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Vertus - Page 12

  • 13 mars : la valeur de l'amitie

    medium_Abraham.Hospitalite.jpgLe petit prince te le renard se lient d'amitié. Chacun devient pour l'autre un être unique au monde. Désormais ils "ont besoin de l'autre". Leur vie s'irradie de soleil parce que des liens se sont créés entre eux. Quelles merveilles l'amitié peut-elle réaliser dans la vie d'un petit prince et d'un renard ! Pour chacun d'eux, les pas de l'ami deviennent comme une musique ; tout réveille le souvenir de l'autre, et ce souvenir à lui seul fait éclore le bonheur. Devenir amis, c'est apprendre à se connaître. pour cela, "il faut être très patient, dit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près." (...) Le lendemain revint le petit prince. "Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. (....) À quatre heures, déjà , je m'agiterai et m'inquiéterai ; je découvrirai le prix du bonheur !" (A. de Saint-Exupéry, Le Petit prince, chap. 21).

    Guido Stinissen carme, Le Christ notre vie, 1991, p. 84-85.

  • 10 mars

    medium_Viergedhumilite.jpg

    Tu es triste ?... Parce que tu as perdu cette petite bataille ? Non ! sois joyeux ! car, lors de la prochaine, avec la grâce de Dieu et, précisément en raison de ton humiliation présente, tu vaincras.

    Saint Josémaria, Chemin de Croix , 3ème station, point n° 1.



     

     

     

  • 4 mars

    Pense d’abord aux autres. Ainsi tu passeras par la terre, en commettantmedium_Charlevoi.Canada.Croixglorieuse.jpgcertes des erreurs, — elles sont inévitables — mais en laissant derrière toi un sillage de bien. Et quand sonnera l’heure de ta mort, qui viendra inexorablement, tu l’accueilleras avec joie, comme le Christ ; car, comme Lui, nous ressusciterons nous aussi pour recevoir la récompense de son Amour.

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 14ème station, point n° 4.

  • 27 février

    medium_FrancoisdAssiseoiseaux.jpgAu diable et à ses membres convient la tristesse, mais à nous il convient de nous réjouir sans cesse dans le Seigneur.

    Saint FRANÇOIS d'ASSISE.


  • 25 février

    medium_Serenite.jpgQu'est-ce qui peut bien troubler le saint ? La mort ? Non, car il la désire en récompense. Les insultes ? Non, parce que le Christ nous a appris à les souffrir : "Heureux êtes-vous si l'on vous insulte, si l'on vous persécute" (Matthieu 5, 11). La maladie ? Pas davantage, car l'Écriture nous donne ce conseil : "Tout ce qui t'advient, accepte-le et, dans les vicissitudes de ta pauvre condition, montre-toi patient, car l'or est éprouvé dans les feu, et les élus dans la fournaise de l'humiliation" (Siracide 2, 4-5). Que reste-t-il donc qui soit capable de troubler le saint ? Rien. Tout dans le monde, jusqu'à la joie, finit ordinairement dans la tristesse ; mais pour celui qui vit suivant le Christ, les peines elles-mêmes se changent en joie.

    Saint JEAN CHRYSOSTOME, <em>Homélie 18</em>.

  • 24 février

    medium_Indifference.jpgLe résultat a été atteint. Ensuite, comme dit le proverbe italien : <em>passato il pericolo, gabatto il santo</em> (une fois le péril passé, tout le monde se moque du saint).

    Ch. de GAULLE, "Allocution au Congrès des étudiants du R.P.F.", 7 mars 1949, <em>Lettres, notes et carnets. 8 mai 1945-18 juin 1951</em>, Paris, 1984, p. 343.


  • 21 février

    Les vrais obstacles qui te séparent du Christ — l’orgueil, la sensualité... medium_67.ND7douleurs.Marienthal.jpg—, se surmontent par la prière et par la pénitence. Et prier, et se mortifier, c’est aussi s’occuper des autres et s’oublier soi-même. Si tu vis de la sorte, tu verras que la plupart de tes ennuis disparaîtront.

    Saint Josémaria, Chemin de Croix, 10ème station, point n° 4.

  • 16 février

    medium_Josemaria.Brafa1972.jpg16 février 1932 : Je suis assez enrhumé depuis quelques jours, et cela a permis à mon manque de générosité envers mon Dieu de se manifester par un relâchement dans ma prière et dans les mille petites choses qu'un enfant, et qui plus est un enfant-âne, peut chaque jour offrir à son Maître. Je m'en étais déjà aperçu et je voyais bien que je remettais à plus tard certaines résolutions d'accorder plus d'intérêt et de temps à mes pratiques de piété, mais je me rassurais en me disant : plus tard, quand tu iras mieux, lorsque la situation financière des tiens s'arrangera... alors ! - Et aujourd'hui, après avoir distribué la sainte communion aux religieuses, avant la sainte Messe, j'ai dit à Jésus ce que je lui dis tant et tan de fois, jour et nuit : (...) "Je t'aime plus que celles-ci." Immédiatement, et sans bruit de paroles, j'ai entendu : "Les œuvres sont amour, et non les beaux discours." Sur-le-champ, j'ai nettement perçu mon grand manque de générosité, et j'ai repensé à de nombreux détails, insoupçonnés, auxquels je n'avais pas donné d'importance, qui m'ont fait vivement comprendre mon manque de générosité. Jésus ! Aide-moi et que ton petit âne soit vraiment généreux. Des œuvres ! des œuvres !

    Saint Josémaria, <em>Cahiers</em>, n° 606, 16 février 1932, cité par A. Vazquez de Prada, <em>Le fondateur de l'Opus Dei. Vie de Josémaria Escriva</em>, vol. I, Paris-Montréal, 2001, p. 414.



  • 6 février

    medium_DeGaulle.jpgUne porte a livré passage à tous les malheurs qui frappent la France à travers son Histoire : c'est la porte par où avaient fui les enseignements du passé.

    Ch. de Gaulle, "Rôle historique des places françaises", dans <em>Revue Militaire française</em>, n° 54, 1er déc. 1925, cité dans L. Nachin, <em>Charles de Gaulle, Général de France</em>, Paris, 1971, p. 52.


  • L'obéissance de Jésus

    medium_JCNazareth.jpg
    « À faire ton bon plaisir, mon Dieu, je me complais » (Psaume 40 [39], 9). « Il dit : Voici que je viens pour faire ta volonté » (Hébreux 10, 9). Le Christ pour nous « s’est fait obéissant jusqu’à la mort, et à la mort sur la Croix » (Philippiens 2, 8).
    Jésus-Christ « était soumis » (Luc 2, 51) à ses parents (lire la suite)