UA-62488107-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Liberté religieuse

  • La politique concordataire du Saint-Siège

    La politique concordataire du Saint-Siège.

     

    Les éditions L'Harmattan viennent de publier ce ouvrage de 224 pages, dont je suis l'auteur. Dans une première parti, le chapitre premier traite de la personnalité juridique du Saint-Siège, le chapitre II de la reconnaissance du Saint-Siège par les Etats, le chapitre III présente les généralités sur les accords diplomatiques, tandis que le chapitre IV montre l'actualité de cette activité concordataire à l'époque présente, le chapitre V présentant les caractéristiques techniques des concordats, avec un intérêt spécial porté au chapitre VI aux relations de la France avec le Saint-Siège.

    La deuxième partie analyse le contenu des accords diplomatiques, les huit chapitres successifs abordant la place de l'Eglise catholique face à l'Etat; le respect de l'organisation interne de l'Eglise catholique; les domaines de liberté; l'enseignement catholique; la fonction de sanctification; la vie consacrée; les biens temporels; le procès.

     

    Il va sans dire Que cette analyse est très riche et permet de découvrit les principales préoccupations de l'Eglise catholique dans le processus de reconnaissance de ses spécificités  par la communauté politique.

     

    Seuls sont analysés les concordats et accords signé depuis 1950 dont le texte est disponible. Ce n'est pas le cas de certaines conventions récentes, parfois non encore ratifiées par les deux parties.

     

    Prie 23 euros.

  • A méditer

    "Il ne serait pas difficile de trouver maintenant des exemples de cette curiosité agressive qui conduit à fouiller de façon morbide la vie privée d’autrui. Le moindre sens de la justice exige que, même lorsqu’on enquête sur un délit présumé, on procède avec prudence et modération, sans prendre pour certain ce qui n’est que possible. On comprend aisément ce qu’il y a de pervers dans cette curiosité malsaine qui cherche à mettre à nu des conduites non seulement irréprochables, mais même très honorables.

    Face à ces soupçonneurs professionnels, qui semblent vouloir organiser une exploitation de l’intimité d’autrui, il faut défendre la dignité de chaque personne, ainsi que son droit au silence. Tous les hommes honnêtes, chrétiens ou non, se rejoignent sur ce point, parce qu’il s’agit de défendre une valeur commune à tous: le droit légitime d’être soi-même, de ne pas s’exhiber, de vivre avec pudeur ses joies, ses peines et ses douleurs intimes. Et surtout de faire le bien sans se donner en spectacle, d’aider par pur amour ceux qui en ont besoin sans être obligés de publier ce qu’ils font pour les autres ni, moins encore, d’étaler l’intimité de leur âme sous les yeux indiscrets et malveillants de ceux qui n’entendent rien et ne désirent rien entendre de la vie intérieure, sinon pour s’en moquer de façon éhontée"

     

    saint Josémaria, homélie "Le respect chrétien de la personne et sa liberté", Quand le Christ passe, n° 69. .

  • 23 octobre : droits et devoirs de la conscience

    006e429e6af55df29b0c046bea97dc48.jpgLa conscience a des droits parce qu'elle a des devoirs. Mais à notre époque, dans une grande partie du public, les droits de la conscience et la liberté de conscience signifient précisément se passer de conscience, ne tenir aucun compte d'un Législateur et d'un Juge, ne pas vouloir se soumettre à des obligations qu'on ne voit pas.

    Newman, Certain Difficulties felt by Anglicans in Catholic Teaching, vol. II, "Lettre au Duc de Norfolk", 27 décembre 1874, Westminster, Md., 1969.

     

  • 1er juin : l'apostolat chretien

          medium_VocationPierreetAndre.MichelCorneille.jpgL’apostolat chrétien n’est pas un programme politique, ni une option culturelle. Il suppose la diffusion du bien, la communication du désir d’aimer et de semer véritablement la paix et la joie. Il est certain que de cet apostolat viendront pour tous des bienfaits spirituels: plus de justice, plus de compréhension, plus de respect de l’homme pour l’homme.

    Il y a bien des âmes autour de nous, et nous n’avons pas le droit d’être un obstacle à leur bien éternel. Nous avons l’obligation d’être chrétiens jusqu’au bout, d’être saints, de ne pas décevoir Dieu ni tous ceux qui attendent du chrétien exemple et doctrine. Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 124.

  • Qu'est-ce que l'Édit de Milan ?

    Au début du IVème siècle, les chrétiens furent de nouveau durement persécutés. L’empereur Dioclétien, et Galère avec lui, lancèrent en 303 ce qui est connu comme la « grande persécution », pour tenter de restaurer l’unité de l’État, menacée à leur avis par la croissance continuelle du christianisme. Ils ordonnèrent, entre autres, de démolir les églises des chrétiens, de brûler les exemplaires de la Bible, de mettre à mort les autorités ecclésiastiques, de priver tous les chrétiens de charges publiques et de droits civiques, (lire la suite)

  • Liberté, liberté chérie… (fin)

    Liberté et unité de vie

    L'homme libre ne se laisse pas détourner de la finalité essentielle de sa nature. Il intègre chacune des composantes de son être dans le plan divin et collabore ainsi de toutes ses forces à co-racheter avec le Christ. Parfaitement conscient de sa vocation à la plénitude de la vie chrétienne, il discerne à quel point sa vocation humaine et sa vocation surnaturelle constituent un tout qu'il est convié à couler dans une « unité de vie » (lire la suite)