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Vierge Marie - Page 12

  • 8 septembre : Nativité de Marie

    L’Église fête aujourd’hui la « Nativité » de la Sainte Vierge. Ce terme,équivalent à celui de naissance, n’est utilisé que pour la naissance de Jésus à Noël, le 25 décembre, celle de la Vierge Marie aujourd’hui, et celle de saint Jean-Baptiste, le 24 juin.
    Il est logique que l’on veuille célébrer avec un éclat particulier la naissance de celle qui a été choisie de toute éternité par Dieu pour devenir vraiment la Mère selon la chair de son Fils Jésus-Christ et mettre ainsi au monde, ce qui est un phénomène unique, un enfant qui est à la fois « vrai Dieu et vrai homme », dans une unique nature divine.
    D’après une tradition rapportée par un des évangiles apocryphes, c’est-à-dire des textes non reconnus par l’Église comme étant divinement inspirés (voir ma note du 28 juillet dernier), les parents de la Vierge Marie étaient saint Joachim et sainte Anne, qui sont fêtés conjointement le 26 août.

  • Regard de Jésus à Marie

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    Jésus l’a regardée avec admiration
    Pendant toute sa vie, attendri pour de vrai
    De son aide humble et sûre, de sa contribution
    À nous libérer du péché, nous délivrer.
    Jésus, depuis qu’il s’est éveillé à la vie,
    Observe sa mère en qui il voit le modèle
    D’une âme que le feu de son Esprit havit
    Et qui, sa vie durant, reste à jamais fidèle.

  • 31 mai : la Visitation


    C’est le nom donné à la visite que Marie, la Mère de Jésus, rend à sa cousine Élisabeth dès que l’archange Gabriel qui a révélé qu’elle « a conçu, elle aussi, un fils dans sa vieillesse, et elle, qu’on appelait stérile, en est à son sixième mois » (Luc 1, 36). Marie se rend « en hâte au pays des montagnes, (lire la suite)

  • D'autres prérogatives de la Sainte Vierge

    12. D’autres prérogatives de la Vierge Marie

    En outre, Marie est Toute Sainte, très Sainte, car elle est restée « indemne de toute tache de péché (lire la suite)

  • Notre Dame de Fatima


    C’est aujourd’hui la fête de Notre-Dame de Fatima, en souvenir des apparitions de la Sainte Vierge, le 13 mai 1917 à trois enfants qui faisaient paître leur troupeau de moutons à la Cova da Iria, sur la paroisse de Fatima. Ces enfants étaient Lucie, âgée de 10 ans, et ses cousins François et Jacinthe Marto, âgés respectivement de 9 et 7 ans (lire la suite)

  • Les privilèges de Marie

    Le rôle unique de la Vierge Marie, Mère de Dieu (suite)

    11. Quatre dogmes concernent directement Marie. Le dogme, du grec dogma « opinion », est une vérité définie par l’Église, qui la « propose, (lire la suite)

  • Le rôle de Marie

    10. Le rôle unique de la Vierge Marie, Mère de Dieu, dans l'Incarnation.


    a) De toute éternité Dieu a choisi Marie pour être la Mère de son Fils, en comptant sur sa libre coopération. « Le Père des miséricordes a voulu que l’Incarnation fût précédée (lire la suite)

  • L'œuvre de l'Incarnation

    Poursuivant notre présentation de Jésus-Christ, nous allons centre notre attention aujourd’hui sur l’Incarnation proprement dite, c’est-à-dire sur le fait de la naissance du Fils de Dieu comme homme. La profession de foi chrétienne affirme de Jésus-Christ : « Qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la Vierge Marie. »

    9. L’œuvre de l’Incarnation. C’est le Père qui envoie le Fils (lire la suite)

  • L'Incarnation

    8. L’Incarnation (suite)
    L’Incarnation apparaît ainsi comme un immense don complètement gratuit qui agit sur les trois vertus théologales et sur l’ensemble de la vie du chrétien. Elle :
    (lire la suite)

  • Le regard de Jésus sur Marie

    Marie

    Marie

    Jésus l’a regardée avec une admiration
    Pendant toute sa vie, attendri pour de vrai
    De son humble et sûre aide et contribution
    À nous libérer du péché, nous délivrer.
    Jésus, depuis qu’il s’est éveillé à la vie,
    Observe sa mère en qui il voit le modèle
    D’une âme que le feu de son Esprit havit
    Et qui, l’existence durant, reste fidèle.
    Elle est la femme du « oui » inconditionnel
    Qui, le Samedi saint, se place en sentinelle,
    Prenant sous son manteau l’Église en gestation,
    Devenue tabernacle en édification.
    Jésus-Christ dévisage la si pleine de grâces,
    Associée à son œuvre pour qu’elle aussi terrasse
    Le Prince de ce monde, et qu’elle provoque
    La sainteté par vague à toutes les époques.
    Il voit l’or des vertus qui resplendit en elle,
    Reflet des perfections infinies du Seigneur,
    Il se complait dans cette distinction solennelle,
    Qui la gratifie d’une perfection supérieure.

    * * *

    À-demi aveuglé, tu aperçois ta Mère.
    Hélas, son doux visage t’apparaît déformé,
    Pourtant c’est bien Elle, vision douce et amère,
    Celle qui dans son sein virginal t’a formé.
    La vision que, du gibet, tu as de sa Mère,
    Douce consolation dans ces heures amères,
    Mêle complicité et robuste empathie,
    Liniment calmant les tourments dont tu pâtis.
    Puisant dans les rares énergies qui te restent,
    Ému par cet amour que nul ni rien n’arrête,
    Tenant ton frêle souffle tout près d’être asphyxiée,
    Tu ouvres encore ta bouche de supplicié :
    « Mère, voici ton fils », dis-tu en montrant Jean.
    « Quoi, un pécheur à la place du Rédempteur !
    Ô mon Unique, comme tu sais être exigeant !
    Tu n’avais plus que moi. Je te dis « oui » sur l’heure. »
    Possédant l’accord dont tu n’avais pas douté,
    Puisque Marie ne t’a jamais rien refusé,
    Tu te tournes vers le disciple chouchouté :
    « Voici ta mère, prends d’elle un soin empressé. »
    À partir de ce jour-là, Jean la prit chez lui,
    Trouvant en elle non seulement un appui
    Mais une Éducatrice pour découvrir son Fils
    En tout présent et se réjouir des sacrifices.



    Dominique LE TOURNEAU

    Extrait d’un poème inédit Le Regard.

    La reproduction est autorisée à condition d’en indiquer la provenance. Il est possible de donner aussi l’adresse de ce bloc-note (vulgo dicto « blog »)