédictions sur toutes leurs entreprises.
Les pécheurs trouveront dans mon Cœur la source et l'océan infini de la miséricorde.
Je bénirai même les maisons où l'image de mon Sacré-Cœur sera exposée et vénérée.
Je donnerai à ceux qui travaillent au salut des âmes le talent de toucher les cœurs les plus endurcis.
Les personnes qui propageront cette dévotion auront leur nom écrit dans mon Cœur et il n'en sera jamais effacé.
Mon Cœur accordera la grâce finale de la pénitence à ceux qui communieront
neuf premiers vendredis du mois de suite.
« Allez dans la paix du Christ. » L'assemblée est terminée, vous pouvez partir.
Avec saint Augustin, nous pouvons dire que les passions mauvaises nous tirent par notre vêtement, vers le bas. En même temps, nous remarquerons dans notre cœur des désirs grands, nobles et purs : il y a donc une lutte.
'est de n'être en guerre ni avec Dieu ni avec la nature. » (...) Les deux paix que prêche Pascal sont du reste inséparables. Celui qui n'est pas en paix avec la nature ne peut pas être pleinement en paix avec Dieu, car Dieu est l'auteur de la nature et la nature en nous porte la grâce. Et, réciproquement, celui qui est en guerre avec Dieu ne peut pas être en paix avec la nature, car la nature n'est pas une réalité isolée et autonome, mais une urne tendue vers les eaux divines, une imploration de la grâce. La grâce a besoin de la nature, et la nature a besoin de la grâce. Les opposer, c'est pour ainsi dire introduire un déchirement en Dieu même : l'image de Dieu qu'est la nature et la réalité de Dieu qu'est la grâce sont faites pour s'unir au sein du même amour. (...) Le vrai conflit n'est pas entre la vie et l'esprit ; il est entre le oui et le non, la communion et l'isolement ; Dieu et l'idole. Et le dénouement du conflit ne consiste pas à choisir entre l'esprit et la vie qui ne sont que des parties de l'homme, mais à opter pour l'amour qui est le tout de l'homme. Dans cet amour, la vie et l'esprit, la grâce et la nature se rejoignent pour l'éternité.