Sur la dédicace d’une église, voir mon texte du 9 novembre. Étant donné l’importance des apôtres saint Pierre et saint Paul, qualifiés de « colonnes de l’Église », cette dernière fête la dédicace de l’édifice voué au culte qui leur est dédié, à savoir la basilique Saint-Pierre, à Rome, et la basilique Saint-Paul hors les murs. Cette fête remonte au IVe siècle, où les papes (lire la suite)
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18 nov. : dédicace des basiliques St-Pierre et St-Paul
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Le péché originel (2)
2. Les conséquences.
Quand Dieu l’avait créé, il avait comblé l’homme de bienfaits : des dons surnaturels — la grâce de la sainteté originelle était « une participation à la vie divine », que nous appelons grâce sanctifiante — et le dons préternaturels, qui ne sont pas dus par la nature, mais vont au-delà : intégrité ou soumission parfaite (lire la suite) -
Le péché originel (1)
1. Son existence.
Il est pour le moins étrange que l’on parle si peu du péché originel, alors qu’il s’agit d’une réalité essentielle qui apporte une explication aux problèmes du monde.
Voyons les faits. Après avoir créé Adam et Ève, nos premiers parents, Dieu les plaça dans le jardin d’Éden, le paradis, en disant : « Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin ; mais (lire la suite) -
11 novembre : saint Martin
L’anniversaire de l’armistice de la première Guerre mondiale coïncide avec la Saint-Martin, ce qui n’est sans doute pas fortuit, quand on sait l’importance que le saint a eue et a dans la chrétienté de notre pays, puisque l’on dénombrait en France, à la fin du XIXe siècle, pas moins de 3 675 lieux de culte (lire la suite) -
9 novembre : dédicace du Latran
Du latin dedicare, « dédier », la dédicace est la « consécration d’une église, un autel, un cimetière ou un autre lieu, réalisée par (lire la suite) -
Communion des saints (fin)
« Communion des saints. — Comment te l’expliquer ? — Tu sais ce que sont les transfusions de sang pour le corps ? Eh bien, c’est à peu près ce qu’est la communion des saints pour l’âme » (Chemin, n° 544). Cette transfusion surnaturelle se réalise à partir de la prière et des efforts quotidiens vécus pour autrui. Nous retrouvons là le sens de (lire la suite) -
Acceptation de la mort
Prière
Ô Dieu, mon Père, Maître de la vie et de la mort, toi qui as établi par un décret immuable que tous les hommes doivent mourir, en châtiment adéquat de nos méfaits, regarde-moi, prosterné devant toi. Je déteste de tout mon cœur mes fautes passées, pour lesquelles j’ai mille fois mérité la mort, que j’accepte actuellement pour les expier et pour obéir à ton aimable volonté. Je mourrai avec joie, Seigneur, au moment, (lire la suite) -
Les âmes du purgatoire
L’Église confesse que « ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel » (Catéchisme de l’Église catholique, n° 1030). Par le biais de la communion des saints, il s’établit une communication de biens spirituels entre elles et nous (lire la suite)
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2 novembre : prier pour les morts
Novembre 2 : Suffrages pour les défunts
Du latin suffragium, « recommandation », « appui », le mot « suffrage » désignait jadis les antiennes, oraisons et versets de l’office commémoratif d’un saint, au jour de sa célébration. De nos jours, le terme est employé à propos des prières et des actes de culte, qui ont une valeur satisfactoire en faveur des fidèles défunts, c’est-à-dire les âmes du purgatoire. (lire la suite) -
1er novembre : la communion des saints
Dans le « Je crois en Dieu », les baptisés affirment croire en « la communion des saints », qui n’est autre que l’Église dans sa triple dimension d’Église « triomphante » au ciel, d’Église « souffrante » au purgatoire et d’Église « militante » sur terre. Comme saint Paul l’expose, « de même que le corps est un, tout en ayant plusieurs membres, (lire la suite)