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eglise - Page 9

  • 4ème mystère joyeux : la Purification

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    Marie dont l’âme n’a jamais été souillée un instant par le péché originel, Marie toute sainte, panhagiata, se rend au temple portant son Enfant dans ses bras, accompagnée de Joseph. Elle se conforme à la Loi qui prescrit que toute mère doit être purifiée après qu’elle a mis un enfant au monde, et de présenter aussi une offrande pour le premier-né. (lire la suite)

  • 3ème mystère joyeux : la naissance de Jésus

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    La nouvelle est tombée : l’empereur ordonne un recensement du monde entier. Chacun doit se rendre dans la ville dont sa lignée est originaire. Joseph en est contrarié pour Marie, qui n’est pas loin de mettre son fils au monde. Mais l’un comme l’autre se plient à la volonté des hommes, s’en remettant à la Volonté de Dieu. (lire la suite)

  • 1er mystère joyeux

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    Selon la tradition, la Vierge Marie est recueillie en prière quand l’archange saint Gabriel s’adresse à elle de la part de Dieu. En réalité, Marie est dans une relation intime privilégiée avec Dieu à tout instant, car elle a été rachetée par avance du péché et rien ne fait donc obstacle en elle au dialogue amoureux avec Dieu. (lire la suite).

  • 2 octobre : anniversaire de la fondation de l'Opus Dei

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    Le 2 octobre 1928, jour de la fête des anges gardiens, après avoir passé onze ans à « pressentir » que Dieu lui demandait quelque chose, le jeune abbé Josémaria Escriva, ordonné en 1925, était en train de faire une retraite spirituelle et de relire des notes prises au cours des années antérieures : « J’ai reçu l’illumination sur l’Œuvre tout entière, tandis que je lisais ces papiers, devait-il raconter. Tout ému, je me suis agenouillé — j’étais seul dans ma chambre, entre deux causeries — j’ai remercié le Seigneur ; et je me souviens avec émotion d’avoir entendu sonner les cloches de la paroisse Notre-Dame-des-Anges », toute proche du lieu où il faisait cette retraite.
    Il dira encore, conscient de n’être qu’un instrument inadéquat entre les mains de Dieu : « Une fois de plus s’est accompli ce que dit l’Écriture : ce qui est stupide, ce qui ne vaut rien, ce qui, pourrait-on dire, n’existe presque pas,… tout cela le Seigneur le prend et le met à son service. Ainsi a-t-il pris cette créature [c’est-à-dire lui-même] pour être son instrument. »
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    La fondation se fait donc à l’encontre de la volonté de celui qui est devenu saint Josémaria. « L’Œuvre de Dieu n’est pas sortie d’un cerveau humain […]. Voici de nombreuses années que le Seigneur l’inspirait à un instrument inepte et sourd, qui la vit pour la première fois le jour des saints anges gardiens, le deux octobre mille neuf cent vingt-huit. »
    Qu’apporte l’Opus Dei, quel est son message ? Saint Josémaria l’expliquait en ces termes dans une lettre adressée à ses enfants spirituels : « Nous sommes venus dire, avec l’humilité de celui qui se sait pécheur et peu de chose — homo peccator sum (Luc 5, 8), disons-nous avec Pierre —, mais avec la foi de celui qui se laisse guider par la main de Dieu, que la sainteté n’est pas affaire de privilégiés : que le Seigneur nous appelle tous, que de tous il attend de l’Amour, de tous, quel que soit leur état, leur profession ou leur métier. Car cette vie courante, ordinaire, sans éclat, peut être un moyen de sainteté : il n’est pas nécessaire d’abandonner son état dans le monde, pour chercher Dieu, si le Seigneur ne donne pas la vocation religieuse à une âme, car tous les chemins peuvent être l’occasion d’une rencontre avec le Christ. »

    Les citations sont tirées du premier volume de l’ouvrage de A. Vazquez de Prada, Le Fondateur de l’Opus Dei, publié par les Éditions Le Laurier (Paris) et Wilson & Lafleur (Québec).

