UA-62488107-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Évangélisation - Page 2

  • 20 juillet : temoigner du Christ

    La tâche de l'Église, la tâche de chaque croyant est clairement indiquée2f46be40dcd493d0b1a69cb74a1807cc.jpg dans l'Évangile : témoigner que le monde est racheté dans le Christ, mort et ressuscité ; proclamer le Royaume de Dieu ; se mettre humblement au service du bien de chacun et de la communauté, en annonçant à tous le sens véritablede leur vie et en partageant dans toute la mesure du possible les difficultés de ceux qui sont dans le besoin. L'Église ne s'affirme pas comme un centre de pouvoirau-dessus ou à côté de la société, mais comme un centre de service auquel chacun sans exception peut faire appel.

    Jean-Paul II, Homélie, Budapest, 20 août 1991.


  • 3 juillet : le chretien et le monde

    Le chrétien se sait greffé sur le Christ par le baptême, habilité à982e2d92e426f877964f2a33cdd7c79d.jpg lutter pour le Christ par la confirmation, appelé à agir dans le monde par sa participation à la fonction royale, prophétique et sacerdotale du Christ, devenu une seule et même chose avec le Christ par l’Eucharistie, sacrement de l’unité et de l’amour. C’est pourquoi, comme le Christ, il doit vivre face aux autres hommes, en regardant avec amour chacun de ceux qui l’entourent ainsi que l’humanité tout entière.

    Saint Josémaria, , n° 106.



  • 30 juin : l'evangelisation

    Prions le Seigneur de nous faire éprouver à nouveau la joie de labd26667877f23469c984277bd119c135.jpg mission. Alors deviendra vraie parmi nous la parole du prophète, qui s'accomplit dans toutes les contrées traversées par le Christ : "Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière... ils se réjouissent devant toi comme on se réjouit à la moisson, comme on jubile au partage du butin" (Isaïe 9, 1-2 ; cf. Matthieu 4, 16).

    Joseph Ratzinger (actuel pape Benoît XVI), Appelés à la conversion. Comprendre l'Église aujourd'hui, Paris, 1993, p. 172.


  • 20 juin : perseverer dans l'effort

    1e74ea1229d7a3af179aef7b81e48820.jpgDiogène était un jour planté devant une statue, à laquelle il parlait... Interloqué, un de ses amis lui demanda : "Que fais-tu à lui parler ?" Il répondit : "Je m'habitue à ce que l'on me dise non."

    Cela rejoint ce point du fondateur de l'Opus Dei :

    "Lorsque vous travaillez à l’expansion d’une entreprise apostolique, un “ non ” ne doit jamais être considéré comme une réponse définitive : revenez à la charge !"

    Saint Josémaria, Sillon, n° 107.

     

  • 14 juin : changer le monde

    Nous aussi, nous qui croyons en Lui, Dieu nous a mêlés à la foule pour que nous transmettions aux autres noter foi. Que personne ne tire argument du fait que nous sommes encore peu nombreux, car la force de la prédication évangélique est si granmedium_75.16.Dufrenoy.BGodard.JPGde que ce qui a déjà levé devient à son tour du levain pour les autres (...). Si douze hommes ont faire lever toute la terre, comme notre malice doit être grande, maintenant que nous sommes plus nombreux, puisque nous ne sommes même pas capables d'amender ceux qui restent encore à convertir, alors que notre effort devrait suffire largement pour servir de levain à mille mondes.

    - Mais eux, me diras-tu, étaient des apôtres.

    Qu'importe ! N'étaient-ils pas des hommes comme toi ? N'ont-ils pas été élevés dans des villes ? N'avaient-ils pas un métier ? Étaient-ils des anges ? Sont-ils, par hasard, descendus du ciel ?

    Saint Jean Chrysostome, Homélies sur saint Matthieu 46, 2-3.



  • 11 juin : la priere et l'apostolat

    medium_TeresaCalcutta.jpgIl n'est pas possible de s'engager dans l'apostolat direct si l'on n'est pas une âme de prière. Soyons conscients d'être un avec le Christ, comme il était conscient d'être un avec son Père ; notre activité n'est véritablement apostolique que dans la mesure où nous la laissons travailler en nous et à travers nous avec sa puissance, son désir et son amour. Nous devons parvenir à la sainteté, non pas pour nous sentir en état de sainteté, mais pour que le Christ puisse pleinement vivre en nous.

    Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta, La joie du don.


