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Dieu - Page 2

  • 4 juillet : vocation chretienne

    75.07.StFrancoisXavier.CommuniondesApotres.HenryLerolle.1848.1929.JPGNotre foi et notre vocation de chrétiens déterminent entièrement, et pas en partie seulement, notre existence. Nos relations avec Dieu sont nécessairement des relations de générosité, et elles assument un sens plénier. L’attitude de l’homme de foi est de considérer la vie, avec toutes ses dimensions, dans une perspective nouvelle, qui est celle que Dieu nous donne.

     

    Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 46.

     

     

  • 3 juillet : la genuflexion

    1036875163.jpgEn fléchissant les genoux, ne faites pas un geste précipité, machinal.

    Donnez une âme à ce geste qui traduit un profond respect de la Majesté divine : avec votre corps, inclinez aussi votre âme.

    Que vous veniez à l'église ou que vous en sortiez, ployez le genou devant l'autel, lentement, profondément ; agenouillez aussi votre cœur.

    Que votre genuflexion soit un Dominus meus et Deus meustout pénétré de respect.

     

    Romano Guardini, Les Signes sacrés, Paris, 1950, p. 37.

     

  • 1er juillet : la valeur des injustices

    2099438835.jpg                                                 Dieu se sert au besoin, pour nous grandir, des injustices mêmes qui nous sont faites.

     
        Saint Jean Chrysostome, Homélies sur les Actes des apôtres54, 3.

     

     

  • 24 juin : culture et christianisme

    1581760533.jpg                                                    Le développement d'une culture est, en un certain sens, une réponse au commandement originaire de Dieu :

    « Emplissez la terre et soumettez-la » (Gn 1, 28).

     

    Jean-Paul II, Homélie à Semarang(Indonésie), 10 octobre 1989.



  • 17 juin : la gloire de Dieu

    L'homme ne peut rien faire de plus grand que de rendre gloire à Dieu.

    Il n'est pas d'action plus élevée pour les peuples, pour les nations et pour les sociétés.

    361634236.jpgLe Créateur a placé l'homme, dès le commencement, au centre du monde visible, afin quecet homme, créé comme homme et femme, puisse connaître Dieuà travers le témoignage de toute la création.

    Et connaître Dieu, cela veut dire : lui rendre gloire.

    Elle est insondable, la gloire de Dieu en lui-même, dans le mystère de sa nature divine, dans le mystère du Père, du Fils et de l'Esprit Saint.

    L'homme connaît Dieu par le monde créé. Et au nom de la création, il proclame sa gloire.

     

    Jean-Paul II, Homélie lors de la sainte Messe à l'aéroport d'Antisranana, 29 avril 1989.

  • 2 juin : la défaite du diable

    305804367.jpgLe combat entre le règne de l'esprit malin et le royaume de Dieu n'est pas fini.

    Il est seulement entré dans une nouvelle phase, la phase finale. (...)

    Le diable fait miroiter à l'homme et à la société une soi-disante liberté qui, en fait, revient à se résigner à une série de contraintes et en définitive à l'esclavage. (...)

    Apprenez à penser, parler et agir avec clarté.

    Appelez un péché un péché et non libération et progrès, même si la mode et la propagande disent le contraire.

     

    Jean-Paul II, Discours aux universitaires, 27 mars 1981.



  • 1er juin : j'attends Dieu

    984329495.jpg                                        J'attends Dieu avec gourmandise.

     

    A. Rimbaud, Une saison en enfer, Mauvais sang.



  • 24 mai : Dieu en nous

    53132851.jpgCertes, je ne me connais pas moi-même, mais en moi je te trouve et,

    en te trouvant, je t'adore.

     

    Saint Hilaire de Poitiers, Sur la Trinité12, 53.


  • 15 mai : la force de la foi

    658223608.jpgVoici ce qui nous différence d'avec ceux qui ne connaissent pas Dieu :

    eux, dans l'adversité, ils se plaigent et critiquent ;

    nous, l'adversité ne nous écarte ni de la vertu ni de la vraie foi.

    Au contraire, celles-ci se renforcent dans la douleur.

     

    Saint Cyprien, De mortalitate13.

     

     

  • 12 mai : Dieu est Pere

    Dieu, qui s’occupe de nous comme un Père très aimant, nous considère dans sa miséricorde (Ps 24, 7) : une miséricorde douce(Ps108, 21), belle comme une image de pluie(Si 35, 26),

    Jésus résume et définit toute cette histoire de la miséricorde divine: bienheureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde(Mt 5, 7). En une autre occasion, Il dit: soyez miséricordieux, comme votre Père céleste est miséricordieux(Lc 6, 36). Bien des scènes de l'Évangile restent gravées dans notre mémoire: la clémence à l’égard de la femme adultère; la parabole du fils prodigue; celles de la brebis perdue et du débiteur pardonné; la résurrection du fils de la veuve de Naïm (Lc 7, 11-17). Que de motifs de justice pour expliquer ce grand prodige. Le fils unique de cette pauvre veuve est mort, lui qui donnait un sens à sa vie, lui qui pouvait l’aider dans sa vieillesse. Cependant le Christ ne fait pas de miracles par justice mais par compassion, parce que, intérieurement, Il s’émeut devant la douleur humaine.

    Quel sentiment de sécurité doit produire en nous la compassion du Seigneur! Il m’appellera et je l’entendrai, car je suis miséricordieux(Ex 22-27) Cette invitation, cette promesse, Il n’y faillira pas. Approchons-nous donc avec confiance du trône de grâces pour recevoir la miséricorde et la grâce en temps opportun(He 4, 16). Les ennemis de notre sanctification ne pourront rien, parce que la miséricorde de Dieu nous préserve. Et si, par notre faute, et par faiblesse, nous tombons, le Seigneur viendra à notre secours et nous relèvera. Tu as appris à éviter la négligence, à éloigner de toi l’arrogance, à acquérir la piété, à ne pas être prisonnier des affaires du monde, à ne pas préférer le périssable à l’éternel. Mais, puisque la faiblesse humaine empêche tes pas d’êtres fermes dans ce monde au sol glissant, le bon médecin t’a indique aussi les remèdes contre l’égarement, et le juge miséricordieux ne t’a pas refusé l’espérance du pardon(Saint Ambroise, Expositio Evangelii secundum Lucam, 7, (PL 15, 1540) ».

    Saint Josémaria, Quand le Christ passe, n° 7.