Il faut que l’Amour du Christ soit grand — démesuré à la démesure de sa condition infinie de Fils de Dieu — pour accepter de supporter de telles avanies.
C’est un acte de cruauté inutile. Dans l’état dans lequel il se trouvait, Jésus était déjà un homme mort… Mais il est la proie facile d’une garnison désœuvrée. (lire la suite)
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3ème mystère douloureux : le couronnement d'épines
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2ème mystère douloureux : la flagellation
Pilate ne semble guère disposé à entrer dans les vues des chefs du peuple juif qui lui amènent Jésus pour qu’il le juge. « Quelle accusation portez-vous contre cet homme ? » leur demande-t-il. Et eux de répondre : « Si ce n’était pas un malfaiteur, nous ne te l’aurions pas livré » (Jean 18, 29-30). Mais ils semblent incapables d’avancer des chefs d’accusation précis. (lire la suite) -
1er mystère douloureux : l'agonie de Jésus
L’atmosphère intime du repas pris au Cénacle n’a guère été troublée par l’annonce de la trahison prochaine : « En vérité, je vous le dis : Un de vous va me livrer » (Matthieu 26, 21). « C’est que le Fils de l’homme s’en va conformément à ce qui a été fixé ; mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré » (Luc 22, 22). « Il eut mieux valu pour cet homme-là qu’il ne fût pas né » (Marc 14, 21). L’esprit des apôtres n’est pas préparé (lire la suite) -
18 octobre : saint Luc
Saint Luc est l’auteur du troisième Évangile, comme l’attestent de nombreux témoignages des Pères de l’Église, sans compter les manuscrits eux-mêmes : le papyrus Bodmer XIV (P66), daté de 175-225 a pour titre Euangelion katá Loukan, « Évangile selon Luc », et contient Luc 1,1 à 14, 26. Saint Irénée écrit dans son Adversus hæreses, « Contre les hérétiques », que « Luc, le compagnon de Paul, a consigné en un livre l’évangile prêché par celui-ci ».
Le nom de Luc apparaît à trois reprises dans le Nouveau Testament (lire la suite)Lien permanent Catégories : Apôtres et évangélistes, Histoire, Livre, Religion, Sainte Écriture 0 commentaire -
3ème mystère lumiineux : l'annonce du royaume et l'appel à la conversion
Aussi surprenant que cela puisse paraître, Jésus-Christ est venu sur terre pour instaurer le royaume des cieux. Cela peut semble une contradiction. Ce n’en est pas une, car, comme Jésus le déclare, « mon royaume est parmi vous » (Luc 17, 21), c’est-à-dire « en vous ». (lire la suite) -
2ème mystère lumineux : les noces de Cana
Le nom de Cana reste associé à un épisode charmant et émouvant de la vie de Jésus et de Marie, des relations du Fils de Dieu avec sa mère sur terre. Tous deux sont invités à un mariage. Les apôtres, que Jésus vient de s’attacher depuis quelques jours, y ont été aussi conviés. Il s’agit au moins d’André, de Jean, de Pierre, de Philippe et de Nathanaël (lire la suite)
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1er mystère lumineux : le baptême de Jésus
Nous assistons à une scène vraiment extraordinaire. Jean-Baptiste s’est installé au bord du Jourdain, afin de pouvoir baptiser les foules qui viennent l’écouter et qui, frappées par son appel à la conversion, lui demandent ce baptême de repentir. Or, voilà qu’au milieu de cette masse, (lire la suite) -
5ème mystère joyeux : Jésus perdu et retrouvé au Temple
Fidèles observateurs de la Loi mosaïque et de ses prescriptions liturgiques, Marie et Joseph « se rendaient chaque année à Jérusalem pour la fête de la Pâque » (Luc 2, 41), confiant Jésus à des voisins ou à des amis. Quand Jésus « eut douze ans, ils y montèrent selon la coutume pour cette fête ; puis, le temps voulu écoulé, ils s’en retournèrent » (Luc 2, 42-43), en deux caravanes, (lire la suite) -
7 octobre : Notre-Dame du Rosaire
Aujourd’hui, 7 octobre, l’Église célèbre la Sainte Vierge sous l’invocation de Notre-Dame du Rosaire.
Le pape Léon XIII écrivait que, parmi ses différents titres, « le rosaire a celui-ci de très remarquable qu’il a été institué surtout pour implorer le patronage de la Mère de Dieu contre les ennemis du nom chrétien. À ce point de vue, personne n’ignore qu’il a souvent et beaucoup servi à soulager les maux de l’Église (lire la suite) -
Un article sur l'Opus Dei
Le dernier numéro de la revue de droit canonique Studia Canonica 39 (2005), p. 129-145, publie sous ma signature un article sur « Le peuple propre de la prélature de l’Opus Dei ».
Studia Canonica est édité par la Faculté de droit canonique de l’Université Saint-Paul, à Ottawa (Canada).
Voici le résumé de l’article en question :
La division de l’article est la suivante (la rédaction de la revue a modifié la presentation matérielle de la division interne de l'article) :
Introduction
I. Le presbytérium de la prélature de l’Opus Dei
A) La mission canonique du clergé de la prélature de l’Opus Dei
B) Le presbytérium de la prélature de l’Opus Dei
II. Les fidèles laïcs de la prélature de l’Opus Dei
A) L’appartenance des laïcs à l’Opus Dei
B) La juridiction envers les fidèles laïcs de l’Opus Dei
Conclusion