  • 2 juin : Jesus-Christ chez autrui

    Je considère Jésus-Christ en toutes les personnes et en nous-mêmes :medium_Florence.StaMadelCarmine.Guerisoninfirme.ResurrectionTabita.Masaccio.jpg Jésus-Christ comme père en son père, Jésus-Christ comme frère en ses frères, Jésus-Christ comme pauvre en les pauvres, Jésus-Christ comme riche en les riches, Jésus-Christ comme docteur et prêtre en les prêtres. Jésus-Christ comme souverain en les princes, etc. Car il est par sa gloire tout ce qu'il y a de plus grand, étant Dieu, et est, par sa vie mortelle, tout ce qu'il y a de chétif et d'abject. Pour cela, il a pris cette malheureuse condition, pour pouvoir être en toutes les personnes, et modèle de toutes conditions.

    Pascal, Pensées, 785 (éd. Brunschwicg).



  • 1er juin : l'apostolat chretien

          medium_VocationPierreetAndre.MichelCorneille.jpgL’apostolat chrétien n’est pas un programme politique, ni une option culturelle. Il suppose la diffusion du bien, la communication du désir d’aimer et de semer véritablement la paix et la joie. Il est certain que de cet apostolat viendront pour tous des bienfaits spirituels: plus de justice, plus de compréhension, plus de respect de l’homme pour l’homme.

    Il y a bien des âmes autour de nous, et nous n’avons pas le droit d’être un obstacle à leur bien éternel. Nous avons l’obligation d’être chrétiens jusqu’au bout, d’être saints, de ne pas décevoir Dieu ni tous ceux qui attendent du chrétien exemple et doctrine. Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 124.

  • 30 avril : les vrais evangelisateurs

    Pour être d'authentiques évangélisateurs il faut apprendre à se tenirmedium_Pressiat.Christmontresesplaies.jpg devant Dieu ; il est nécessaire d'éduquer l'esprit et le cœur à regarder le Christ, à s'adresser à lui, à l'aimer. Car ce n'est que si vous faites du Christ la fin constante de votre vie que vous pourrez animer toujours plus le monde par la puissance de son Esprit.

    Jean-Paul II, Discours à la IIème "ultreya" nationale du mouvement des "Cursillos", Rome, 20 avril 1985.


  • 26 avril : les bienfaits de la conversation

    medium_LaConversation.jpgLa conversation nous rapproche des autres et donne une sens profond de nous-mêmes ; elle nous repose de nos fatigues, nous distrait des préoccupations, développe notre personnalité, ravie nos pensées. Quand je suis triste, la sympathie de mon interlocuteur me réconforte. Quand je suis seul, la conversation peuple ma solitude : s'il s'agit d'une conversation familière, je suis heureux d'être admis dans l'intimité d'autrui ; s'il s'agit d'une conversation importante, je me sens honoré de me voir traité comme un "être pensant".

    Quand je converse pour la première fois avec quelqu'un, j'ai l'impression de voyager agréablement à travers un pays inconnu. La seconde, la troisième, la quatrième fois, je retourne contempler des paysages déjà vus, mais dont je n'avais pourtant pas encore décelé toutes les beautés. Je trouve aussi que la conversation m'enrichit. Posséder de solides convictions est bien ; mais les posséder de manière à les communiquer et les voir partagées est encore mieux. La clarté de la chose dite augmente la clarté de la chose pensée. Si je perçois que mon sentiment fait vibrer l'âme d'autrui, je sens son écho me revenir et je vibre davantage moi-même. Jésus lui aussi a trouvé du réconfort dans la conversation ; il suffit pour s'en convaincre de lire en saint Jean les confidences à ses apôtres durant la dernière Cène. Jésus a utilisé très souvent la conversation comme véhicule de son apostolat : il parlait en marchant le long des routes, en se promenant sous le portique de Salomon ; il parlait dans les maisons, entouré de personnes, comme Marie assise à ses pieds ou Jean qui posa sa tête sur sa poitrine. Plusieurs fois je me suis demandé : pourquoi le Seigneur a-t-il souvent exposé les plus hautes vérités à table ? Peut-être parce que pendant un repas les gens abandonnent leur réserve et prennent une attitude de calme, modérée, détendue.

    Albino Luciani (futur pape Jean-Paul Ier), "Lettre à Giuseppe Giocchino Belli", Humblement vôtre, Paris, 1978, p. 282-283.