  • Le rosaire

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    Le rosaire, du latin rosarium, "couronne", est une pratique de piété principalement diffusée par lesdominicains de sorte qu'une tradition en attribue l'origine à leur fondateur, saint Dominique (v. 1170-1221), qui l'aurait reçue directement de la Vierge Marie. (lire la suite)

  • Le mal est vaincu

    « Le Saint-Père [Jean-Paul II], à travers ses paroles et ses œuvres, nous a donné de grandes choses ; mais la leçon qu'il nous a donnée de la chaire de la souffrance et du silence est tout aussi importante. Dans son dernier livre Mémoire et identité (Rizzoli 2005), il nous a laissé une interprétation de la souffrance qui n'est pas une théorie théologique ou philosophique, mais un fruit mûri au cours de son chemin personnel de souffrance, qu'il parcourut avec le soutien de la foi dans le Seigneur crucifié. (lire la suite)

  • 29 septembre : les saints Michel, Gabriel et Raphaël

    L’Église catholique fête aujourd’hui les saints archanges Michel, medium_StMichel.gif
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    . Jusqu’à la réforme liturgique qui suivi le concile Vatican II (1962-1965), saint Gabriel était fêté le 24 mars (veille de l’Annonciation à Marie)et saint Raphaël le 24 octobre.
    Du grec archangelos, « chef des anges ». L’archange est un membre de la troisième hiérarchie des anges, selon la division opérée par Denys l’Aréopagite. La Sainte Écriture donne le nom des trois archanges fêtés aujourd’hui, nom qui indique leur mission : saint Michel « qui est comme Dieu ? », saint Gabriel « la force de Dieu », et saint Raphaël « Dieu qui guérit ». Raphaël se présente comme « un des sept Anges qui se tiennent toujours prêts à pénétrer auprès de la Gloire du Seigneur » (Tobie 12, 15).
    Les quatre autres ont été appelés Uriel « lumière de Dieu », Sealtiel « oraison de Dieu », Jehudiel « louange de Dieu » et Barachiel « bénédiction de Dieu ». Un culte leur était rendu, notamment en Italie et en Espagne, même après son interdiction par le concile de Rome II sous le pape Zacharie, en 745, interdiction renouvelée par le tribunal de l'Inquisition à Madrid, en 1645. Le culte des sept archanges prend même de l'ampleur après la découverte, en 1516, d'une fresque dans l'église Saint-Ange, à Palerme, qui les représente et indique leurs noms et attributs. Ce culte reste interdit. Nous en trouvons des représentations dans l’iconographie, par exemple : Les Sept Archanges et la Trinité (H. Wierix, 1550-v. 1617) ; La Sainte Famille servie par les sept archanges (A. Vallejo, XVIIIe s.).
    (voir mon Les mots du christianisme. Catholicisme — Orthodoxie — Protestantisme, Fayard)

  • Dieu est bon (2)

    Même dans un moment aussi dramatique que la crucifixion, la bonté de Dieu éclate au grand jour. Au lieu de paroles de haine ou de vengeance, Jésus dit à son Père : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Luc 23, 34). Cela suffit à faire réagir un malfaiteur qui se trouvait crucifié avec lui. Il lui adresse une demande : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton règne. Et il lui dit : (lire la suite)

  • Dieu est bon (1)

    La Bonté est un des attributs de Dieu, c’est-à-dire un des aspects de la nature, ou perfection de Dieu.
    « Yahvé est bon pour qui espère en lui » (Lamentations 3, 25). « Yahvé est bon ; il est un refuge au jour de la détresse » (Nahum 1, 7). Seigneur, « tu es bon et bienfaisant : enseigne-moi tes prescriptions » (Psaume 119 [118], 68). « Célébrez Yahvé, car il est bon, car sa bienveillance est éternelle » (lire la suite)

  • Les 21 Églises catholiques d'Orient (6)

    15. L'Église slovaque catholique. L'histoire de la Slovaquie s'est longtemps confondue avec celle des Ruthènes. Avec la création de l'État tchèque après la Première Guerre mondiale, les Slovaques catholiques furent traités comme un groupe distinct. En 1950, un synode présidé par cinq prêtres rompt l'union à Rome et intègre les Slovaques catholiques à l'Église orthodoxe de Tchécoslovaquie. Los du « printemps de Prague », en 1968, les paroisses orthodoxes qui le désiraient purent revenir au catholicisme : 205 d'entre elles, sur 292, choisirent la communion avec Rome. ()