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Église catholique - Page 15

  • 5 octobre : priere a Marie

    Je vous aime, ô ma Mère ; mais, en même temps, je crains de ne pasadf9a75e8ac98f9cdaa41df30ec3b796.jpg vous aimer, car j'ai entendu dire que l'amour nous trouble ou nous rend semblable à la personne aimée. Puis don qu je me vois si différent de vous, serait-ce un signe que je ne vous aime pas ? Vous si pure, et moi si souillé ! Vous si humble, et moi si orgueilleux ! Vous si sainte, et moi si mauvais ! Mais voici précisément ce que vous avez à faire : puisque vous m'aimez, rendez-moi semblable à vous. Vous possédez tout pouvoir pour changer les cœurs : prenez donc le mien, et changez-le. Montrez au monde de quoi vous êtes capable en faveur de ceux que vous aimez. Rendez-moi saint, rendez-moi votre digne enfant. Telle est mon espérance.

    Saint Alphonse de Liguori, Les Gloires de Marie.

  • 2 octobre : fondation de l'Opus Dei

    7641b3688bfd08bfae0c0ec7938a52cf.jpgComment l'Opus Dei a-t-il été fondé ? Sans aucun moyen humain. J'avais vingt-six ans, de la bonne humeur et la grâce de Dieu m'accompagnait. L’Œuvre était certes modeste ; ce n’était que l'aspiration d'un jeune prêtre, qui s'efforçait de faire ce que Dieu réclamait de lui.

     

    Saint Josémaria, Entretiens avec Monseigneur Escriva, n° 32. 

  • 1er octobre : adorons Dieu

    Si vous entendez quelqu'un vous dire : Tu adores le Crucifié ? N'en rougissez pas, ne baissez pas les yeux, mais soyez-en glorieux et fiers, et recevez le reproche, l'œil serein et le frod69690af070a440ef4f1f28fdbc6f4be.jpgnt haut. Et s'il vous répète encore : Tu adores le Crucifé ? Répondez-lui : Oui, et non un adultère, ni un parricide, ni un meurtrier de ses enfants (car tels sont les dieux des païens) ; mais celui qui par sa croix a fermé la bouche aux démons et détruit leurs innombrables artifices. Car la croix est l'œuvre d'un ineffable amour pour nous, la preuve d'une immense tendresse.

    Saint Jean Chyrsostome, Homélies sur l'épître aux Romains, 2, 6.


  • 25 septembre : la foi des chretiens

    fb9ed91122a40245e8d5a6d847781018.jpgLes chrétiens connaissaient, depuis le premier moment, leur obligation d'annoncer la foi à tous les hommes. Ils voyaient dans la foi un bien qui ne leur appartenait pas de façon exclusive, mais auquel tous les hommes avaient droit. Ils n'auraient pas été fidèles à leur mission s'ils n'avaient pas porté ce qu'ils avaient reçu jusqu'aux confins de la terre. (...) La mission n'était pas envisagée comme l'extension de la sphère du pouvoir du christianisme, mais comme un devoir de transmission d'un bien nécessaire à tous.

    J. Ratzinger, Foi, vérité, tolérance, Paris, 2005, p. 55.


  • 18 septembre : l'Eglise

    810b8a057bac1ed8fec83c2a4c0368ed.jpgPar sa nature même l'Église est toujours réconciliatrice, transmettant aux autres le don qu'elle-même a reçu, le don d'avoir été pardonnée et rendue une avec Dieu. Elle le fait de différentes manières, mais spécialement au moyen des sacrements, en particulier de celui de la pénitence. Par ce sacrement consolateur elle conduit chaque fidèle en personne devant le Christ ; et le Christ lui-même, par le ministère de l'Église, accorde pardon, force et miséricorde. Par ce sacrement strictement personnel, le Christ continue à entrer en contact avec les hommes et les femmes de notre époque. Il restaure la plénitude là où il y avait division ; il communique la lumière là où règnent les ténèbres et donne une espérance et une joie que le monde ne pourrait donner. Par ce sacrement l'Église proclame devant le monde l'infinie richesse de la miséricorde de Dieu, cette miséricorde qui a rompu les barrières qui nous séparaient de Dieu et de chaque autre.

    Jean-Paul II, Discours à l'aéroport de Liverpool, 30 mai 1982.

