Fidèles observateurs de la Loi mosaïque et de ses prescriptions liturgiques, Marie et Joseph « se rendaient chaque année à Jérusalem pour la fête de la Pâque » (Luc 2, 41), confiant Jésus à des voisins ou à des amis. Quand Jésus « eut douze ans, ils y montèrent selon la coutume pour cette fête ; puis, le temps voulu écoulé, ils s’en retournèrent » (Luc 2, 42-43), en deux caravanes, (lire la suite)
Vierge Marie - Page 11
-
5ème mystère joyeux : Jésus perdu et retrouvé au Temple
-
7 octobre : Notre-Dame du Rosaire
Aujourd’hui, 7 octobre, l’Église célèbre la Sainte Vierge sous l’invocation de Notre-Dame du Rosaire.
Le pape Léon XIII écrivait que, parmi ses différents titres, « le rosaire a celui-ci de très remarquable qu’il a été institué surtout pour implorer le patronage de la Mère de Dieu contre les ennemis du nom chrétien. À ce point de vue, personne n’ignore qu’il a souvent et beaucoup servi à soulager les maux de l’Église (lire la suite) -
4ème mystère joyeux : la Purification
Marie dont l’âme n’a jamais été souillée un instant par le péché originel, Marie toute sainte, panhagiata, se rend au temple portant son Enfant dans ses bras, accompagnée de Joseph. Elle se conforme à la Loi qui prescrit que toute mère doit être purifiée après qu’elle a mis un enfant au monde, et de présenter aussi une offrande pour le premier-né. (lire la suite) -
3ème mystère joyeux : la naissance de Jésus
La nouvelle est tombée : l’empereur ordonne un recensement du monde entier. Chacun doit se rendre dans la ville dont sa lignée est originaire. Joseph en est contrarié pour Marie, qui n’est pas loin de mettre son fils au monde. Mais l’un comme l’autre se plient à la volonté des hommes, s’en remettant à la Volonté de Dieu. (lire la suite) -
2ème mystère joyeux : la Visitation
L’archange Gabriel ayant appris à Marie que sa cousine Élisabeth attend elle aussi un enfant dans sa vieillesse, et qu’elle « en est à son sixième mois » (Luc 1, 36), elle se rend chez elle « en hâte » (Luc 1, 39). (lire la suite) -
1er mystère joyeux
Selon la tradition, la Vierge Marie est recueillie en prière quand l’archange saint Gabriel s’adresse à elle de la part de Dieu. En réalité, Marie est dans une relation intime privilégiée avec Dieu à tout instant, car elle a été rachetée par avance du péché et rien ne fait donc obstacle en elle au dialogue amoureux avec Dieu. (lire la suite). -
Le rosaire
Le rosaire, du latin rosarium, "couronne", est une pratique de piété principalement diffusée par lesdominicains de sorte qu'une tradition en attribue l'origine à leur fondateur, saint Dominique (v. 1170-1221), qui l'aurait reçue directement de la Vierge Marie. (lire la suite) -
Mois d'octobre
Pour marquer le mois d'octobre, mois du Rosaire, je mettrai les textes suivants :
1er octobre : Le Rosaire
7 octobre : Notre-Dame du Rosaire
puis, progressivement, un commentaire personnel aux vingt "mystères" du Rosaire, éventuellement interrompu par une actualité autre
30 octobre : les litanies -
15 septembre : Notre-Dame des douleurs
Le 15 septembre est la fête de Notre-Dame des douleurs, qui fait suite à la solennité d’hier, célébrant l’exaltation de la Sainte Croix.
La piété chrétienne célèbre les sept joies et les sept douleurs de Marie. Les sept douleurs sont : la prophétie de Siméon, la fuite en Égypte, Jésus perdu au Temple, le chemin de Croix, la crucifixion, la descente de Croix, la mise au tombeau. L'iconographie représente le cœur de Marie transpercé de sept glaives, c’est sa « transfixion ».
D’après une séquence allemande du XIVème ou du XVème siècle, dans la famille franciscaine, les sept joies de Marie sont l’Annonciation, la Nativité de Jésus, l’adoration des rois mages, la Résurrection du Christ, son Ascension au ciel, la pentecôte avec la descente du Saint-Esprit sur les apôtres, l’Assomption de la Sainte Vierge au ciel.
Ce thème a été largement illustré par les peintres. Signalons, entre autres, la Vierge de douleur (S. Marmion, v. 1425-1489) ; Retable des Sept Douleurs de la Vierge (Q. Metsys, 1465-1530) ; Vierge des sept Douleurs (B. Es. Murillo, 1618-1682) ; Dolorosa (P. de Mena, 1628-1688).
Les chrétiens célèbrent de même, les joies et les douleurs de saint Joseph, l’époux de Marie et le père nourricier de Jésus-Christ. -
8 septembre : Nativité de Marie
L’Église fête aujourd’hui la « Nativité » de la Sainte Vierge. Ce terme,équivalent à celui de naissance, n’est utilisé que pour la naissance de Jésus à Noël, le 25 décembre, celle de la Vierge Marie aujourd’hui, et celle de saint Jean-Baptiste, le 24 juin.
Il est logique que l’on veuille célébrer avec un éclat particulier la naissance de celle qui a été choisie de toute éternité par Dieu pour devenir vraiment la Mère selon la chair de son Fils Jésus-Christ et mettre ainsi au monde, ce qui est un phénomène unique, un enfant qui est à la fois « vrai Dieu et vrai homme », dans une unique nature divine.
D’après une tradition rapportée par un des évangiles apocryphes, c’est-à-dire des textes non reconnus par l’Église comme étant divinement inspirés (voir ma note du 28 juillet dernier), les parents de la Vierge Marie étaient saint Joachim et sainte Anne, qui sont fêtés conjointement le 26 août.