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  • 10 avril : les soins palliatifs

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    Même si la mort est considérée comme imminente, les soins ordinairement dus à une personne malade ne peuvent être légitimement interrompus. L’usage des analgésiques pour alléger les souffrances du moribond, même au risque d’abréger ses jours, peut être moralement conforme à la dignité humaine si la mort n’est pas voulue, ni comme fin ni comme moyen, mais seulement prévue et tolérée comme inévitable. Les soins palliatifs constituent une forme privilégiée de la charité désintéressée. À ce titre ils doivent être encouragés.

     

    Catéchisme de l'Église catholique, n° 2279.

  • 9 avril : l'acharnement therapeutique

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    La cessation de procédures médicales onéreuses, périlleuses, extraordinaires ou disproportionnées avec les résultats attendus peut être légitime. C’est le refus de « l’acharnement thérapeutique ». On ne veut pas ainsi donner la mort ; on accepte de ne pas pouvoir l’empêcher. Les décisions doivent être prises par le patient s’il en a la compétence et la capacité, ou sinon par les ayant droit légaux, en respectant toujours la volonté raisonnable et les intérêts légitimes du patient

    Catéchisme de l'Église catholique, n° 2278.

      


  • 18 avril : la Trinite

    74990138.jpg        Certes, je ne me connais pas moi-même, mais en moi je te trouve et, en te trouvant, je t'adore.

    Saint Hilaire de Poitiers, Sur la Trinité12, 53.


  • 8 avril : l'euthanasie

        507329719.JPGQuels qu’en soient les motifs et les moyens, l’euthanasie directe consiste à mettre fin à la vie de personnes handicapées, malades ou mourantes. Elle est moralement irrecevable.

    Ainsi une action ou une omission qui, de soi ou dans l’intention, donne la mort afin de supprimer la douleur, constitue un meurtre gravement contraire à la dignité de la personne humaine et au respect du Dieu vivant, son Créateur. L’erreur de jugement dans laquelle on peut être tombé de bonne foi, ne change pas la nature de cet acte meurtrier, toujours à proscrire et à exclure.

    Catéchisme de l'Église catholique, n° 2277.

         
  • 18 avril : la Trinite

    74990138.jpg        Certes, je ne me connais pas moi-même, mais en moi je te trouve et, en te trouvant, je t'adore.

    Saint Hilaire de Poitiers, Sur la Trinité12, 53.


  • 7 avril : la naissance par le bapteme

    Pour que nous ne demeurions pas les enfants de la nécessité et de l'ignorance, mais92767239.jpg du libre choix et de la connaissance, et pour que nous obtenions dans l'eau le pardon de nos péchés passés, sur celui qui veut renaître et se convertir de ses péchés, on invoque le nom du Père de l'univers, notre Dieu et Maître.

    Saint Justin, Première apologie.

  • 6 avril : un chant de joie

    Le chant est affaire de joie et, si nous y réfléchissons plus attentivement, il est1329311633.jpg affaire d'amour. Donc, celui qui sait aimer la vie nouvelle sait chanter le chant nouveau. Qu'est-ce que la vie nouvelle ? Nous y sommes invités à cause du chant nouveau. Car tout appartient au même royaume : l'homme nouveau, le chant nouveau, le testament nouveau.

     

    Saint Augustin, Homélie sur le psaume149.


  • 5 avril : le mystere de Paques

    1194880225.jpgLa Loi est devenue le Verbe, et, d'ancienne, elle est devenue nouvelle (l'une et l'autre sorties de Sion et de Jérusalem), le commandement s'est transformé en grâce, la figure en vérité, l'agneau est devenu fils, la brebis est devenue homme et l'homme est devenu Dieu.

    Méliton de Sardes, Homélie sur la Pâque.

  • 4 avril : le fruit de la Passion

    1309086073.JPGIl est venu pour sauve son peuple, en renonçant à « la gloire qu'il avai auprès du Père avant le commencement du monde ». Ce salut était la perfection qui devait s'acccomplir par la Passion, et qui serait imputé à l'auteur de notre vie, selon l'enseignement de saint Paul : « Il a été l'auteur de notre vie, en atteignant la perfection par ses souffrances. »

    Saint Anastase d'Antioche, Homélie sur la Passion.

  • 3 avril : le sens de la Passion

    La passion du Christ, c'est le salut de la vie humaine. Car c'est pour cela qu'il a948300663.jpg voulu mourir pour nous : afin que, croyant en lui, nous ayons la vie sans fin. Il a voulu devenir pour un temps ce que nous sommes, afin qu'ayant reçu la promesse d'éternité, nous vivions sans fin avec lui.

     
    Homélie pascale ancienne.