Même si la mort est considérée comme imminente, les soins ordinairement dus à une personne malade ne peuvent être légitimement interrompus. L’usage des analgésiques pour alléger les souffrances du moribond, même au risque d’abréger ses jours, peut être moralement conforme à la dignité humaine si la mort n’est pas voulue, ni comme fin ni comme moyen, mais seulement prévue et tolérée comme inévitable. Les soins palliatifs constituent une forme privilégiée de la charité désintéressée. À ce titre ils doivent être encouragés.
Catéchisme de l'Église catholique, n° 2279.
du libre choix et de la connaissance, et pour que nous obtenions dans l'eau le pardon de nos péchés passés, sur celui qui veut renaître et se convertir de ses péchés, on invoque le nom du Père de l'univers, notre Dieu et Maître.
affaire d'amour. Donc, celui qui sait aimer la vie nouvelle sait chanter le chant nouveau. Qu'est-ce que la vie nouvelle ? Nous y sommes invités à cause du chant nouveau. Car tout appartient au même royaume : l'homme nouveau, le chant nouveau, le testament nouveau.
La Loi est devenue le Verbe, et, d'ancienne, elle est devenue nouvelle (l'une et l'autre sorties de Sion et de Jérusalem), le commandement s'est transformé en grâce, la figure en vérité, l'agneau est devenu fils, la brebis est devenue homme et l'homme est devenu Dieu.
voulu mourir pour nous : afin que, croyant en lui, nous ayons la vie sans fin. Il a voulu devenir pour un temps ce que nous sommes, afin qu'ayant reçu la promesse d'éternité, nous vivions sans fin avec lui.