     

  • 15 septembre : Notre Dame des Douleurs

    Près de lui aussi (le Fils) vous voulez avoir un avocat ? Recourez à Marie... Le Fils exaucera sa Mère, et le Père exaucera le Fils. Mes petitsc1d0c9708549cb61f1ba8bdb9a1c03e9.jpg enfants, elle est l'échelle des pécheurs, elle est ma confiance suprême, elle est tout le fondement de mon espérance. Eh quoi ! Le Fils peut-il la repousser, ou admettre qu'elle soit repoussée ? Le Fils peut-il ne pas l'entendre ou ne pas être entendu ? Ni l'un ni l'autre, évidemment. « Vous avez trouvé grâce devant Dieu », a dit l'ange. Paroles heureuses ! Toujours Marie trouvera grâce, et c'est de grâce seulement que nous avons besoin. La Vierge pleine de prudence ne demandait ni la sagesse, comme Salomon, ni les richesses, ni les honneurs, ni la puissance, mais bien la grâce. Et c'est seulement par la grâce que nous sommes sauvés. Pourquoi, mes frères, avons-nous d'autres désirs ? Demandons la grâce, et demandons-là par Marie : car ce qu'elle désire obtenir, elle l'obtient, et elle ne peut être déçue. Demandons la grâce, mais la grâce devant Dieu : car la grâce devant les gommes est chose trompeuse.

    Saint Bernard, , 7-8.


  • 12 septembre : Nom de Marie

    46953c55e8948e13c26f277f32df7c57.jpgÔ glorieuse Dame élevée au-dessus des astres, qui de votre sein sanctifié avez allaité providentiellement votre Créateur ! Ce que la triste Ève nous enleva, vous le rendez par votre sainte fécondité : vous êtes la voie royale qui fait entrer au ciel ceux qui pleurent. Vous êtes la porte du Grand Roi, l'éclatante entrée de la lumière. Applaudissez à la vie donnée par la Vierge, ô peuples des rachetés !

    Hymne O Gloriosa, attribuée à Venance Fortunat, VIèmesiècle.



  • 11 septembre : la communion des saints

    8af6659dc32f9a42955cc44a021655ee.jpgChacun de nous, dans son unité irremplaçable, s'offre pour la croissance de la communion ecclésiale, par son être et par son agir, tout comme, par ailleurs, il reçoit et assimile, d'une façon qui lui est propre, la richesse de l'Église tout entière. C'est cela la Communion des saints que nous affirmons dans le Credo : Le bien de tous devient le bien de chacun et le bien de chacun devient le bien de tous. « Dans la sainte Église - écrit saint Grégoire le Grand - chacun est le soutien des autres et les autres sont le soutien de chacun » (Homélie sur Ézéchiel 2, 1, 5) ».

    Jean-Paul II, exhortation apostolique Christifideles laici, n° 28.



  • 9 septembre : l'Eglise chemin de salut

    2659240ee0db9d97342ac19df5651df4.jpgL'Église est la vérité qui sauve, parce que l'Église est le Christ lui-même, présent dans le temps par sa Parole et par son œuvre rédemptrice. Dieu, qui est la Vérité par essence, devait nécessairement, en se manifestant à l'homme au cœur de son histoire, par l'Incarnation, se révéler comme la vérité : « Je suis la Vérité » (Jean 14, 6) ; « Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marche pas dans les ténèbres » (Jean 8, 12), dit Jésus. Et l'apôtre théologien nous dit que « la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ » (Jean 1, 17). Par ailleurs, le message de la vérité salvifique, étant éternel et universel, devait être garanti et protégé - après le bref passage du Christ dans l'histoire humaine - par une institution visible et « organisée ». C'est pourquoi l'Église n'existe que pour la vérité et le salut.

    Jean-Paul II, Discours à la faculté de théologie de Palerme, 21 novembre 1982.


  • 8 septembre : Nativite de Marie

    481c32ab715438fe4e16bad080d315d3.jpgLorsque la petite fille de Nazareth prononce son fiat en réponse au message de l'Ange et que le Verbe se fit chair dans son sein, elle devint non seulement la Mère de Dieu dans l'ordre physique de la nature, mais aussi dans l'ordre surnaturel de la grâce, elle devint la Mère de tous ceux qui, par l'Esprit Saint, deviendraient un, sous la primauté de son Fils. La Mère de la Tête serait la Mère des membres, et la Mère de la Vigne serait la Mère des branches.

    Pie XII, Radio-message aux Congrès marial du Canada, 19 juin 1947.